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Globalisation : L’Arménie en passe d’être digérée par l’Azerbaïdjan

Sous la présidence de Pachinian, l’Arménie prend le même chemin, que l’Ukraine et les mêmes causes conduisent aux mêmes effets. Alors qu’elle se prépare à discuter de son entrée dans l’UE, elle a déjà perdu le Haut-Karabakh et l’Azerbaïjan lorgne avec une envie non cachée sur le reste du territoire, jouant ainsi la carte de son maître turc, afin de pouvoir relier les deux territoires de l’Empire ottoman.

La voie «européenne» de l’Arménie

L’Arménie de Pachinian continue son processus de désintégration globaliste. Après l’abandon du Haut-Karabakh et d’une partie du territoire à l’Azerbaïdjan, c’est tout le pays qui est offert à l’Union européenne. Le processus est enclenché, avec le soutien très actif et très lucratif de l’UE. Qui oserait parler d’ingérence ? Quelle idée !

Pachinian fait de l’Arménie une colonie atlantiste

Les manifestations demandant le départ du Premier ministre arménien Pachinian n’en finissent pas, elles sont réprimées dans la violence par la police, mais personne en Occident ne lui demande de laisser le peuple arménien s’exprimer. En effet, celui-ci ne brandit, ni drapeau européen, ni drapeau américain, il ne veut que retrouver sa souveraineté, quand Pachinian l’a vendu, remplissant la mission pour laquelle il a été mis en place. Ce n’est pas ce peuple, qui intéresse le monde global. Mais c’est sur lui, que repose l’Arménie.

«Délimitation» de la frontière : Pachinian continue de transférer l’Arménie à l’Azerbaïdjan

La «délimitation» de la frontière entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan passe par le transfert de certains villages, avec leurs populations, à l’Azerbaïdjan, sans compter la question de la route vers la Géorgie ou du transit de gaz pour l’Arménie. Si Pachinian trahit sans ciller, les habitants, eux, se révoltent. Les élites globalistes coûtent toujours cher aux pays, qui les accueillent … 

L’Azerbaïdjan agresse le Haut-Karabakh : trahison finale de Pachinian

Hier, l’Azerbaïdjan a décidé d’attaquer le Haut-Karabakh. Malgré les déclarations occidentales condamnant cette agression, chacun sait parfaitement que personne n’interviendra, le scénario est déjà ficelé et Pachinian joue le dernier acte. Désormais, l’Arménie tente d’en faire reporter la responsabilité à la Russie et les médias commencent à s’engager dans cette ligne. Mais juste une question : pourquoi la Russie, devrait-elle défendre Pachinian ? Et contre qui, contre ses mentors atlantistes ? Doit-elle alors intégrer une région, avec laquelle elle n’a aucune frontière ? Non, évidemment. Les Arméniens ont élu Pachinian, à eux aussi de réagir. Et à Pachinian de prendre ses responsabilités : soit il est avec les Arméniens, soit il est avec les Atlantistes.

Arménie — OTAN : le rôle destructeur de Pachinian pour la sécurité arménienne

Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian n’en termine pas de mettre de l’huile sur le feu et de tenter de séparer l’Arménie de la Russie, c’est d’ailleurs bien pour cela qu’il a été mis en place en 2018. Après avoir quasiment annoncé l’abandon du Haut-Karabakh à l’Azerbaïdjan, malgré les efforts diplomatiques de la Russie et contre la volonté de la population, il reproche à la Russie de ne pas être suffisamment efficace dans la région et de ne pas suffisamment garantir la sécurité arménienne. Tout est fait pour provoquer un conflit, a minima diplomatique, autour d’une entrée de l’Arménie dans l’OTAN.

Haut-Karabakh : Les Etats-Unis reprennent la main en Arménie

Le conflit dans le Haut-Karabakh entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, qui prend ses racines il y bien longtemps de cela, était traditionnellement géré par la Russie, depuis l’époque impériale. Il s’agissait de sa zone d’influence et de compétence, puisque jusqu’à la fin de la période soviétique, et l’Arménie, et l’Azerbaïdjan en faisait partie. Or, l’on voit aujourd’hui cette zone lui échapper et être décisivement reprise par les Etats-Unis, qui ont obtenu de leur créature Pachinian un renoncement au Haut-Karabakh, cette région contestée d’Azerbaïdjan majoritairement peuplée d’Arméniens. Pour autant, nous nous éloignons ainsi de la paix et cette région risque alors d’être sérieusement et longuement déstabilisée.