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Ukraine : Duda reconnaît que la guerre se déroule entre l’OTAN et la Russie

Le Président polonais Duda vient de reconnaître publiquement, que la guerre qui se déroule actuellement n’est pas une guerre entre la Russie et l’Ukraine, mais bien entre l’OTAN et la Russie en Ukraine. C’est pourquoi, même si formellement l’Ukraine capitule, l’OTAN devra entrer sur le devant de la scène face à la Russie pour continuer sa guerre. 

OCS et le retour du développement durable : la déglobalisation est repoussée en Russie

L’on croyait la liturgie du développement durable enterrée avec le départ aussi précipité, que discret, de son lobbyiste Anatoly Tchoubaïs, qui à des postes-clés en Russie dès 1991, était en charge de la dislocation globaliste du pays et a réalisé un travail remarquable et remarqué en ce sens. Mais alors que la guerre s’installe, les fondamentaux globalistes reviennent à l’ordre du jour grâce aux pseudos organes alternatifs à la globalisation, en l’occurrence l’Organisation de coopération de Shangaï (OCS). Il semblerait que ces élites gouvernantes aient véritablement perdu même leur instinct de survie. Au minimum, car si la Russie disparaît, elles disparaitront aussi dans la foulée.

Conflit en Ukraine : quelle est cette poussée fantasmagorique de «paix négociée» en Russie ?

Le défilé des personnalités politiques occidentales venant poser le pied sur le tapis rouge du Kremlin pour parler «de paix» doit faire pâlir d’envie les organisateurs du festival de Cannes. Le spectacle est pourtant à peu de chose près de la même qualité. Au-delà de la rhétorique politique et de la posture médiatique, les élites dirigeantes russes font manifestement preuve d’un goût sans fin, voire sans fond, pour ces défilés. Les négociations et les pourparlers seraient-elles l’essence même de cette caste politique, même en période de guerre ? L’image de la Russie n’en sort pourtant pas grandie et la véritable paix n’est pas plus proche.

Mandats d’arrêt contre Choïgou et Guerassimov : la CPI signe et persiste dans l’impuissance

Comme il est coutume de dire : il n’y a que le premier pas qui coûte. Ce proverbe convient parfaitement à la Cour pénale internationale qui, insistant dans son incompétence, continue à une vitesse impressionnante à adopter des mandats d’arrêt déclaratoires contre des ressortissants russes, quand la Russie ne reconnaît pas sa compétence. Cette fois-ci, cela concerne l’ancien ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou et le chef de l’état-major, Valery Guerassimov.

Billet sébastopolien : on ne négocie pas avec les criminels

Hier à 12h15, l’armée atlantico-ukrainienne a lancé 5 missiles américains ATACMS sur les plages de Sébastopol. Un dimanche d’été. Plus de 150 personnes touchées dont une trentaine d’enfants, heureusement seulement 4 morts. 4 missiles ont été interpelés par le système de défense aérienne russe, un a explosé en vol, il contenait des sous-munitions pour toucher un maximum de civils. Voici la réponse apportée au «plan de paix» de Poutine. Il va bien falloir à un moment donné accepter cette réalité.

Déglobalisation : La Russie décide de sortir de l’Assemblée parlementaire de l’OSCE

Suite aux entraves régulières à la participation des délégations russe et biélorusse, les deux chambres du Parlement russe décident de la sortie de la Russie de l’Assemblée parlementaire de l’OSCE. Cette assemblée, ajoutée après la chute de l’URSS au tout début des années 90, est un véritable organe de soft power globaliste, devant exercer sa pression au niveau des organes représentatifs des pays membres. La sortie de la Russie de cet organe est en soi une excellente décision : y rester sans pouvoir réellement y participer est une forme de légitimation, de soumission.

Russie : les députés vont discuter du durcissement de la législation sur l’immigration

Après le Comité de la Douma, chambre basse du Parlement russe, le Gouvernement vient de soutenir la réforme de la législation sur l’immigration facilitant l’expulsion des étrangers en situation irrégulière, parfois sans décision de justice, et restreignant leurs droits. L’implication des étrangers dans les actes de terrorisme et l’activité politique de certains autres conduisent à revoir les conditions de séjour en Russie de cette catégorie de personnes.

OTAN / Russie : Stoltenberg appelle à mettre les armes nucléaires en alerte en Europe

Pour une raison assez surprenante, alors que le Secrétaire général de l’OTAN Stoltenberg annonce que, dans le cadre de la guerre contre la Russie, les pays de l’OTAN, dont la France fait partie, discutent de mettre les armes nucléaires en alerte, les médias français restent d’une discrétion très appliquée. Cela pourtant nous concerne, puisque la France est la seule puissance nucléaire en Europe. Et qu’en cas de confrontation directe avec la Russie, les pays européens seront à nouveau un champ de bataille, avant de ne devenir un champ de ruines.

