Рубрика: France

Billet du lundi : Macron ou la gouvernance contre la France

L’on nous parle de plus en plus souvent de la post-modernité, du post-humain ou de la post-démocratie, pour pudiquement éviter de souligner une démarche profondément anti-civilisationnelle, dirigée contre l’homme dans son humanité et menée par un pouvoir, qui ne peut avoir de légitimité démocratique, car celle-ci est extérieure au peuple. Macron est en France l’incarnation parfaite de ce phénomène de globalisation de la gouvernance, dont nous voyons les effets délétères détruire notre pays. Mais ne le lui dites pas, sinon vous serez interpellés, comme ces Français libres d’Alsace il y a quelques jours de cela.

Conflit ukrainien : Pourquoi l’on ne pouvait attendre qu’un échec de Macron en Chine

La visite de Macron en Chine est un échec diplomatique. Mais l’on se doit bien de reconnaître, que tout a été fait, pour qu’il en soit ainsi. Sous tutelle de la guerrière Ursula von Leyen, il est difficile de parler de paix. En donnant des injonctions au Président chinois, il est impossible de le convaincre. La France globalisée, défendant un ordre du monde qui la fait disparaître, est parfaitement incarnée par Macron. Son travail de sape continue, inlassablement. Les manifestations ne changeront rien au cours pris par la politique française, car les décisions ne se prennent plus à Paris.

Billet français : pourquoi une telle haine envers nos enfants ?

Que reste-t-il de l’école aujourd’hui en France ? Entre séances drag-queen et formatage des esprits à la normalisation de l’homosexualité, c’est toute une génération qui se trouve déstructurée et donc affaiblie. Quels adultes deviendront-ils ? Une masse docile et manipulable, sans véritable identité, sans racine et sans véritable éducation. En fait, tel est le but. C’est le rêve de n’importe quel pouvoir : une masse contrôlable par une petite élite, elle, réellement formée de manière traditionnelle, afin de pouvoir gouverner et se reproduire. Pourquoi tant de haine envers nos enfants ? L’extrémisme n’est pas là, où on veut nous le faire croire.

Covid contre révolution en France : deux mythes s’affrontent aujourd’hui

Face à la montée de l’impopularité de Macron, l’on nous ressort le Covid, dont les épidémies sont décidément toujours à propos. Opposer un virus politique à un soulèvement, qui n’est pas encore politique, est parfaitement dans l’air du temps. Pour autant, peut-on réellement parler d’une révolution en France, j’entends une révolution qui serve les intérêts nationaux, qui ne débouche pas sur un scénario géorgien, voire ukrainien ? C’est une question à sérieusement et froidement analyser avant de s’emballer pour une VIe République parlementaire, quand l’on voit le travail de destruction réalisé par nos parlementaires ces dernières années. 

Retraites : tout va très bien, Madame la Marquise, le pays coule à souhait !

Sans aucune surprise, le Gouvernement n’a pas été renversé hier, aucune des deux motions de censure n’est passée. A 9 voix près. Le prix de la trahison, du confort, de la carrière, bref de tout ce qui prévaut sur l’intérêt national et la volonté du peuple. De l’OCDE à Musk, appelant les autorités françaises à ne pas écouter la vois populaire, la voix de la raison, mais à continuer à dissoudre la France dans le marasme global, l’on ne parle quasiment pas : il n’y a pas d’ingérence, lorsque l’impératif anti-national est en jeu! Le Gouvernement a fait le choix de la confrontation tout au long du processus parlementaire, il est allé au bout de sa logique avec le 49.3. La police a été utilisée pour maintenir le désordre antirépublicain. L’absence de surprise n’empêche pas la tristesse : la démocratie est morte en France, tout comme l’Etat national. A quel prix sera sa réanimation ?

France : la réforme des retraites et la parodie démocratique

Le Parlement n’est décidément pas un lieu de discussion — ni de démocratie. Si l’on ne réduit pas la démocratie à cette parodie, qui se joue sous nos yeux, dans laquelle les textes ne sont pas votés à l’Assemblée nationale, les amendements sont retirés, un vote bloqué est imposé au Sénat sur ce qui ne dérange pas le Gouvernement et une commission mixte paritaire, à majorité présidentielle, doit faire passer la pilule. La population est dans la rue, les syndicats sont ignorés, l’opposition n’est pas fichue de s’unire et ce Gouvernement est sur le point d’imposer une nouvelle réforme globaliste à la France, une réforme des retraites, dont la seule justification est : ça se fait partout. Sur le mode des moutons de Panurge, la France continue à se rapprocher du ravin avec le troupeau.

