Помечено: guerre

Guerre en Ukraine : Trump et l’OTAN enchaînent les menaces contre la Russie

Dans leurs dernières déclarations, Trump et Rutte ne cessent d’enchaîner les menaces contre la Russie. Des missiles Tomahawk à la rhétorique guerrière, les Globalistes semblent se diriger de plus en plus sûrement vers une confrontation directe avec la Russie, qui elle tente encore de calmer leurs ardeurs. Même si ses tentatives sont, à l’inverse, prises pour de la faiblesse, ce qui les conforte dans leur position.

La centrale nucléaire de Zaporojie sous attaque ukrainienne : une véritable réaction de l’AIEA serait la bienvenue

Cela fait plus de deux semaines que la centrale nucléaire de Zaporojie est en régime d’urgence, suite aux tirs constants de l’armée atlantico-ukrainienne. L’AIEA constate, rassure et ne voit pas d’où viennent les tirs. Un tel aveuglement est criminel, car les conséquences humanitaires peuvent être très sérieuses. Mais cela n’intéresse pas les Globalistes, ils ont besoin d’accuser la Russie.

Billet pacifiste : Trump prêt à envoyer des missiles Tomahawk sur le front ukrainien contre la Russie

Comme on peut l’entendre à l’égard de Trump, «ce n’est pas sa guerre». Heureusement, sinon, on pourrait se demander ce qui se passerait. D’ailleurs, Trump est prêt à envoyer des missiles à longue portée Tomahawk sur le front en Ukraine contre la Russie. Reste à savoir si la Russie va encore longtemps faire semblant de bien vouloir croire aussi que «ce n’est pas sa guerre» …

Retour sur le discours de Poutine à Valdaï : la force tranquille … un peu trop tranquille ?

Hier, le Président russe s’est prononcé dans une allocution fleuve de près de 4 heures au Club Valdaï. Rien de nouveau n’a été prononcé, même si le porte-parole du Kremlin annonçait des sensations à venir. Le but était manifestement de démontrer la force tranquille et sûre d’elle de la Russie, sans oublier une complaisance particulière et appuyée pour Trump et les Etats-Unis.

Kellogg : Trump a autorisé les frappes en profondeur en Russie

Hier, le conseiller du Président Trump, Keith Kellog a délicatement confirmé, que le Président américain avait autorisé l’armée atlantico-ukrainienne à frapper en profondeur en Russie. Sur fond d’accord d’approvisionnement du front, il va être de plus en plus difficile de continuer à dire de Trump que «ce n’est pas sa guerre».

Pourquoi l’OTAN a besoin de lancer l’opération politico-médiatique des drones russes

La Pologne, puis la Roumanie, accusent la Russie de violer leur espace aérien en lançant volontairement  des drones militaires vers ces pays, ce que la Russie réfute. Dans la foulée, l’OTAN lance une opération «Sentinelle orientale», c’est-à-dire une escalade aux frontières de la Russie. Toute cette opération politico-médiatique des «drones russes» ne poursuit en réalité qu’un seul but : légitimer une accélération de la militarisation de l’Europe et tenter un élargissement du front, tout en mettant les populations locales dans un état de choc, pour qu’elles l’acceptent.

Ukraine : Trump «mécontent» prépare de nouvelles sanctions contre la Russie

La vision géopolitique dépend désormais de l’expression infantile des humeurs du Président américain : Trump est «content» ou Trump n’est «pas content». Aujourd’hui, Trump n’est pas content — ce qui est plutôt une bonne chose pour la Russie, puisque ces pays ne sont pas dans le même camp. Et donc Trump annonce envisager de nouvelles sanctions contre la Russie. Rien à dire, tout a changé avec son arrivée à la présidence américaine …

Russie : Macron … s’en va-t-en guerre ?

