Рубрика: France

Guerre en Ukraine : cette implication que la France se refuse à reconnaître

Un Français vient encore d’être tué sur le front de Koupiansk dans la bataille d’Ukraine. Formellement, la France refuse de reconnaître sa participation militaire au conflit en Ukraine. De facto, des Français sont engagés aux côtés de l’armée dite ukrainienne, souvent dans la Légion internationale, et la France forme et arme cette armée atlantico-ukrainienne. Sans consultation populaire, sans consultation des parlementaires, la France est devenue partie au conflit, qui se joue en Ukraine pour protéger la Pax Americana.

Billet du jour : l’imposture Attal

Gabriel Attal est nommé Premier ministre. Est-ce que politiquement cela changera quelque chose ? Non, il continuera les mêmes réformes, c’est d’ailleurs pour cela qu’il a été nommé. En revanche, c’est un signal idéologique fort — la France s’enfonce dans le wokisme. Attal est l’image même de l’imposture globaliste, qui va être imposée aux Français, si cette fois-ci encore, comme avec Macron, ils ne s’arrêtent qu’à l’apparence et se laissent voler les élections. Blanc, homme, mais homosexuel et fondamentalement globaliste, c’est le maximum de ce qui est autorisé à la France. Si nous laissons faire, il tiendra le rôle du prochain président d’un pays fantôme.

Bombardement otanien de Belgorod : quand la France devient un Etat, soutien du terrorisme

En quelques mois, la politique menée par ce Gouvernement français a réussi à faire ce que même Napoléon, en menant la guerre en Russie, n’a pas pu : provoquer un dégoût et un rejet de la France et des Français. Après l’attaque sanglante de Belgorod le 30 décembre, faisant plus d’une centaine de blessés et 24 morts, le ministère français des Affaires étrangères ose légitimer, ce qui constitue une violation ouverte du droit international humanitaire, et parle de «légitime défense». La France, s’est-elle rabaissée au point de devenir un vulgaire Etat soutenant le terrorisme ? C’est une honte pour notre pays, une insulte à notre histoire ! Ce Gouvernement trahie ouvertement l’intérêt national.

Les voeux anti-français de Macron : montrons-lui quelle est la fierté d’être Français

Sans grande surprise, lors des Voeux 2023, Macron nous a gratifié de son autosatisfaction en ce qui concerne la politique intérieure, sociale, économique et sécuritaire de la France. Politique globaliste et anti-étatiste, impopulaire et anti-française. Tout va très bien Madame la Marquise et tout ira encore mieux en 2024. Sur le plan international, il a rappelé l’axe fondamental de la désagrégation de la France, du négationnisme français au profit d’une mythique «souveraineté européenne», qui ne peut être tant que la France est, et de la mise à disposition de toutes les forces de la nation française au service de la guerre atlantiste en Ukraine. 

Obligation de rapatriement d’un radicalisé : la dernière innovation globaliste du Conseil d’Etat

Le Conseil d’Etat, bras droit dévoué de la CEDH, vient d’adopter une décision, qui provoque l’ahurissement, notamment dans les milieux juridiques. Alors que le ministre de l’Intérieur avait expulsé vers son pays d’origine un Ouzbek, radicalisé et fiché, auquel l’asile a été justement refusé, le Conseil d’Etat exige de l’Etat français, en application d’une décision de la CEDH, qu’il le rapatrie en France. Il s’agit d’une obligation de faire imputée à l’Etat par la haute juridiction administrative, ce qui est déjà surprenant juridiquement. Mais l’enjeu de cette décision est ailleurs, il est idéologique : c’est la négation, dans la plus pure logique globaliste, du droit national, des frontières, de l’intérêt national au profit d’un droit et d’un intérêt supérieur, en dehors de l’Etat et des populations nationales, et qui nient leur droit à l’existence.

Billet du lundi : quand le Gouvernement français met tant de coeur à enterrer la France

Le vote de la nouvelle loi sur l’immigration en France est l’occasion de toutes les tartufferies. Sur fond de conflit israélo-palestinien, le discours politico-médiatique a un temps entrouvert la porte à la question de l’immigration massive, qui importe avec les hommes des conflits ethniques et religieux étrangers à la France. Tous les petits pas en avant se sont doublés de grands pas en arrière et finalement Roland Lescure met les pieds dans le plat : la France est morte, vive l’immigration.

Conflit en Ukraine : le bataillon punitif néonazi Azov recrute ouvertement en France

Le néonazisme a table ouverte en France, dans cette France post-démocratique, atlantiste et post-française. Nous voyons que notre Gouvernement soutient déjà activement au sein de la coalition de l’Axe la guerre atlantiste en Ukraine. Nous découvrons avec horreur qu’il est désormais possible de commettre un génocide, quand c’est Israël qui le commet. Ce monde, est-il en train de devenir fou ? Non, il est simplement amoral. Donc tout est possible. Même pour Azov de recruter ouvertement en France. Cette France, qui n’est plus elle-même.

