Géorgie : les enjeux de pouvoir de l’hystérie globaliste contre la loi adoptée sur les agents étrangers
Malgré les pressions internationales et l’activation des mécanismes d’ingénierie sociale, le 14 mai Parlement géorgien a adopté la loi sur les agents étrangers. Immédiatement, la présidente géorgienne annonce son veto, les Etats-Unis parlent de sanctions personnelles contre ces salauds de souverainistes et d’une possible «aide militaire» contre la Russie. Personne ne cache les motifs réels de cette condamnation globaliste : dans le cadre du conflit de mode de gouvernance, qui se déroule aujourd’hui, il faut contrôler le pays de l’intérieur, surtout avant les prochaines élections d’octobre. Et sans le contrôle non affiché des ONG et des médias, cela sera beaucoup plus difficile.