Globalisation : l’OTAN se prépare à prendre institutionnellement le contrôle grâce à la guerre en Ukraine

Avec l’approche des élections américaines et l’incertitude quant à leur issue, l’OTAN se prépare à prendre formellement le commandement de la guerre en Ukraine, avec obligation pour les pays de l’OTAN de fournir des armes et l’ouverture de bases militaires aux frontières de la Russie. Les élites globalistes sont apatrides, elles peuvent temporairement quitter les Etats-Unis le temps de la présidence de Trump, sans que l’agenda international ne soit fondamentalement changé. Et le caractère existentiel de la guerre conduite par les Atlantistes en Ukraine contre la Russie ne peut se permettre le luxe des aléas politiques nationaux.

Guerre en Ukraine : l’OTAN veut officiellement coordonner le conflit

Dans sa tournée est-européenne, l’indéboulonnable Secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, bien entouré des têtes de pont lettone et polonaise de la guerre menée en Ukraine contre la Russie, déclare lors de la conférence de presse à Riga, que l’OTAN doit mettre en place une mission de coordination de l’aide militaire fournie sur le front ukrainien. Bref, avoir une sorte d’état-major. Le mirage d’une guerre menée par l’Ukraine s’éloigne de plus en plus, devenant intenable face à la réalité de la paternité de l’OTAN.

Macron va-t-en-guerre, en tout cas il nous y envoie

Macron vient de le répéter hier soir : la Russie ne peut pas et ne doit pas gagner cette guerre. Il annonce donc que la France n’aura pas de limites. Pas de limites, dans la défense de l’intérêt atlantiste.  Allons-nous réellement devoir lancer une guerre conventionnelle de haute intensité avec la Russie, à laquelle nous ne sommes pas prêts, pour défendre le pouvoir des élites globalistes ? Macron l’envisage, car cette guerre est, comme il l’affirme, existentielle. Pour ces élites. Ce n’est manifestement qu’une question de temps.

France : le Sénat vient d’adopter définitivement la proposition de loi légitimant l’ingérence européenne

Les lois régulant l’ingérence étrangère sont à la mode, bien que différentes les unes des autres. Alors que la France criait à l’ingérence russe lors de l’adoption de ce type de loi en Géorgie, elle vient elle aussi de faire passer définitivement au Sénat une forme de régulation des ingérences étrangères, qui offre une impunité absolue à l’ingérence européenne en France. Est-ce une forme d’ingérence américaine, défendant l’ordre global ou bien la reconnaissance qu’il ne peut y avoir d’ingérence européenne en France, puisqu’il s’agit d’une gouvernance européenne sur la France ? 

Guerre en Ukraine : les lignes flottantes et un Barbarossa 2.0. pour la Russie et l’Europe

Une grande partie de cette guerre, bien réelle, qui se déroule en Ukraine, est communicationnelle. Comme lors de toute guerre, les médias sont utilisés pour lancer des signaux à l’adversaire, autant que pour préparer l’opinion publique. Ainsi, la Russie a décidé de jouer la carte du calme froid et du flou de «l’asymétrie», quand les pays de l’Axe atlantiste développent une rhétorique de plus en plus ouvertement guerrière. Mais ne sommes-nous pas à l’aube d’un nouveau virage dans ce conflit, qui pourrait basculer dans les mois à venir, soit en prenant une nouvelle intensité, soit en purgeant la bulle médiatique (si elle est vide de politique) et en stagnant.

Macron rapproche dangereusement la France d’une confrontation militaire avec la Russie

Macron entraîne la France toujours plus près d’une confrontation militaire directe avec la Russie. Ainsi, non seulement il autorise l’utilisation des armes françaises contre des cibles en profondeur sur le territoire russe, mais il envoie des militaires français en Ukraine, formellement des «instructeurs». Face à l’avancée de l’armée russe sur le front, l’Axe atlantiste joue l’escalade. Au prix de nos hommes. Comme si la Russie allait indéfiniment se retenir de répondre directement.

Guerre en Ukraine : «Frapper le territoire russe», la nouvelle escalade voulue par l’OTAN

Ces derniers jours, une nouvelle litanie est apparue dans le discours politico-médiatique occidental : frapper le territoire russe. Le recul de l’armée atlantico-ukrainienne sur le front ukrainien oblige les Atlantistes à aller toujours de plus en plus loin, d’autant plus qu’ils sont persuadés que la Russie ne répondra pas autrement que par une escalade verbale, comme ce fut le cas jusqu’à présent.