France : le Gouvernement continue à tirer sur l’hôpital public

Il semblerait que le service public français de santé en général et l’hôpital en particulier soient l’une des cibles privilégiées de nos Gouvernements néolibéraux successifs. En effet, pourquoi financer un service de soin de qualité, s’il est possible de le détruire pour le rendre inefficace et ainsi ouvrir l’espace au secteur privé. Une sélection par l’argent pourra ainsi achever la restructuration, ou plutôt la déstructuration, de la société française, en pleine marée de paupérisation.

Billet sénatorial : la parodie électorale confirme que rien ne changera

Les élections sénatoriales viennent de se tenir en France, dans une indifférence quasi-totale de la population — bien légitime. Il est vrai que ne se déroulant pas au suffrage universel direct, elles provoquent moins d’intérêts, d’autant plus que généralement, rien ne change profondément. Et cette fois-ci ne fait pas exception. Sans souveraineté, le processus électoral n’est que légitimation d’une illusion.

De la France à la Chine : contrôle social et faiblesse des Etats dans la globalisation

De l’abaya aux vêtements heurtant l’âme chinoise, l’interdiction vestimentaire devient un levier de gestion sociale dans de nombreux pays. Et dans tous les cas, il est le signe d’un échec de la politique sociale nationale à entretenir sa culture vivante : on interdit ce que l’on ne peut empêcher, car on a ni la force, ni souvent la volonté de traiter le problème à la source. Le vêtement est aussi une revendication, il est l’expression extériorisée d’un message, islamiste en France, «dégenderisé» en Chine. Qu’il s’agisse du résultat d’une vague de fond ou d’une provocation, les gouvernements ne peuvent éviter ces dérives civilisationnelles, qu’en revenant aux fondements de la société — l’harmonie, la culture, le respect de son peuple.

Billet du jour : Mise à mort volontaire de la classe moyenne en France ou comment faire disparaître un pays à petit feu

La paupérisation de la France se porte à merveille, la classe moyenne est mise à mort, tout est mis en oeuvre pour affaiblir la société et tourner la page de l’histoire d’un pays. La classe moyenne, colonne vertébrale de la France, n’a plus ni le temps ni la force de se poser des questions : elle doit tenter de survivre. Les associations tirent l’alarme, les chiffres de l’inflation s’envolent, les gens restreignent leur nourriture et leur chauffage. Nous devenons un pays à l’abandon. Ne pensez pas que cela soit un hasard ou une erreur, c’est le fruit des politiques néolibérales anti-nationales menées depuis des années en toute connaissance de cause afin de permettre l’avènement de la globalisation. Et cela concerne tous les pays développés d’Europe.

Ecole en France : interdiction de l’abaya, sans remise en cause de la politique d’immigration massive

Il y a une semaine de cela, le nouveau ministre de l’Education nationale annonçait tout fringant l’interdiction de l’abaya à l’école, car ces vêtements en vogue dans les pays du Golf portent atteinte à l’école républicaine, étant une marque religieuse ostentatoire. Que les élèves viennent à l’école sans abaya, en soi serait une bonne chose. Mais attendre que la France compte environ 5 millions de fidèles musulmans pour adopter cette mesure, sans par ailleurs remettre en cause la politique d’immigration massive et de dénigrement de la culture française, ce n’est pas une faute politique, c’est de la provocation.

Loi d’orientation de la Justice : de la sécurité à la surveillance généralisée, un pas glissant

Les députés, tout comme les sénateurs avant eux, ont voté à une très grande majorité une disposition législative permettant, dans le cas de certaines enquêtes pénales et après autorisation du juge, d’activer à distance tout appareil connecté, afin de récupérer des images, d’écouter des conversations ou de géolocaliser les personnes. S’il peut sembler logique de faciliter la recherche de criminels dans le but de la protection de la sécurité publique, le risque de glisser vers des mécanismes de plus en plus larges et normalisés de surveillance de la société n’est pas à négliger. Le paradigme sécurité / liberté joue rarement, à terme, en faveur de la liberté, même si l’expérience a montré que la sécurité n’en est pas renforcée pour autant.

Loi de programmation militaire de la France : quels intérêts ce Gouvernement va-t-il défendre au prix de la Nation ?

Ces derniers jours, les réseaux sociaux et les médias alternatifs ont largement diffusé des extraits du projet de loi de programmation militaire de la France pour les années 2024 à 2030. Les dispositions en jeu sont celles du nouveau chapitre II du Titre Ier «Réquisitions pour les besoins de la défense et de la sécurité nationale» du Code de la défense. Ce Chapitre prévoit la possibilité de réquisitionner les biens et les personnes, lorsqu’un danger menace la sécurité du pays. Cette disposition fait peur, car elle rappelle qu’il existe en cas de guerre un intérêt supérieur à l’intérêt individuel, ce à quoi les Français ne sont plus habitués depuis bien longtemps. Mais à ce nihilisme individualiste s’ajoute un problème Ô combien plus grave pour la France : peut-on sérieusement affirmer que ce Gouvernement défend l’intérêt national ? En allant plus loin, on peut même penser, que c’est justement la politique de ce Gouvernement, qui met la Nation en danger. D’où l’anachronisme de ces dispositions et les risques de déstabilisation qu’elles contiennent.