OCS et le retour du développement durable : la déglobalisation est repoussée en Russie
L’on croyait la liturgie du développement durable enterrée avec le départ aussi précipité, que discret, de son lobbyiste Anatoly Tchoubaïs, qui à des postes-clés en Russie dès 1991, était en charge de la dislocation globaliste du pays et a réalisé un travail remarquable et remarqué en ce sens. Mais alors que la guerre s’installe, les fondamentaux globalistes reviennent à l’ordre du jour grâce aux pseudos organes alternatifs à la globalisation, en l’occurrence l’Organisation de coopération de Shangaï (OCS). Il semblerait que ces élites gouvernantes aient véritablement perdu même leur instinct de survie. Au minimum, car si la Russie disparaît, elles disparaitront aussi dans la foulée.