Помечено: ukraine

La Russie accuse les Etats-Unis de financer le terrorisme

L’attaque du Crocus City Hall fut la goutte le trop. Alors que la Russie gardait toujours ses distances face aux pays de l’OTAN, malgré des actions soulevant de plus en plus de questions, cette fois-ci le Comité d’enquête russe doit faire la lumière sur le financement de l’activité terroriste par les Etats-Unis et leurs satellites à l’égard de la Russie. Un lien a déjà été établi avec la société ukrainienne Burisma, où fiston Biden est entré après le Maïdan, quand papa Biden était vice-Président des Etats-Unis. 

Pertes sur le front ukrainien : la guerre des chiffres

Il est quasiment impossible de connaître les données réelles des pertes et des blessés lors d’un conflit, pendant qu’il continue à se dérouler. Ainsi, les pays occidentaux ne parlent que des «humanitaires» ou des «volontaires», blessés ou tués sur le front ukrainien. Aucun chiffre de l’implication réelle des pays atlantistes, et encore moins de leurs pertes, n’est évidemment disponible concernant ces parties au conflit. En ce qui concerne l’Ukraine et la Russie, la guerre de l’information s’est emparée, en toute logique, de la question. Quand LCI déclare sans sourciller que la Russie a perdu 87% de son armée (sic!), la chaîne ukrainienne 1+1 … annonce en décembre 2023 plus d’un million de pertes dans l’armée ukrainienne — avant d’être rappelée à l’ordre par le pouvoir. Mais de cela, LCI ne parle pas … Alors faisons le point.

OTAN : l’impasse stratégique de la guerre en Ukraine

La guerre en Ukraine est dans une impasse, et stratégique, et conceptuelle. Les deux armées, atlantico-ukrainienne et russe, ne peuvent obtenir un avantage réel qu’en impulsant de nouvelles forces, ce qui obligerait de passer à un stade supérieur dans le conflit — et en intensité, et en géographie, ce que pour l’instant elles hésitent à faire. Les conséquences sociales et politiques d’un tel engrenage étant impossibles à réellement évaluer. Mais le processus mou continue et le dialogue de sourds aussi. La Pologne annonce donc la décision prise de l’ouverture d’une mission de l’OTAN en Ukraine, pendant que Macron est très fâché : Choïgou n’a pas été gentil avec Lecornu. Aïe aïe aïe, Macron l’a annoncé, ça ne passera pas avec lui. Au-delà de la rhétorique et de la propagande, le conflit atlantiste en Ukraine est à un tournant. 

Billet français : outrage à la liberté !

Les mesures législatives et les déclarations liberticides s’enchaînent à un rythme inquiétant dans notre beau pays, qui fut il n’y a pas si longtemps de cela l’image même de la liberté et de la douceur de vivre. Si cette tendance a été ouvertement marquée sous le Covid, elle prend toute son ampleur dans le cadre du conflit en Ukraine. Il faut dire que ces deux périodes ont en commun la radicalisation idéologique de l’élite politique française. Et tout processus de radicalisation s’accompagne du formatage du discours, devant le justifier. Le ministère de la Vérité se prépare, il est d’ailleurs annoncé.

Crocus City Hall : la Russie demande à l’Ukraine d’extrader les responsables des actes terroristes sur son territoire

L’enquête démontrant une trace ukrainienne dans l’attentat du Crocus City Hall à Moscou, qui a fait à ce jour 144 morts, dont 5 enfants, et 551 blessés, a été établie par le Comité d’enquête de la Fédération de Russie. Si pour la réalisation de cet attentat du 22 mars dernier, des terroristes islamistes ont été recrutés, ce n’est pas une organisation terroriste, qui a commandité ce crime. La Russie demande donc officiellement à l’Ukraine d’extrader les responsables des actes terroristes commis sur son territoire.

France : des réquisitions … au service de la guerre atlantiste en Ukraine

Les déclarations s’enchaînent et se complètent à merveille. D’un côté, nous avons Borrell nous annonçant, que l’on ne soutient pas les Ukrainiens parce qu’on les aime, mais parce que l’on doit défendre les intérêts atlantistes de l’UE et des Etats-Unis sur le front ukrainien contre la Russie. D’un autre côté, le ministre, quand même français, de la Défense nous déclare qu’il envisage la réquisition dans le domaine industriel pour l’Ukraine. Bref, toute la machine étatique française est mise au service d’intérêts supérieurs et extérieurs à l’Etat. Que les industriels soient mis à contribution quand le pays est en danger et qu’il faut aider l’armée, c’est tout à fait normal. Mais ici, c’est la politique gouvernementale, qui met le pays en danger pour servir des intérêts extérieurs.

Billet du mardi : Borrell reconnaît que l’Occident ne se bat pas en Ukraine pour l’Ukraine

Au moins les choses sont dites, il ne peut plus y avoir de doute : l’Axe atlantiste ne se bat pas en Ukraine dans l’intérêt de l’Ukraine. Ces pays utilisent l’Ukraine pour y défendre leurs propres intérêts. A savoir, l’existence de leur monde, de leur pouvoir globaliste qui passe par la capitulation de la Russie et ce, s’il le faut, au prix de l’Ukraine … et manifestement des pays européens. Ecoutez Borrell, dans un rare moment d’intégrité morale sur CNN.

