Рубрика: Billets

Billet tricolore : le canon CAESAR de la société française Nexter tire sur un hôtel à Donetsk pour cibler des responsables politiques russes

Comme le déclare le caporal Casse Pompon, à la minceur des épluchures, on voit la grandeur des nations. Ici, pour la grandeur, nous sommes servis ! Les armes françaises envoyées par Macron dans le Donbass, une fois de plus ont frappé. Et manifestement, elles servent à des fins de terrorisme politique. Car cibler un lieu, où doivent se réunir des responsables politiques, est bien du terrorisme politique. Toutes mes félicitations, Macron continue à enterrer la France. On va le laisser longtemps encore salir notre pays ? S’il a tant envie de faire la guerre, qu’il aille la faire, mais dans les règles et lui-même, avec ses proches, ses amis, leurs enfants et leurs maris. Nous ne sommes pas une Nation terroriste!

Billet du vendredi : le «conflit en Ukraine» est une nouvelle véritable guerre mondiale

Les Etats-Unis ont décidé d’intensifier la formation des militaires ukrainiens dès janvier, en plus de l’envoi d’une batterie de missiles Patriot. Cela répond à ceux, qui tentent de se convaincre de la volonté des Etats-Unis de conduire l’Ukraine à négocier … Et afin de mettre les points sur les i : non, les Etats-Unis ne font pas durer le conflit, ils font la guerre. Et ils la font pour gagner, non pas pour négocier. Leur but est simple : faire disparaître la Russie comme puissance potentielle, afin d’assurer la totalité de leur puissance. Il est temps d’appeler un chat un chat, les illusions coûtent toujours très cher en temps de guerre. La Russie n’en a pas les moyens. Cette guerre est déjà mondiale et l’une des batailles décisives se joue en Ukraine. Bataille, qui ne peut être remportée que militairement, ce à quoi l’Axe atlantiste travaille sérieusement. Le reste n’est que manoeuvre dilatoire.

Billet équitable : L’UE prépare un Tribunal international contre la Russie, qui reste dans le tout-communicationnel

Alors que la Russie a totalement déserté le champ juridique du conflit en Ukraine pour être obnubilée par la communication, l’UE et l’ONU se préparent à instaurer un tribunal contre la Russie sur le fondement très faible et contesté par la communauté internationale du «crime d’agression». L’ex-Yougoslavie a déjà démontré à quel point la «justice internationale» peut accompagner un conflit en cours et forcer le discours de la communauté internationale. Etrangement, les milieux politico-médiatiques russes ne diffusent qu’une partie des déclarations de notre Chère Ursula — les 100 000 militaires morts Ukrainiens. Les déclarations concernant la mise en place d’un Tribunal devant juger la Russie pour «ces crimes» est totalement absente du discours politico-médiatique russe. 

Billet d’humeur : le combat de la Russie contre la globalisation est du terrorisme pour le Parlement européen

Hier, le Parlement européen a adopté une résolution, acte politique sans force juridique, qualifiant la Russie de pays soutenant le terrorisme et l’accusant des mises en scène préalablement fabriquées dans ce but en Ukraine, mais également de la faim dans le monde ou d’oser soutenir Assad dans sa guerre contre les terroristes. Qualifier la lutte contre le néonazisme en Ukraine de terrorisme est du déjà vu, les résistants lors de la Seconde Guerre mondiale étaient également condamnés pour terrorisme. Au-delà de cette reconnaissance européenne du combat russe contre l’ordre global, qui utilise le terrorisme comme instrument de déstabilisation, les effets juridiques réels de cette résolution dépendront de la capacité de Moscou de sortir de la comm et du confort de l’espoir pour entrer dans le politique. Autrement dit, ne pas seulement faire des déclarations, mais de prendre de véritables décisions politiques — et de s’y tenir. Chacun occupant l’espace que l’autre lui laisse occuper. 

