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L’école en Russie : les globalistes russes lancent une attaque sans précédent contre la jeunesse

Alors que l’Union soviétique avait réussi à mettre en place l’un des systèmes d’enseignement et de recherche le plus performants au monde, il ne cesse d’être dégradé depuis l’arrivée des globalistes au pouvoir. Après avoir fanatiquement implanté le Processus de Bologne, et continuer en réalité à le faire encore aujourd’hui, un coup peut-être fatal est en train d’être porté à l’école. La Russie n’aurait pas besoin de forces vives ou les globalistes n’ont pas besoin que la Russie ait ces forces, afin de ne pas perdre le contrôle de ce territoire ? Le transfert forcé de l’école sur les réseaux sociaux et la discussion sur la réduction des années d’enseignement provoquent un fort émoi chez les parents d’élèves.

Face à la menace atlantiste, la Russie renforce sa doctrine nucléaire

Hier, Vladimir Poutine a présidé la réunion du Conseil de sécurité sur la dissuasion nucléaire. Avec la lente mais persistante transformation du conflit en Ukraine en guerre conventionnelle pouvant devenir de haute intensité, la Russie se voit dans l’obligation de renforcer sa doctrine nucléaire. Non pas pour frapper les pays occidentaux, comme le prétend la propagande atlantiste, mais justement pour que sa doctrine nucléaire puisse pleinement jouer le rôle de dissuasion qui est le sien.

La Cour internationale d’arbitrage de La Haye et la fantasmagorie du démontage du Pont de Crimée

L’instrumentalisation des instances dites judiciaires internationales est devenue, avec l’intensification du conflit atlantiste en Ukraine, une ligne de combat comme une autre contre la Russie. Mais s’il est possible de produire de la propagande médiatique, s’il est possible de détourner les instances politiques, les organes à prétention judiciaire sont plus rigides par nature et ici, soit ils tombent dans le ridicule et se discréditent comme la CEDH, soit ils ont du mal à jouer jeu comme c’est le plus souvent le cas. Désormais, la balle est dans le camp de la Cour internationale d’arbitrage de La Haye, à laquelle l’Ukraine ne demande rien moins que de démonter le Pont de Crimée et de nullifier ses défaites militaires.

Billet russe : après la tentative de retour du FMI, le tour de Pozner

La file d’attente pour le retour des enfants prodiges commence à s’allonger dangereusement. Nous avions parlé de la tentative du FMI d’opérer un retour en beauté, finalement avorté. Le présentateur libéral bien connu pour son amour de l’Occident et ses critiques hautaines pour la Russie, Vladimir Pozner, fait un retour étonnant sur la Première chaîne russe. La stratégie du refoulement est manifestement remise au goût du jour. Toutefois, si certaines élites sont toujours prêtes à jouer ce jeu, le peuple n’est plus le même.

Tirs en profondeur : le Parlement européen appelle à entrer en conflit direct contre la Russie

La composition de la nouvelle Commission européenne s’accompagne d’une radicalisation virant au fanatisme de son discours, poussant les pays européens à tirer en profondeur en Russie ou encore leur demandant de «nommer» l’opposant au Président Maduro (qui a perdu les élections) au poste de Président du Venezuela. Est-ce réellement un signe de renforcement de l’UE ? Ou bien n’est-ce qu’un paravent communicationnel ? Mais alors dans quel but ?

Sous la baguette de l’OTAN, la Finlande et l’Estonie envisagent la fermeture du Golfe finlandais à la Russie

Les pays Baltes ont toujours été les enfants chéris de l’Atlantisme. Dans le cadre du conflit armé, qui se déroule contre la Russie, ces pays sont utilisés comme base avant de l’OTAN. Et l’entrée récente de la Finlande au sein de l’Alliance continue à produire ses effets. Désormais, il est ouvertement question d’interdire l’accès au Golfe finlandais à la marine russe. L’on ne compte plus les pas fait pour aggraver le conflit, c’est une véritable fuite en avant à laquelle nous assistons.

Guerre en Ukraine : nouvelle augmentation des effectifs militaires en Russie

Avec le glissement du conflit en Ukraine vers une guerre traditionnelle, pouvant devenir de haute intensité, la question des hommes est redevenue une question centrale. Après avoir régulièrement réduit les effectifs de l’armée selon les dogmes néolibéraux, la Russie pour la troisième fois augmente les effectifs. Elle deviendra alors la deuxième armée du monde au regard du potentiel d’hommes combattants.

Guerre en Ukraine : le FMI veut faire son retour en Russie

Le FMI a annoncé reprendre ses contacts avec la Russie à compter d’aujourd’hui, 16 septembre. Vous me direz : mais quel est le rapport avec la guerre en Ukraine ? Il est direct. Comme la Russie ne s’est pas effondrée suite aux sanctions, qu’elle n’est pas isolée sur la scène internationale et qu’une victoire militaire rapide contre elle est désormais inenvisageable, alors il faut réinvestir le territoire perdu du soft power atlantiste. Et le FMI est très doué pour détruire les pays de l’intérieur et faire ainsi tomber les élites dirigeantes nationales, il a une longue expérience en la matière.

