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Démission de Trudeau et crise politique majeure au Canada : le fanatisme globaliste en péril ?

La démission annoncée de Trudeau, l’une des figures phares du fanatisme globaliste avec Macron, dévoile toute l’ampleur de la crise de pouvoir de ces élites globalistes extrémistes, réduisant la politique au wokisme. Les mécanismes démocratiques, prévus pour organiser la gouvernance de la majorité, ne sont plus adaptés à la gouvernance de cette minorité dressée contre les peuples. Trudeau décide alors de partir, en attendant qu’une figure «acceptable» puisse être trouvée pour le remplacer, et suspend toute possibilité de renverser le Gouvernement en déclenchant la procédure de prorogation du Parlement. La globalisation ne peut être démocratique, qu’attendons-nous pour en sortir ?

Macron plonge la France dans une crise politique profonde

Après la chute de l’éphémère gouvernement Barnier, Macron a puni les Français en nommant Bayrou, le ventre mou de la République. Pour autant, la situation n’a pas changé: le Gouvernement est objectivement en minorité à l’Assemblée, l’instabilité ne sera pas surmontée par un coup de baguette magique. Gouverner contre les peuples, ce qui est la ligne naturelle de nos élites néolibérales, ne peut durer longtemps dans un système démocratique, prévu pour la gouvernance de la majorité. Le risque est  donc que le système cesse d’être démocratique, car ces élites ne vont pas abdiquer de leur plein gré pour sauver notre pays. Pour autant, dans tout cela, Macron ne risque rien, aussi paradoxal que cela puisse paraître. Il est temps d’arrêter de faire de la comm, comme LFI, et de s’occuper du fond du problème : le renouvellement des élites.

Macron : «supportez-moi encore 30 mois !» … ou il faut «aller le chercher»

La motion de censure opposée au Gouvernement Barnier met au grand jour la crise politique profonde, devenue institutionnelle, qui larvait en France depuis longtemps, depuis que notre pays a pris un tournant néolibéral. L’on ne peut pas gouverner contre un peuple et contre un pays, et vouloir en appeler à la paix sociale et au fonctionnement régulier des institutions. Dans son allocution d’hier soir, Macron n’a finalement eu qu’un message : vous m’avez élu, vous me supporterez de gré ou de force et à n’importe quel prix encore 30 mois, de toute manière vous n’avez pas le choix et ainsi je vous sauverai de vous-même. Puisque tout le monde, sauf lui, est responsable de la crise : les électeurs, qui ont mal voté (contre lui) ; autant que les députés, qui ont censuré un Gouvernement (minoritaire).

Guerre en Ukraine : l’UE se prépare à adopter des sanctions symboliques contre la Russie

Comme l’Histoire n’existe pas en Ukraine antérieurement au 24 février 2022 pour l’Occident, l’UE se prépare à adopter un nouveau train de sanctions à l’occasion des deux années «du début» du conflit, c’est-à-dire de la réponse militaire russe. Les possibilités étant déjà largement épuisées, ces sanctions devraient surtout toucher des questions politiques hautement symboliques : le déplacement des diplomates russes à l’intérieur de l’Europe et l’utilisation des fonds russes gelés pour leur guerre en Ukraine.

Billet agricole : l’égoïsme et la fatuité sont en train de tuer la France

Sans aucune surprise, les syndicats et les politiques ont parfaitement manoeuvré pour faire échouer le mouvement sincère de révolte des agriculteurs. Non seulement ils n’obtiendront finalement rien de sérieux, mais l’on voit la France se diviser en trois : ces personnes, qui se battent pour (sur)vivre; la majorité, qui s’en fout totalement; et une minorité privilégiée, qui du haut de son néant, les tourne en ridicule. L’échec des agriculteurs, c’est notre échec. Quand l’impératif de survie viendra frapper à votre porte, il sera alors trop tard. L’égoïsme et la fatuité sont en train de tuer la France.

En France, tout va bien Monsieur la Marquise

L’économie française s’enfonce dans la stagnation. La France perd l’Afrique et doit s’acoquiner avec les Etats-Unis, pour faire semblant d’y préserver de l’influence. Les agriculteurs — et ce ne sont pas les seuls — n’en peuvent plus et le font savoir. Mais Gabi est heureux : il peut ouvertement être homosexuel, donc tout espoir n’est pas perdu. Nous vivons une époque merveilleuse, l’essentiel est d’y survivre !