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La Grande-Bretagne utilise le British Council pour des activités d’espionnage dans la région de Kherson

Le FSB vient de publier un communiqué indiquant que le British Council, organisation gouvernementale britannique, exerce des activités d’espionnage au profit de l’armée atlantico-ukrainienne dans la région de Kherson. Décidément, les pays de l’OTAN s’impliquent par tous les moyens dans le conflit en Ukraine. Ce qui, par ailleurs, est normal, puisque c’est justement leur guerre.

L’annonce d’une possible confrontation directe entre l’OTAN et la Russie : acte politique ou élément de communication ?

Des signaux de plus en plus précis, d’une escalade ultime du conflit en Ukraine vers une confrontation directe des pays de l’OTAN avec la Russie, parviennent de sources différentes. D’une part, la Grande-Bretagne vient de signer un accord de coopération avec l’Ukraine en matière de défense, qui prévoit une assistance mutuelle en cas d’agression. D’autre part, le Bild annonce que l’OTAN prévoit d’envoyer 300 000 militaires des pays de l’OTAN dans la zone de conflit, nous conduisant au maximum d’ici l’été 2025 à une guerre mondiale. 

Nouvelle escalade dans le conflit ukrainien : la Grande-Bretagne se prépare à envoyer des obus à l’uranium appauvri

Le conflit en Ukraine entre l’Axe atlantiste et la Russie continue à monter en intensité. Au-delà du financement militaire toujours plus important apporté par les pays atlantistes, un changement de qualité des armes fournies est annoncé par la Grande-Bretagne, avec la fourniture d’obus à l’uranium appauvri. Même si la Russie ne veut pas d’une Troisième Guerre mondiale et tente de garder une mesure dans son action, cela l’obligera elle-aussi à passer à un cran supérieur. Les pays européens, sont-ils conscients d’être mis en première ligne par leurs élites alignées ?

Escalade du conflit : la Grande-Bretagne arme l’Ukraine pour frapper la Crimée

Quand les pays de l’Axe atlantiste affirment, que les armes fournies ne toucheront pas le territoire russe, ils retiennent leur conception du territoire «russe», celle qui nie la volonté des peuples légitimement exprimée après le démantèlement de l’Etat ukrainien en 2014. Or, nous voyons petit à petit la Crimée entrer dans la catégorie des cibles légitimes, du point de vue de ces pays. Il est certain que, dans ce cas, la Russie entrerait réellement en guerre. Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, eux, sont loin, ce qui leur facilite la tâche de l’escalade militariste. En tout cas, une forme de psychose collective s’est emparée des nations européennes.

Conflit en Ukraine : NAFO, Grande-Bretagne et guerre des cerveaux contre la Russie

Le mouvement NAFO est présenté comme un mouvement spontané, ludique, de jeunes (ou moins jeunes) plaisantins, qui tournent en ridicule le discours de la Russie. Pourtant, ce mouvement est bien loin d’être spontané et innocent, il est un instrument de guerre, géré et parfaitement maîtrisé. Même si comme toute propagande primaire, elle ne convint que les convaincus, ce NAFO va bien au-delà des mèmes, de l’attaque trolliennes et des images ludiques, il est directement lié au renseignement et au soutien de l’Axe atlantiste à l’armée en Ukraine. Et il fonctionne aussi, comme pour tout système totalitaire, sur le mode de la dénonciation, comme j’en ai fait les frais.

Grande-Bretagne : un juge britannique légitime contre le droit une atteinte au déchargement de pétrole russe

C’est la fin de l’état de droit en Grande-Bretagne. Ce n’est pas que l’état de droit se porte à merveille dans le Vieux Monde, mais les systèmes judiciaires tentaient tant bien que mal d’en préserver les apparences. Même les apparences viennent de tomber : un juge britannique a acquitté des activistes de Greenpeace empêchant le déchargement de pétrole russe … car il est russe. Et le juge a estimé contre la législation légitimer un délit. Quand la politique prévaut sur le droit, c’est la fin du droit. Sans le droit, il ne reste que la force. 

Ukraine : La Grande-Bretagne, un Etat terroriste ?

L’ambassadeur britannique en Russie a été convoqué ce 3 octobre en raison de l’implication de la Grande-Bretagne dans les activités terroristes menées sous drapeau ukrainien contre la Russie. Nos amis anglais sont tombés bien bas pour en arriver à publiquement risquer la qualification d’état terroriste. Mais rassurons-nous, ce ne sont ni les seuls, ni les pires dans le monde atlantiste. Quoi que cela ne rassure pas vraiment.

L’armée ukrainienne et «l’internationale atlantiste»

Alors que les médias occidentaux nous vendent le conflit militaire en Ukraine, comme une grande guerre nationale de libération contre le méchant agresseur russe, l’on ne cesse d’apprendre, de source anglo-saxonne, la participation de militaires de pays de l’OTAN dans les rangs de l’armée ukrainienne. A tel point, que l’armée ukrainienne ne semble être qu’une dénomination vide, à l’image de l’Etat ukrainien, servant à cacher les véritables mécanismes de gouvernance. Ici, en ce qui concerne les Britanniques. Autrement dit, c’est plutôt l’internationale atlantiste, qui se bat en Ukraine contre le Russie !