Помечено: wokisme

La Cour suprême britannique met à mal le wokisme anti-femme

Jusqu’où sommes-nous tombés, pour qu’une juridiction soit amenée à rappeler qu’une femme est une femme selon son sexe à la naissance ? Qu’avons-nous fait des femmes, pour qu’elles aient à ce point honte de leur féminité ? Pourquoi notre époque a-t-elle une telle haine envers les femmes ? Le sexe ne se choisit pas, on naît de manière déterminé, à quelques très rares exceptions biologiques près, qui n’ont rien à voir avec la mode destructrice du wokisme. Et la Cour suprême britannique l’a rappelé.

Trump confronté à la résistance du système woke aux Etats-Unis

Deux mesures fortes ont marqué l’entrée en fonction de Donald Trump à la présidence américaine : la lutte contre l’immigration et contre le wokisme. Justement, ces deux lignes sont sous une attaque concentrée des juges américains et des Démocrates, qui tendent de priver de leur effet les décrets présidentiels. Et l’Administration Trump vient d’annuler un ordre présidentiel, qui gelait le financement des programmes fédéraux, soutenant le wokisme. Passer de la comm à la politique, n’est pas aussi facile que cela.

Démission de Trudeau et crise politique majeure au Canada : le fanatisme globaliste en péril ?

La démission annoncée de Trudeau, l’une des figures phares du fanatisme globaliste avec Macron, dévoile toute l’ampleur de la crise de pouvoir de ces élites globalistes extrémistes, réduisant la politique au wokisme. Les mécanismes démocratiques, prévus pour organiser la gouvernance de la majorité, ne sont plus adaptés à la gouvernance de cette minorité dressée contre les peuples. Trudeau décide alors de partir, en attendant qu’une figure «acceptable» puisse être trouvée pour le remplacer, et suspend toute possibilité de renverser le Gouvernement en déclenchant la procédure de prorogation du Parlement. La globalisation ne peut être démocratique, qu’attendons-nous pour en sortir ?

Billet français : de la Toussaint à Halloween, nous en arrivons aux Portes des Ténèbres à Toulouse

A un moment imperceptible, nous avons glissé du respect dû à nos morts à la fête des cadavres. Nous sommes passés de la Toussaint à Halloween. Dieu est mort paraît-il, l’homme n’y survit pas, malgré sa prétention, malgré l’obésité de son égo. Ainsi l’on peut organiser à Toulouse, sur fonds publics bien sûr, une grande fête satanique et vendue comme un simple spectacle «artistique», faisant référence à des personnages mythiques. Une véritable fête du satanisme woke, un signe de faiblesse de nos sociétés, mais surtout de notre défaite morale.

France : une société «mise» en déliquescence

Le Sénat a sorti, il y a quelques jours de cela, un rapport édifiant sur la mise à mort de l’école. Cette fois-ci, il ne s’agit pas des programmes. L’école n’est depuis longtemps plus un lieu, où l’enfant va acquérir des connaissances, mais un lieu de construction d’un individu faible, peu éduqué, gavé aux dogmes écologiste, gender, LGBT, numérique et climatique. L’alerte a été lancée sur un autre aspect : sécuritaire. La violence à l’école explose. Le Sénat s’inquiète, mais refuse d’envisager la véritable conclusion : l’école est le reflet de la société, importe ses conflits. Le modèle anti-national, anti-civilisationnel et anti-français implanté en France depuis des années ne peut conduire qu’à l’implosion de la société française et donc de l’école.