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Billet du vendredi : Macron — Ankou, le meurtrier-fossoyeur de la France

Macron est en train de littéralement liquider notre pays. Je ne parle même pas de la déstructuration systématique des services publics, pour ensuite affirmer qu’ils ne fonctionnent pas, de la volonté de débilitation de la société avec la fin de l’enseignement à l’école. Après avoir détruit l’économie française, Macron est en train de dépecer le pays, pour envisager sérieusement d’envoyer des Français sur le front ukrainien mourir pour l’Atlantisme. Parce que soi-disant, «la sécurité des Français se joue en Ukraine». Non, c’est l’avenir de ce pouvoir atlantiste et globaliste, qui s’y joue. Et il est prêt à sacrifier la France. Cet individu n’est pas fou, il défend froidement le système globaliste, qui l’emploie.

Accord militaire avec l’Ukraine : les députés debout pour trahir la France

Macron a organisé hier un show à l’Assemblée nationale, avec une parodie d’adoubement démocratique de l’Accord de coopération militaire irrégulièrement signé avec Zelensky. Nous avons eu droit à un grand moment d’unité atlantiste, faute d’être nationale, face à l’ambassadeur ukrainien, où Attal a terminé son discours faussement patriotique par le cri nazi Slava Ukraine, cette Gloire à l’Ukraine déclamée par les collaborateurs nazis de la Seconde Guerre mondiale. Un relent des années 30 plane sur la France … nauséabond et écoeurant.

Billet français : pénaliser la violation d’un discours imposé, c’est imposer la dictature de la pensée

Le Parlement discute actuellement du renforcement de la sanction pénale pour les propos tenus en privé, qui pourraient selon certains critères idéologiques être qualifiés de racisme, de ségrégation ou par exemple de remise en cause de crimes de guerre. Ainsi, l’on ne peut critiquer les Juifs, les homosexuels, les handicapés, etc. Quoi qu’ils fassent. Parce que, dans nos sociétés déshumanisées, ils sont Juifs, homosexuels ou handicapés avant d’être des êtres humains. Les personnes de religion juive, les personnes handicapées, les personnes homosexuelles, ceux qui vivent tranquillement leur vie, vont certainement apprécier la stigmatisation raciste, dont ils font ainsi l’objet. De son côté, Israël peut être tranquille pour le génocide qu’il commet à Gaza, personne n’en parlera. En revanche, vous, vous risquez de commettre un délit en en parlant. En privé. C’est ça la dictature. Nous y sommes.

Billet du jour : le conflit des «patriotismes» en Russie

Le patriotisme des uns, n’est manifestement pas celui des autres. Et il ne peut en être autrement, quand les différentes élites d’un pays ont des «patries» différentes. En temps de paix, il est possible de détourner pudiquement le regard de cette fracture, en espérant qu’avec un coup de baguette magique, elle se résorbera d’elle-même. En temps de guerre, la situation est autrement dangereuse. Quelques exemples de ces poussées anti-russes au quotidien. A moins de reconnaître, grâce à une fausse tolérance, que chacun ait sa Russie, donc qu’il n’y ait pas de Russie … Ce qui est d’ailleurs la position des globalistes.

La CPI récidive : encore deux mandats d’arrêts contre des Russes

La Cour pénale internationale vient pour la deuxième fois d’adopter des mandats d’arrêt contre des ressortissants russes, alors que la Russie n’a pas reconnu sa compétence et que ses ressortissants ne peuvent donc être soumis à sa juridiction. Après le Président russe et l’Ombudsman pour les enfants, cette fois-ci, il s’agit du commandant de l’aviation stratégique et du commandant de la flotte de la mer Noire. En effet, de quel droit la Russie, ose-t-elle mettre en échec la grande stratégie de l’offensive de l’armée atlantico-ukrainienne contre elle ? Cela vaut bien deux mandats d’arrêt ! Vive la globalisation …

L’idée d’une remise en cause du Traité d’unification de l’Allemagne a été discrètement soulevée en Russie

Un député de Crimée, déjà soutenu par un sénateur, soulève l’idée, dans le contexte actuel, d’une dénonciation du traité portant règlement définitif concernant l’Allemagne, appelé le Traité Deux plus Quatre, signé par la RFA et la RDA, avec les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et l’Irlande du Nord, la France et l’URSS en 1990. La violation objective des dispositions du traité par les pays occidentaux est ici considérée comme devant soulever la question de sa remise en cause par la Russie. 

Guerre en Ukraine : Pourquoi Macron, a-t-il dû briser le tabou d’une implication au sol des pays de l’OTAN contre la Russie ?

La sortie de Macron sur la possibilité théorique d’un envoi de troupes des pays de l’OTAN sur le front ukrainien contre la Russie a provoqué le choc … recherché. Plusieurs pays de l’OTAN ont déjà envoyé des hommes sur place à titre divers et chacun le sait. Les pays de l’OTAN sont déjà partie «à leur» conflit avec l’armement fourni, la formation et le financement de cette guerre en Ukraine. Alors pourquoi Macron a-t-il dû dire tout haut ce que chacun pense tout bas depuis longtemps, à savoir qu’une guerre par procuration n’est pas suffisante et qu’il va bien falloir y aller ? Justement, parce que les populations ne sont pas prêtes — et les élites non plus, dans leur majorité. Et que la théorie du choc a toujours été le seul moyen réellement efficace de faire bouger sensiblement les frontières du possible. Désormais, l’envoi de troupes de pays de l’OTAN sur le front ukrainien est officiellement du domaine du possible et se discute ouvertement.