Billet allemand : Kalinka est une agression culturelle inacceptable contre l’Ukraine néonazie

L’on ne plaisante pas avec les symboles dans l’Europe atlantiste : pour avoir dansé Kalinka devant de «pôv’ Zukrainiens» en Allemagne, la jeune russe Yulia Prokhorova a finalement été expulsée du pays, après avoir fait l’objet d’une enquête pour soutenir la Russie. La liberté d’expression dans le «monde libre» c’est très bien, quand ça va dans le «bon» sens, c’est-à-dire quand on saccage des églises par exemple, mais l’on ne touche pas au culte globaliste ! Et l’Ukrainien pro-atlantiste est sacré, il est la figure devant justifier tous les sacrifices, la victime idéalisée. En revanche, la bonne conscience occidentale garde le silence sur l’exécution sommaire de prisonniers de guerre russes par des militaires ukrainiens. Cette vidéo-là ne choque pas. C’est vrai, rien à voir avec Kalinka quand même !

Billet européen : j’irai pisser sur vos autels

La CEDH vient de condamner la France pour avoir osé, dans un dernier sursaut, tenté de protéger l’Eglise. En effet, quelle idée de sanctionner une furie en pleine adolescence attardée, qui souille l’autel de l’église parisienne de la Madeleine et crie les seins nus. Le guide idéologique suprême européen a tranché : la vulgarité primaire est le summum de la liberté d’expression (c’est d’ailleurs tout ce qu’il en reste), surtout lorsque cela permet de détruire les autels du vieux monde, du monde humain. Le postmodernisme n’a pas besoin de la religion, ni des hommes, il a ses lieux de cultes (protégés) et ses individus, parfaitement dressés. Amen !

Billet de modélisation : La stratégie d’encerclement politico-juridique, développée par le monde global contre la Russie en soutien à la dimension militaire ukrainienne

L’impression d’une entrée en guerre de l’Europe contre la Russie se précise. Cette guerre n’est pas réalisée, pour l’instant, sous la forme d’une confrontation militaire directe, même si le discours européen monte dangereusement en puissance, mais elle se dirige juridiquement pour une contestation de l’étaticité de la Russie. Et pour cela, le discours médiatique de l’ennemi, centré sur Poutine entraînant une Russie, devenue «terroriste» lorsqu’elle se défend, s’accentue dans un espace médiatique, qui ne supporte plus la nuance. Une stratégie à trois niveaux se met en place contre la Russie.

Billet du jour : Borrell n’est pas satisfait par la paternité de l’OTAN dans le conflit ukrainien

Le diplomate en chef de l’UE, Joseph Borrell, nous a encore une fois gratifié de l’une de ses sorties … d’une grande diplomatie. Lors de son intervention à la Fondation Carlos de Amberes de Madrid, Borrell a reconnu les fausses promesses de l’OTAN à la Russie, mais ne comprend pas en quoi cela doit avoir des conséquences. Et surtout cela n’est censé n’avoir aucun rapport avec la guerre en Ukraine. Aucun, point. En effet, les actes des Maîtres ne se discutent pas — sinon, où en serions nous ? Manifestement, à la différence de l’Union européenne, la Russie ne considère pas l’OTAN comme la voix de son Maître et, en toute logique, lui impute la paternité du conflit en Ukraine.

Billet politique : ce sulfureux échange de prisonniers entre la Russie et l’Ukraine

Hier, le premier jour de la mobilisation en Russie a commencé par une dissonance importante : l’échange déséquilibré des prisonniers entre l’Ukraine et la Russie, que les médias occidentaux présentent de manière lapidaire, mais assez juste, comme un échange entre plus d’une centaine de néonazis d’Azov et Medvedchuk. Peskov, le porte-parole du Kremlin refuse de commenter cet étrange accord et Erdogan est aux anges, son travail de sape politique est toujours aussi efficace. Si l’on avait voulu tenter de briser l’élan patriotique et entamer la légitimité de Poutine, l’on n’aurait pas choisi une meilleure date et de meilleurs moyens.