La réforme des retraites et la déliquescence de l’opposition parlementaire en France

La réforme des retraites proposée, et quasiment imposée, par le Gouvernement, doit conduire l’homme à être rentable pour la société, tant que physiquement, il en a à peu près la force physique, pour terminer ses jours si possible avant la retraite ou la passer sans pouvoir en profiter. Il paraît que vider l’homme de sa substance est le seul moyen pour éviter la faillite désormais. Face à ce délire globaliste managérial, l’opposition parlementaire française a montré une fois de plus son imposture. A tel point que l’on se demande, si ces mouvements politiques ne considèrent pas simplement leur condition d’opposant systémique comme un travail confortable.

Coupures d’électricité : comment nos élites dirigeantes font entrer la France dans le Tiers-monde

Alors que le Gouvernement prépare les coupures d’électricité, que Macron déclare qu’il n’y en aura pas, que RTE en prévoit 6 cet hiver, nous voyons la société française se préparer à la «sobriété» forcée. Une sobriété qui ressemble beaucoup à un plan d’évidement de ce qui reste de la France, qui s’ajoute au culte décalé et fanatique des sources alternatives d’énergie, à la marche forcée pour «l’indépendance» face à l’énergie russe. Un ensemble de mesures qui amènent doucement et sûrement la France sur la voie du Tiers-monde. Est-ce du fanatisme, de l’incompétence ou de la trahison ? 

France : surpopulation carcérale et dégradation morale de la société

Les médias français, régulièrement, se réveillent au sujet de la surpopulation carcérale. Rien ne change, puisque rien de sérieux n’est fait. Mais cela permet de parler d’autre chose. Et ils réussissent cet exercice avec le doigté du professionnel sans jamais traiter les questions qui font mal. Y a -t-il une augmentation de la criminalité en France, pour justifier une augmentation de la population carcérale ? Pourquoi la société française se dégrade-t-elle ? Ces questions sont logiques, mais il n’est pas bien vu d’en parler. Surtout quand un détenu sur quatre est de nationalité étrangère, sans même parler du fait que les statistiques ethniques sont interdites en France pour laisser dormir le bon peuple de France — donc l’on ne connaît pas l’origine ethnique des détenus. Surtout lorsque l’on voit la dégradation morale de la population. Ne pas parler d’un problème ne l’empêche pas d’exister, cela le conduit même, à l’inverse, à se développer.

Pour que rien ne change : Macron est réélu, sans grand enthousiasme

La réélection de Macron est loin d’être une grande victoire politique, c’est plutôt la bataille remportée par le système globaliste actuel contre les populations. Après une manipulation médiatique sans accrocs, Macron passe, certes, mais pas pour ses idées, alors que Marine Le Pen continue à augmenter son score. Et son quinquennat s’annonce mouvementé : pendant qu’il dîne royalement à La Lanterne, deux morts à Paris, pour ne pas avoir obtempéré aux forces de l’ordre, inaugurent ce quinquennat — pour que surtout rien ne change. 

Elections présidentielles et rétropédalage de l’opposition française face à Poutine : une leçon d’existence politique

Même si les élections présidentielles françaises ne présentent, en tant que tel, aucun intérêt politique, les résultats étant connus d’avance et aucun enjeu politique réel n’en découlant, il est intéressant de voir l’évolution de ce qui est censé être une opposition, et encore plus une opposition se présentant ou étant présentée comme radicale, sur le sujet de la campagne : le conflit en Ukraine. L’intérêt de ce sujet est d’illustrer la capacité, ou non, des candidats à défendre une vision française de la géopolitique. Eric Zemmour, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ont tous pris leurs distances de la Russie et surtout de Poutine. Aucune alternative idéologique n’était donc réellement existante, l’alignement atlantiste dans les faits, au-delà des diatribes d’hier, est là. L’intérêt de la France attendra encore …

Soirée électorale sur TF1 : quand Jacquouille doit faire oublier Macron

En lisant que TF1 remplace sa soirée électorale pour une comédie, sincèrement, j’ai d’abord pensé à une plaisanterie. Finalement, cela semble assez logique : pourquoi continuer la comédie politique laissant croire aux Français qu’ils décident quelque chose, autant regarder une véritable comédie, les acteurs sont de meilleure qualité et le jeu est plus convainquant que ce qui nous est servi depuis des années. Cela vous dérange ? Alors réveillez-vous !