Помечено: école

Billet d’humeur : et si l’on ouvrait réellement le front de l’enseignement en Russie ?

Alors que le pays est depuis deux années engagé frontalement dans une guerre de civilisation, des propositions d’un autre temps ne cessent d’émerger en Russie. Ainsi en est-il de l’éternelle rengaine de la diminution des devoirs à la maison et des contrôles de connaissances à l’école. Enfermer les enfants dans un culte ludique les affaiblissant, psychologiquement et intellectuellement, n’est pas le meilleur moyen de renforcer la société et de la préparer à sortir du carcan globaliste. Bien au contraire, c’est faire de l’intérieur, ce qu’il n’est pas possible de faire de l’extérieur.

France : une société «mise» en déliquescence

Le Sénat a sorti, il y a quelques jours de cela, un rapport édifiant sur la mise à mort de l’école. Cette fois-ci, il ne s’agit pas des programmes. L’école n’est depuis longtemps plus un lieu, où l’enfant va acquérir des connaissances, mais un lieu de construction d’un individu faible, peu éduqué, gavé aux dogmes écologiste, gender, LGBT, numérique et climatique. L’alerte a été lancée sur un autre aspect : sécuritaire. La violence à l’école explose. Le Sénat s’inquiète, mais refuse d’envisager la véritable conclusion : l’école est le reflet de la société, importe ses conflits. Le modèle anti-national, anti-civilisationnel et anti-français implanté en France depuis des années ne peut conduire qu’à l’implosion de la société française et donc de l’école.

Culte numérique : la Russie légalise l’utilisation du smartphone à l’école

Le smartphone est devenu un élément central de l’enseignement en Russie. En général, cette instrument est pour une grande partie de la population, quel que soit le pays, un prolongement du corps, un succédané de l’esprit, ce qui permet de normaliser l’acception a priori absurde «d’intelligence artificielle». Cet objet de culte participe grandement à la dégradation de la qualité de l’enseignement en particulier et de l’individu en général. C’est pourquoi les députés russes ont décidé de réguler son utilisation — et donc de la légaliser, afin de «renforcer la qualité de l’enseignement». La déglobalisation doit d’abord passer par les esprits, par la possibilité de penser le monde en dehors des cultes globalistes, et cela va prendre beaucoup de temps …

Ecole en France : interdiction de l’abaya, sans remise en cause de la politique d’immigration massive

Il y a une semaine de cela, le nouveau ministre de l’Education nationale annonçait tout fringant l’interdiction de l’abaya à l’école, car ces vêtements en vogue dans les pays du Golf portent atteinte à l’école républicaine, étant une marque religieuse ostentatoire. Que les élèves viennent à l’école sans abaya, en soi serait une bonne chose. Mais attendre que la France compte environ 5 millions de fidèles musulmans pour adopter cette mesure, sans par ailleurs remettre en cause la politique d’immigration massive et de dénigrement de la culture française, ce n’est pas une faute politique, c’est de la provocation.

Billet français : pourquoi une telle haine envers nos enfants ?

Que reste-t-il de l’école aujourd’hui en France ? Entre séances drag-queen et formatage des esprits à la normalisation de l’homosexualité, c’est toute une génération qui se trouve déstructurée et donc affaiblie. Quels adultes deviendront-ils ? Une masse docile et manipulable, sans véritable identité, sans racine et sans véritable éducation. En fait, tel est le but. C’est le rêve de n’importe quel pouvoir : une masse contrôlable par une petite élite, elle, réellement formée de manière traditionnelle, afin de pouvoir gouverner et se reproduire. Pourquoi tant de haine envers nos enfants ? L’extrémisme n’est pas là, où on veut nous le faire croire.