Le front ukrainien, l’OTAN et la France

Un sondage surprenant vient de sortir sur Capital : les Français doivent-ils aller se battre sur le front ukrainien ? Pour remettre l’église au milieu du village, puisque nos dirigeants semblent nous préparer à une nouvelle drôle de guerre, je vous propose d’écouter l’échange que nous avons eu avec Carl Brochu, notamment sur le rôle profondément négatif joué par l’OTAN pour la stabilité internationale et l’impératif du retour des pays à leurs racines, à leur intérêt national, comme voie vers la paix. Vers une paix solide, nous sortant de la globalisation.

La Grande-Bretagne utilise le British Council pour des activités d’espionnage dans la région de Kherson

Le FSB vient de publier un communiqué indiquant que le British Council, organisation gouvernementale britannique, exerce des activités d’espionnage au profit de l’armée atlantico-ukrainienne dans la région de Kherson. Décidément, les pays de l’OTAN s’impliquent par tous les moyens dans le conflit en Ukraine. Ce qui, par ailleurs, est normal, puisque c’est justement leur guerre.

Poutine a explicité la conception de la stabilité stratégique de la Russie

Hier, Poutine a rencontré le ministre de la Défense Choïgou, non seulement au sujet de la victoire militaire russe sur l’armée atlantico-ukrainienne à Avdeïevka, mais surtout pour mettre au clair la conception russe de la stabilité stratégique. De part et d’autre, sauf Borrell, nombreux sont ceux, qui parlent de paix et de pourparlers, sans vouloir pour autant appeler les choses par leur nom : la stabilité stratégique du monde global passe par la destruction de la Russie, la stabilité stratégique de la Russie passe par la destruction du monde global. Hier, Poutine a fait un pas vers la reconnaissance de cette unique alternative.

Billet du jour : Navalny, n’est pas l’Archiduc

La mort d’Alexeï Navalny, devenu opposant professionnel après avoir été escroc, est intervenue justement le premier jour de la Conférence de Munich, alors qu’il était incarcéré dans une colonie pénitentiaire de la région de Yamalo-Nénétsie, dans le nord de l’Oural. Son poids politique ne cessait de baisser en Russie, bien avant son interpellation, l’Occident a ainsi obtenu — et au bon moment — sa victime sacrificielle. Pourtant, Navalny n’est pas l’Archiduc, sa mort ne produira aucune onde de choc en Russie et elle ne sortira pas les pays atlantistes de leur impasse face à la Russie. C’est n’est, au-delà du décès d’un être humain, qu’un événement médiatique et non politique.

Guerre contre la Russie : Macron présente l’Accord de sécurité avec l’Ukraine

En même temps que l’Allemagne et suite à la Grande-Bretagne, la France vient de signer pour 10 ans un Accord de sécurité avec l’Ukraine, contournant ainsi la nécessité de son entrée dans l’OTAN et mettant les Français, en rang avec les Allemands et les Britanniques, toujours plus près de la ligne de front. Les intérêts atlantistes valent bien une petite guerre. Scholz et Borrel l’affirment, nous sommes en guerre, il faut en prendre conscience. En êtes-vous bien conscients, puisque c’est vous qui serez concernés, s’il faut aller se battre en Ukraine contre la Russie pour sauver l’Atlantisme ?

Billet du vendredi : la France décide de censurer la démocratie

La liberté d’expression, c’est beau, c’est fondamental, c’est pourquoi il faut la défendre — chez les autres. Chez soi, on peut réduire de plus en plus les limites du discours autorisé, car tout ce qui n’est pas conforme est de la propagande. Or, lutter contre la propagande, cela n’a rien à voir avec la lutte contre la liberté d’expression. De laquelle dépend la liberté de penser, c’est encore pire. Comment ça, ce n’est pas clair ? J’explique.

Le cas du navire russe Caesar Kunikov et la communication militaire russe en période de globalisation

Coulé or not coulé, that is the question … La communication militaire russe n’a jamais brillé par sa qualité, mais avec le temps l’on finit par toucher les bas-fonds du néant communicationnel. Car, en passant, le monde ne s’arrête pas à la propreté de Moscou reconnue par Carlson … Entre silences mal dimensionnés, comme avec la question de l’attaque du navire russe Caesar Kunikov dont tout le monde parle sauf les communiquants du ministère de la Défense et du Kremlin, et les rapports techniques soporifiques quotidiens, manifestement écrits par des ronds-de-cuir, n’ayant aucune compassion humaine, ni aspiration patriotique, il serait bon de se demander si cela est productif ou contre-productif en période de guerre … Car finalement, quel est le but poursuivi par cette communication politique officielle : l’endormissement général et l’auto-satisfaction ? Beaucoup de questions se posent.