Missiles à longue portée : l’OTAN pousse à la confrontation avec la Russie

Stoltenberg se félicite de l’envoi de missiles à longue portée en Ukraine, pour pouvoir viser des cibles en profondeur en Russie, ce qui doit permettre soi-disant à l’Ukraine de soi-disant se défendre. Le discours atlantiste est bien fondé sur ces deux mythes : le premier est que c’est l’Ukraine qui se bat, le second est qu’elle se défend. Des mythes, qui sont censés permettre d’éviter les pays de l’Axe atlantiste d’expliquer à leur population qu’ils font la guerre à la Russie sur le front ukrainien pour défendre des intérêts, qui ne sont pas les leurs.

Front ukrainien : rappelons que la cible à Poltava était militaire

Le tir de missiles russes à Poltava sur l’école militaire et l’hôpital adjacent, également militaire, font rugir de rage les médias occidentaux. Et pour cause, la cible est militaire donc légitime et un bon nombre «d’instructeurs» étrangers auraient également été touchés. De son côté, l’armée atlantico-ukrainienne continue à toucher les habitations et le marché de Donetsk. 

L’UE peine à formellement autoriser l’utilisation des armes occidentales en profondeur en Russie

Hier, les ministres des Affaires étrangères des pays de l’UE, sous la baguette de Borrell se sont réunis non pas à Budapest comme cela devait avoir lieu la Hongrie exerçant la présidence tournante, mais à Bruxelles — c’est quand même plus sûr. Le menu est un peu fade à force d’être répétitif : l’Ukraine, les fonds, les armes. Et l’on sent bien que ça bloque : malgré le fanatisme de Borrell et la pression de certains pays comme la France et la Grande-Bretagne, les pays européens ont du mal à formellement entrer en guerre contre la Russie en Ukraine. Combien de temps pourront-ils résister, avant que le maître ne frappe du poing sur la table et qu’ils s’exécutent ?

Dourov remis en liberté : combien cela a-t-il coûté ?

La grande saga politico-judiciaire du fondateur de Telegram, à la différence d’Assange, n’aura pas duré longtemps : le juge a remis Dourov en liberté. Certes, il devra deux fois par semaine aller pointer et s’allège d’une caution de 5 millions d’euros, mais nous sommes bien loin des mesures normalement adoptées en cas de crimes graves (dont il est accusé). La question reste alors : et qu’a-t-il offert ou promis d’offrir contre ce régime très allégé ?

Koursk et les «frappes de vengeance» : et si l’on appelait les choses par leur nom ?

Alors que le front s’est dangereusement stabilisé à l’intérieur de la région de Koursk, le discours médiatique russe s’enfonce dans l’absurde habituel, à chaque fois qu’une situation est difficilement surmontable sur le terrain. Ainsi hier soir sur une chaîne fédérale, le JT s’est ouvert sur des fameuses «frappes de vengeance» effectuées par l’armée russe sur toute une série de cibles sur le territoire ukrainien. Vengeance ? Les centaines de milliers de personnes déplacées, les milliers de personnes vivant sous l’occupation se sentent ainsi … vengées ? Vraiment ? Il serait peut-être plus efficace de libérer le territoire occupé, ce que le Président avait d’ailleurs exigé.

Billet du lundi : retour sur l’arrestation de Pavel Dourov en France

Pavel Dourov, fondateur de la messagerie Telegram, a été arrêté samedi soir sur le tarmac du Bourget … alors qu’il était sous le coup d’un mandat d’arrêt. Libertarien, surfant sur la vague des «génies infantiles» que le monde post-moderne adule, il est présenté comme «l’opposant à Poutine» et l’homme libre par excellence aujourd’hui. La Russie voudrait le défendre, mais il a la nationalité française et ne vit plus dans le pays. Que se cache-t-il derrière cette arrestation ? De la russophobie, comme on le répète en Russie ? Non, en tout cas pas uniquement. Tout comme l’agression armée à Koursk n’est pas du terrorisme, l’arrestation de Dourov n’est pas que de la russophobie. Nous sommes en guerre. Et c’est uniquement dans ce paradigme que cette arrestation prend tout son sens. Derrière Dourov, c’est la Russie qui est visée. Cet ennemi à détruire.

L’Ukraine se reconnaît une immunité devant la CPI

L’Ukraine vient de ratifier les statuts de la Cour pénale internationale. Il est vrai que cette instance a été lancée en première ligne dans la guerre conduite par les Globalistes contre la Russie, même si celle-ci ne reconnaît pas sa compétence. Pour autant, une immunité a été octroyée à l’Ukraine, qui est ainsi autorisée à commettre autant de crimes qu’il est «nécessaire» à l’Axe, sans que ses combattants ne soient inquiétés. Ils «oeuvrent» pour le «bon» camp, ils peuvent donc commettre des crimes de guerre. Les Atlantistes ont l’habitude de cette hypocrisie sanguinaire.