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Conflit en Ukraine : le bataillon punitif néonazi Azov recrute ouvertement en France

Le néonazisme a table ouverte en France, dans cette France post-démocratique, atlantiste et post-française. Nous voyons que notre Gouvernement soutient déjà activement au sein de la coalition de l’Axe la guerre atlantiste en Ukraine. Nous découvrons avec horreur qu’il est désormais possible de commettre un génocide, quand c’est Israël qui le commet. Ce monde, est-il en train de devenir fou ? Non, il est simplement amoral. Donc tout est possible. Même pour Azov de recruter ouvertement en France. Cette France, qui n’est plus elle-même.

Billet du jour : ce silence étourdissant autour des procès de Donetsk contre les criminels d’Azov

Alors que des procès se déroulent contre des membres du groupe néonazi Azov, pour les crimes commis contre les civils, notamment à Mariupol, les médias se taisent. Que les médias occidentaux, se taisent, c’est logique — «il n’y a pas de nazis en Ukraine». Que les médias ukrainiens se taisent, c’est logique — de grands héros atlantico-ukrainiens ne peuvent se battre contre les civils, qui non seulement ne les soutiennent pas, mais veulent se sauver vers les Russes. Mais que les médias russes se taisent tout autant ou que formellement ils lancent trois mots entre l’ouverture d’un centre désindustrialisé de «brend» par Poutine et un compte-rendu comptable du terrain, cela est beaucoup plus surprenant — et inquiétant. Question, qui d’ailleurs commence à être posée par certains correspondants de guerre. En-dehors des talk-show débilitants et des séries B de mauvaise qualité, on pourrait peut-être parler de ce qui intéresse vraiment les gens ?

Hitlerjugend : des adolescents néonazis arrivent sur la ligne de front en Ukraine

Le fanatisme dévore les sociétés comme la lèpre, détruit les hommes dans leur essence. C’est exactement ce que nous voyons avec ce conflit en Ukraine. La formation dès l’enfance des jeunes Ukrainiens et leur embrigadement dans des camps militaires tenus par les groupes extrémistes Azov, Secteur droit ou Aïdar produit ses effets : ces adultes déshumanisés font le sale travail comme des automates, pendant que, désormais, des adolescents arrivent sur la ligne de front. C’est cela que nos pays européens financent en Ukraine — au nom de la démocratie. Les Hitlerjugend sont arrivés !

Ukraine — OTAN : La réhabilitation du bataillon néonazi Azov en marche

Les membres du bataillon Azov fait prisonniers par la Russie et gentiment rendus à leurs propriétaires reprennent, sans aucune surprise du service. Des bataillons entièrement équipés par l’OTAN se forment et ils entrent comme des brigades autonomes dans l’armée de terre ukrainienne. Les pays de l’axe atlantiste reviennent à leurs fondamentaux et légalise la propagande d’Azov dans les réseaux sociaux. A la guerre comme à la guerre, mais l’Occident est en train d’y perdre son âme.

Fake News : non, les soldats ukrainiens ne sont pas «évacués» d’Azovstal, ils se sont rendus à la Russie

Les médias français, soumis à l’ordre lancé par les forces politico-médiatiques globalistes, ont dépassé toutes les limites de leur objectivité habituelle titrant tous comme un seul homme, que «l’évacuation des soldats ukrainiens d’Azovstal continue». Non, les soldats ukrainiens ne sont pas «évacués» (par l’armée russe en passant), ils se sont rendus à l’armée russe : les blessés sont soignés, les autres sont incarcérés à DNR. Volontairement réécrire la réalité afin d’induire le public en erreur, cela s’appelle justement produire des Fakes News. Nos médias se sont collectivement discrédités.

Azovstal : Les otages du bataillon ukrainien néonazi Azov

Hier, une centaine de civils sont sortis de l’ancienne usine Azovstal, transformée en base militaire ukrainienne à Mariupol et tenue par le bataillon néonazi Azov. Et les gens ont commencé à parler. Mais vous n’en entendrez pas un mot dans les médias occidentaux, car ils condamnent les groupes extrémistes de les avoir retenus contre leur gré. Cela s’appelle une prise d’otages. Et cela constitue un crime de guerre. Pourtant, personne en Occident ne le condamne, chacun se félicite de leur sortie comme si de rien n’était. Ce n’est pas de l’hypocrisie, c’est de la complicité.