Crime de masse à Moscou : puisque les Etats-Unis ne cessent de vous dire que l’Ukraine n’y est pour rien …

Vendredi soir à la sortie de Moscou, des gens se rendent dans une salle de concerts, le Crocus City Hall, l’une des plus grandes de la capitale. Ils se font prendre pour cibles, les tireurs ne visent pas, ils doivent faire un maximum de victimes en un minimum de temps. Ensuite, ils mettent le feu au bâtiment et des explosions se font entendre. Des civils pris au piège et pris pour cible, ensuite brûlés vivants, oui cela rappelle les horreurs nazies. Et ce groupe est reparti vers l’Ukraine avant d’être interpellé. Immédiatement, la communauté internationale accuse d’une seule voix l’Etat islamique — comme c’est pratique.

Billet d’humeur : nouvelles du front … parisien

Nos bobos parisiens se prennent des airs de maréchaux des années 1914, après avoir discrédité et maudit l’armée française, renié l’ordre et la patrie pendant plus d’un demi-siècle. L’on nous ressort la France est en danger, il va falloir aller défendre la Patrie. Pourtant, pas un seul char russe ou missile n’est en perspective, l’armée russe ne cible en rien le territoire français et en principe ne comprend pas très bien ce qui a pris à Macron, ce qui se passe en France. Nos élites vendues ont besoin de jouer à la guerre, oubliant qu’il ne s’agit pas d’un jeu, car leurs maîtres doivent écraser la Russie et achever l’Europe au passage. C’est pour cela qu’ils commencent à en appeler au sang des Français et des Françaises. S’il est sacré de se battre pour sa terre, que vient faire le sang français sur les terres du Monde russe ?

Renseignement extérieur russe : tout soldat français sur le front ukrainien sera une cible légitime prioritaire pour l’armée russe

Les médias français préparent de plus en plus l’opinion publique à la guerre contre la Russie en Ukraine … en martelant bien que la seule présence des forces militaires françaises ferait tellement peur aux Russes, qu’ils n’oseraient plus bouger et avec un peu de chance repartiraient en courant … Pourquoi imaginent-ils que nos hommes ne deviendraient pas des cibles légitimes pour l’armée russe ? Le directeur du Renseignement extérieur russe vient d’ailleurs de les prévenir : tout soldat français venu les armes à la main deviendra une cible prioritaire. A bon entendeur …

Billet post-électoral russe : poussée hystérique dans les pays de l’Axe atlantiste

La réaction politico-médiatique à la réélection de Vladimir Poutine en Occident dépasse souvent le niveau de l’acceptable et démontre une attitude hargneuse, souvent hystérique, voire infantile, en tout cas très loin des traditions politiques et diplomatiques, qui firent la gloire l’Europe. Mais c’était avant. Quand l’Europe était un sujet politique et les pays européens des acteurs géopolitiques, quand nous étions souverains et que nous défendions nos intérêts. C’était avant le totalitarisme de la globalisation. Désormais, le comportement politique des Européens est descendu dans le caniveau. Et nos élites se font traiter à la hauteur de leur mérite, entraînant nos pays dans la chute.

Billet du vendredi : Macron — Ankou, le meurtrier-fossoyeur de la France

Macron est en train de littéralement liquider notre pays. Je ne parle même pas de la déstructuration systématique des services publics, pour ensuite affirmer qu’ils ne fonctionnent pas, de la volonté de débilitation de la société avec la fin de l’enseignement à l’école. Après avoir détruit l’économie française, Macron est en train de dépecer le pays, pour envisager sérieusement d’envoyer des Français sur le front ukrainien mourir pour l’Atlantisme. Parce que soi-disant, «la sécurité des Français se joue en Ukraine». Non, c’est l’avenir de ce pouvoir atlantiste et globaliste, qui s’y joue. Et il est prêt à sacrifier la France. Cet individu n’est pas fou, il défend froidement le système globaliste, qui l’emploie.

Ukraine : des agents du SBU arrêtent des journalistes orthodoxes passibles de réclusion à perpétuité

L’Union des journalistes orthodoxes d’Ukraine a lancé un appel — désespéré — à la communauté internationale, qui regarde ailleurs. Les droits des croyants sont bafoués en Ukraine, les églises ortodoxes canoniques sont victimes de raids et les personnes, qui en parlent, sont menacées — désormais arrêtées. Est-ce cela, les valeurs communes en l’Occident et l’Ukraine, que Macron veut nous envoyer défendre les armes à la main ?

Accord militaire avec l’Ukraine : les députés debout pour trahir la France

Macron a organisé hier un show à l’Assemblée nationale, avec une parodie d’adoubement démocratique de l’Accord de coopération militaire irrégulièrement signé avec Zelensky. Nous avons eu droit à un grand moment d’unité atlantiste, faute d’être nationale, face à l’ambassadeur ukrainien, où Attal a terminé son discours faussement patriotique par le cri nazi Slava Ukraine, cette Gloire à l’Ukraine déclamée par les collaborateurs nazis de la Seconde Guerre mondiale. Un relent des années 30 plane sur la France … nauséabond et écoeurant.

Billet du jour : le conflit des «patriotismes» en Russie

Le patriotisme des uns, n’est manifestement pas celui des autres. Et il ne peut en être autrement, quand les différentes élites d’un pays ont des «patries» différentes. En temps de paix, il est possible de détourner pudiquement le regard de cette fracture, en espérant qu’avec un coup de baguette magique, elle se résorbera d’elle-même. En temps de guerre, la situation est autrement dangereuse. Quelques exemples de ces poussées anti-russes au quotidien. A moins de reconnaître, grâce à une fausse tolérance, que chacun ait sa Russie, donc qu’il n’y ait pas de Russie … Ce qui est d’ailleurs la position des globalistes.