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Billet du mardi : Borrell reconnaît que l’Occident ne se bat pas en Ukraine pour l’Ukraine

Au moins les choses sont dites, il ne peut plus y avoir de doute : l’Axe atlantiste ne se bat pas en Ukraine dans l’intérêt de l’Ukraine. Ces pays utilisent l’Ukraine pour y défendre leurs propres intérêts. A savoir, l’existence de leur monde, de leur pouvoir globaliste qui passe par la capitulation de la Russie et ce, s’il le faut, au prix de l’Ukraine … et manifestement des pays européens. Ecoutez Borrell, dans un rare moment d’intégrité morale sur CNN.

La guerre en Ukraine accélère le processus de désintégration du Continent européen … au profit de l’UE

Alors que la situation socio-économique ne cesse de se dégrader dans les pays européens, notamment en France, Joseph Borrell veut lancer l’UE vers un élargissement, entre autres à l’Ukraine et aux Balkans. N’ayons aucun doute, que la situation sera telle à l’intérieur, que les gens n’auront même pas le temps de s’inquiéter des risques immédiats alors d’une confrontation directe avec la Russie. Si tel est le but, celui de la désintégration du Continent européen, comme puissance et civilisation, il risque d’être atteint grâce à la ligne atlantiste fanatique de l’UE.

USA / Russie : Quand Borrell se vante d’avoir entraîné les Européens dans la guerre en Ukraine

Joseph Borrell présente une constance certaine dans ses déclarations : pour le responsable de la diplomatie européenne, il ne parle que de guerre. Il la soutient de toutes ses forces, de tout son être. Elle est manifestement devenue sa raison d’être. Il détaille ainsi au Financial Times, comment il a entraîné les pays européens dans l’armement de l’Ukraine en détournant les textes normatifs et en utilisant pour cela le Fonds de la paix, qui finance la guerre, dans la plus pure tradition orwellienne. Une belle réussite, que l’on voit confirmée par le vice-amiral H. Bléjean, devant l’Assemblée nationale française. Avec détail des coûts et des engagements à venir.

Billet de modélisation : La stratégie d’encerclement politico-juridique, développée par le monde global contre la Russie en soutien à la dimension militaire ukrainienne

L’impression d’une entrée en guerre de l’Europe contre la Russie se précise. Cette guerre n’est pas réalisée, pour l’instant, sous la forme d’une confrontation militaire directe, même si le discours européen monte dangereusement en puissance, mais elle se dirige juridiquement pour une contestation de l’étaticité de la Russie. Et pour cela, le discours médiatique de l’ennemi, centré sur Poutine entraînant une Russie, devenue «terroriste» lorsqu’elle se défend, s’accentue dans un espace médiatique, qui ne supporte plus la nuance. Une stratégie à trois niveaux se met en place contre la Russie.

Billet du jour : Borrell n’est pas satisfait par la paternité de l’OTAN dans le conflit ukrainien

Le diplomate en chef de l’UE, Joseph Borrell, nous a encore une fois gratifié de l’une de ses sorties … d’une grande diplomatie. Lors de son intervention à la Fondation Carlos de Amberes de Madrid, Borrell a reconnu les fausses promesses de l’OTAN à la Russie, mais ne comprend pas en quoi cela doit avoir des conséquences. Et surtout cela n’est censé n’avoir aucun rapport avec la guerre en Ukraine. Aucun, point. En effet, les actes des Maîtres ne se discutent pas — sinon, où en serions nous ? Manifestement, à la différence de l’Union européenne, la Russie ne considère pas l’OTAN comme la voix de son Maître et, en toute logique, lui impute la paternité du conflit en Ukraine.

Billet d’humeur : non, ce n’est pas une erreur de traduction, Borrell a bien dit «Russie fasciste»

Manifestement, les hommes politiques actuels n’ont plus l’habitude de porter la responsabilité de leurs paroles. Ils se sentent en totale impunité, pouvant dire tout et n’importe quoi, sans aucune conséquence. C’est le cas de Joseph Borrell, qui vient de traiter au Parlement européen la Russie de pays fasciste, reprenant la tendance atlantiste actuelle et traduisant l’ambiance dans les coulisses des institutions européennes, tout en oubliant manifestement le caractère public de ses propos. Se cachant derrière une «erreur de traduction», qui n’en fut pas une, la Russie considère avec stupeur le cadavre de la diplomatie en Europe.

Annulation du régime simplifié des visas ou comment l’UE se prive d’un instrument de soft power face à la Russie

Le fanatisme est intéressant en ce qu’il conduit inexorablement à adopter des mesures, qui sont préjudiciables à leur auteur. C’est ainsi que l’atlantisme radical des institutions européennes oblige les Etats membres à suspendre le régime simplifié de délivrance des visas avec la Russie, faute de n’avoir pu trouver un accord pour une rupture totale et un isolement de l’Europe. De cette manière, les pays européens, en perdant le levier touristique, se prive d’un moyen particulièrement efficace de transmission des «valeurs» post-modernes, du nouveau mode de vie de l’homme seul et sans Patrie (c’est-à-dire désormais «libre»), des mouvements anticivilisationnels, bref de tout ce qui fait «l’attractivité» de l’Occident aujourd’hui et accompagne ses magasins et ses restos. Tout a un prix, la question restant de savoir qui va payer la note.

Fanatisme atlantiste de l’UE : Borrell veut conduire les pays d’Europe à de facto déclarer la guerre à la Russie

Les déclarations de Joseph Borrell, théoriquement en charge de la diplomatie européenne, ressemblent de plus en plus à celles d’un chef de guerre, en tout cas de celui qui veut envoyer les autres à la guerre. Selon la dernière en date, il exige que les pays européens, non pas l’Union européenne qui n’est qu’une coquille vide sans les Etats, mais bien les Etats européens prennent en charge l’organisation et la formation de l’armée ukrainienne. Autrement dit, il veut que les Etats européens deviennent formellement partie au conflit.