Billet d’humeur : non, ce n’est pas une erreur de traduction, Borrell a bien dit «Russie fasciste»

Manifestement, les hommes politiques actuels n’ont plus l’habitude de porter la responsabilité de leurs paroles. Ils se sentent en totale impunité, pouvant dire tout et n’importe quoi, sans aucune conséquence. C’est le cas de Joseph Borrell, qui vient de traiter au Parlement européen la Russie de pays fasciste, reprenant la tendance atlantiste actuelle et traduisant l’ambiance dans les coulisses des institutions européennes, tout en oubliant manifestement le caractère public de ses propos. Se cachant derrière une «erreur de traduction», qui n’en fut pas une, la Russie considère avec stupeur le cadavre de la diplomatie en Europe.

Billet atomique : De Godot à l’AIEA, les USA et l’Ukraine attendent …

En attendant Godot, pardon de l’Agence internationale de l’énergie atomique, Volodomir et Joe voient eux aussi leur inquiétude monter : est-ce bien le bon endroit ? Vont-ils réellement oser venir ? Pourtant, ce n’est pas faute de tirer, de plus en plus fort et de plus en plus près. L’inquiétude est à son comble : s’ils arrivent cette semaine, il sera trop tard pour organiser une catastrophe nucléaire imputable à la Russie. Alors tirons, sur la Centrale, sur les civils, de toute manière les médias et les politiques européens sont en laisse, ils dansent et parlent sur commande. Ils sont … Lucky. 

Billet du jour : Le système libéral est mort, paix à notre âme

Macron ne s’est pas correctement exprimé : ce n’est pas la fin de l’abondance, c’est la fin d’un monde. Celui du libéralisme à visage humain. Déjà fortement remis en cause avec la gouvernance globale covidienne, le système libéral vient d’être enterré par Macron, puis par Borrell, après les nombreuses déclarations surréalistes de différents politiciens européens. La page du 20e siècle est tournée. Celle qui s’ouvre est peu ragoûtante … Et ne pouvant ouvertement assumer ce choix idéologique impopulaire, le conflit en Ukraine est instrumentalisé, la Russie est démonisée.

Billet d’Odessa : ne pas oublier que l’accord céréalier n’est pas une capitulation de la Russie

La Russie et l’Ukraine ont signé séparément en Turquie, sous l’égide de l’ONU, un accord céréalier. Parce que l’Ukraine a peur d’une nouvelle grande famine, il faut exporter de toute urgence le blé très loin du pays. Parce que les pays de l’OTAN peuvent faire entrer des armes en Ukraine, mais pas sortir de blé pour sauver le monde d’une famine politico-médiatique, il faut le faire passer par la mer Noire.

Billet indécent : rendons au drapeau français sa place d’honneur

Depuis début mars, l’on voit fleurir les drapeaux ukrainiens en France, comme jamais ce ne fut le cas pour un autre pays, comme jamais ce ne fut le cas … même pour notre pauvre drapeau national, qu’il était mal venu de sortir en dehors des jours de fête, timidement, quelques heures, sans trop lui prêter d’attention. Au risque d’être qualifié «d’extrême droite». Le drapeau national est un symbole de force, de gouvernance, de souveraineté, la France ne s’en reconnaît plus le droit depuis longtemps. Et la voilà qui se vautre dans le drapeau ukrainien, drapeau d’un Etat fantoche. La France est-elle devenue une catin ou une libertine en régime d’occupation pour être traitée de cette manière ? 

Billet d’humeur : L’armée russe abandonne l’Île des serpents pour des raisons globalistes

Hier, le ministère russe de la Défense a annoncé se retirer de l’Île aux serpents, cette petite île militaire dans la mer Noire, point stratégique permettant le contrôle du ciel, à proximité de la Roumanie et point essentiel pour le contrôle d’Odessa. Formellement, les objectifs ont été remplis et il faut sauver le Soldat Famine.