Macron a réuni la «coalition des volontaires», afin de préparer la suite du conflit. Pour ne pas faire peur aux bonnes gens, chacun parle «d’après le cessez-le-feu», même si cela est totalement dépourvu de sens. Deux remarques : si la volonté des Atlantistes de poursuivre leur guerre en Ukraine est bien marquée, ils n’ont pas forcément les moyens de leurs ambitions ; Trump continue sa reconquête du territoire global, forçant la dimension économique en plus de militaire et gardant la Russie comme ennemie. Bref, la paix, Chers Amis, la paix, rien de tel. Mais laquelle ?

Russie : des «frontières» de l’Opération militaire en Ukraine

Lors du dernier briefing de l’état-major de l’armée russe du 30 août, une carte de l’Ukraine était démonstrativement accrochée au mur, dans laquelle les régions d’Odessa et de Nikolaev étaient intégrées à la Russie. Si le ministère russe de la Défense ne commente pas, au Parlement l’on explique clairement que cela correspond aux buts de l’Opération militaire et aux intérêts stratégiques de la sécurité de la Russie.

Haute trahison : des détournements de fonds lors de la construction des fortifications de Koursk et Belgorod

Les régions russes frontalières avec l’Ukraine de Koursk et de Belgorod, qui font l’objet d’une agression régulière par les forces militaires atlantico-ukrainiennes, sont également le théâtre de scandales de corruption à haut niveau. En période de guerre, détourner des milliards destinés à la construction des fortifications, ce n’est pas de la criminalité économique, soyons honnêtes, c’est de la haute trahison.

Une rencontre Trump avec Zelensky après celle de Poutine : les Globalistes dans l’impasse

Après l’échec des Globalistes avec la rencontre Trump / Poutine en Alaska, la pression politico-diplomatique s’accentue sur la Russie, mais sans grand succès. Alors que Trump annonçait comme presque décidée une réunion tripartite avec Poutine et Zelensky, cette perspective semble s’éloigner. Aujourd’hui, Zelensky a été convoqué pour une audience impériale à Washington, avec à sa suite les Européens et les représentants des organes de gouvernance de la globalisation. Tant que la Russe ne cède pas, ils sont principalement dans une impasse.

Trump acte la continuité dans l’approvisionnement du front ukrainien

L’Administration Biden avait garanti avant son départ l’approvisionnement du front ukrainien jusqu’à la fin de l’été. Cela avait laissé un peu de temps à la nouvelle Administration pour tenter de faire chuter la Russie dans le piège des négociations, c’est-à-dire la faire capituler. Le piège ne s’est pas refermé sur elle, la question de la reprise des livraisons d’armes est donc d’actualité. Trump va les reprendre et utilisera pour le cela les compétences spéciales présidentielles, comme Biden le faisait avant lui. Rien ne change et il n’y avait aucune raison objective à cela.

Billet d’humeur : mais jusqu’à quels tréfonds, va s’effondrer la communication russe ?

La maîtrise de la communication par le Kremlin est toujours un grand moment … Quand Trump annonce relancer les livraisons d’armes et que CNN publie un enregistrement audio de Trump menaçant de bombarder cette «ville de merde de Moscou», le porte-parole du Kremlin et les dirigeants russes remercient Trump pour son oeuvre pacifiste et annoncent la possibilité de sortir les Etats—Unis de la liste des pays non-amis. A chaque fois, on se demande s’il y a seuil, au-delà duquel le discours politico-médiatique russe ne va pas descendre. De quelle victoire peut-on parler dans ce contexte ? Il est vrai que justement, le terme est particulièrement absent du discours russe.

Appel Trump / Poutine : la Russie n’a plus aucune illusion quant aux Etats-Unis

L’appel téléphonique avec Poutine tant annoncé par Trump a eu lieu hier. Mais il ne s’est pas passé comme prévu … pour les Atlantistes. Le Président russe garde le cap, rappelle les buts stratégiques de la Russie et ne fait aucun pas vers la capitulation — ce qui est en réalité la seule chose attendue par Trump. Celui-ci exprime alors ouvertement autant son agacement, que son impuissance. La Russie maîtrise pour l’instant l’agenda. Puisque dans la configuration actuelle, elle maîtrise le front.