Помечено: russophobie

Norvège : Renforcement des lois de ségrégation anti-russes en Europe

Alors que l’UE suit la ligne globaliste No Border, puisque les individus, sans racines et sans Patrie, doivent choisir où vivre en fonction de leur caprice et que l’Etat a lui pour obligation de les accueillir dignement, il semblerait que tous les étrangers ne se valent pas, en tout cas n’aient pas les mêmes droits. Ainsi, la Norvège entre dans le train des pays européens adoptant une législation de ségrégation contre les Russes. Etrangement, nous n’en trouvons, pour l’instant, aucun mot dans les médias français. Dérangeant ces principes des heures noires de notre histoire?

Conflit en Ukraine : l’échec du régime atlantico-ukrainien à éradiquer le russe de la vie quotidienne

Alors que les médias en Occident ne cessent de présenter le conflit en Ukraine comme une agression de la Russie et une résistance du peuple ukrainien, la réalité prend une toute autre forme. Ainsi, le soutien populaire en Ukraine apporté à la Russie n’arrive pas à être anéanti, malgré une répression de toute forme de soutien, ne serait-ce que par la langue. Un exemple avec les chauffeurs de taxi de Kiev.

Russophobie ordinaire : quand le Président tchèque prend en exemple l’internement des Japonais aux USA pour les Russes en Europe

Les Européens, eux, sont en guerre et toute la haine primaire, retenue par les impératifs civilisationnels, sont en train de sauter sous l’effet pervers de la guerre, pour nous ramener à des temps barbares. Ainsi, le président tchèque propose très sérieusement de reprendre l’exemple américain du déplacement et de l’internement des Japonais lors de la Seconde Guerre mondiale, pour le traitement des Russes en Occident. Aucune indignation de la «communauté internationale», qui en rêve sans (encore) oser se l’avouer.

Le procès des «journalistes russophones» s’ouvre en Lettonie : la répression s’intensifie en Europe

Ce 11 avril, Riga enterre le journalisme en Europe. Il était une époque, où le métier de journaliste était respecté, certains étaient même craints. Ce temps est révolu, depuis que les journalistes, dans leur grande majorité, sont devenus des instruments, voire des larbins, du pouvoir. Peu importe d’ailleurs de quel pouvoir, ce n’est pas une question de conviction. En Lettonie, la chasse aux journalistes russophones franchit la ligne d’arrivée, avec l’ouverture aujourd’hui du procès contre rien moins que 14 journalistes, qui risquent 4 ans de prison pour avoir préparé des articles en russe pour le holding médiatique russe Russia Segodnia. Et aucune réaction, ni des organisations professionnelles, ni de leurs collègues en Occident, ni des grands défenseurs de la liberté et valeurs — quand elles sont globalistes. Une honte. Qui n’est ni la première, ni la dernière dans nos sociétés au totalitarisme rampant. Tout notre soutien à ces hommes, qui ont eu le courage de faire leur travail !