Помечено: ingérence

Russie : le Parquet tente de renationaliser le grand aéroport de Domodedovo contre une ingérence étrangère

Le Parquet général de Russie a déposé ce 28 janvier un recours en justice, afin de demander le transfert à l’Etat des actifs de l’aéroport de Domodedovo, se trouvant sous contrôle étranger, alors qu’il est une infrastructure stratégique pour le pays. Parallèlement, des détournements de fonds, effectués dans l’intérêt étranger, ont été relevés par le Parquet. Quand le droit rattrape la politique, il y a des chances pour restaurer la souveraineté.

Zourabichvili, la présidente géorgienne virtuelle rentrée aux Etats-Unis

L’ancienne présidente de Géorgie, Salome Zourabichvili, a quitté le pays, faute de pouvoir y organiser un coup d’Etat inconstitutionnel dans l’intérêt des Atlantistes. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé, mais le peuple n’a pas suivi. Les masques tombent et les apparences ne sont même plus gardées : elle est rentrée à la maison, aux Etats-Unis, à l’Institut McCain, où elle va continuer ses bons offices pour déstabiliser la situation en Géorgie. L’ingérence s’exerce désormais ouvertement, ce qui est un signe d’affaiblissement de ce système de gouvernance globale.

Ingérence : des députés européens manifestent à Tbilissi contre les résultats électoraux

Une délégation de députés européens, venus notamment d’Allemagne, de Finlande et de Pologne, sont allés manifester en Géorgie contre les résultats des élections parlementaires, qui ne satisfont pas les élites atlantistes radicales. Bien que l’ingérence russe n’ait pas été prouvée et que le scrutin se soit déroulé sans violations majeures, la Présidente géorgienne soutenant toujours les intérêts extérieurs, continue à vouloir déstabiliser ce pays, qui n’est finalement pas le sien. L’ingérence extérieure est flagrante, mais sans véritable soutien populaire. les Géorgiens veulent une autre voie, que celle proposée actuellement par l’UE.

Ingérence atlantiste : la Géorgie pourra-t-elle résister?

Les élections parlementaires géorgiennes n’ont pas donné les résultats attendus ce qui, en toute logique, conduit les élites atlantistes à les remettre en cause, bien que les observateurs internationaux de l’OSCE n’y aient relevé aucune violation majeure. L’ingérence atlantiste se fait de plus en plus ouverte et des snipers ukrainiens sont en route pour Tbilissi. La Géorgie est à un tournant, pour l’instant elle résiste et protège sa souveraineté. Elle est en tout cas un exemple pour nos sociétés endormies, où nous avons confortablement voulu oublier que la liberté, ça se défend.

France : le Sénat vient d’adopter définitivement la proposition de loi légitimant l’ingérence européenne

Les lois régulant l’ingérence étrangère sont à la mode, bien que différentes les unes des autres. Alors que la France criait à l’ingérence russe lors de l’adoption de ce type de loi en Géorgie, elle vient elle aussi de faire passer définitivement au Sénat une forme de régulation des ingérences étrangères, qui offre une impunité absolue à l’ingérence européenne en France. Est-ce une forme d’ingérence américaine, défendant l’ordre global ou bien la reconnaissance qu’il ne peut y avoir d’ingérence européenne en France, puisqu’il s’agit d’une gouvernance européenne sur la France ? 

Elections européennes : où sont les forces politiques européennes disparues ?

Les élections européennes retracent bien le clivage des véritables forces politiques existantes aujourd’hui, à savoir américaine et russe. Les uns accusent la Russie d’ingérence, les autres les Américains de financer les campagnes. Tout cela montre bien l’imposture institutionnelle de l’Union européenne et la défaite politique de l’Europe. Il s’agit bien d’une impasse conceptuelle, car il ne peut pas y avoir de forces politiques européennes au sein de l’UE, puisque l’UE n’est pas un sujet politique, mais un instrument de gouvernance. Il ne peut y avoir que des forces politiques nationales, quand le pays est souverain — ou des forces d’occupation.

Opposition : Blinken revendique l’ingérence américaine en Biélorussie

Devant la commission des Affaires étrangères du Sénat américain, le Secrétaire d’Etat Antony Blinken a déclaré se préparer à nommer un envoyé spécial, chargé d’intensifier et coordonner le travail avec l’opposition biélorusse. Ingérence ? Qui a dit ingérence ? Mais, non, il s’agit ici de «démocratisation». Et cela est assumé ouvertement. Certes, il n’y a que Tikhanovskaya, pas franchement populaire à l’intérieur du pays, mais faute de grives … Au fait, quelqu’un a des nouvelles de Guaido ?