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France : une société «mise» en déliquescence

Le Sénat a sorti, il y a quelques jours de cela, un rapport édifiant sur la mise à mort de l’école. Cette fois-ci, il ne s’agit pas des programmes. L’école n’est depuis longtemps plus un lieu, où l’enfant va acquérir des connaissances, mais un lieu de construction d’un individu faible, peu éduqué, gavé aux dogmes écologiste, gender, LGBT, numérique et climatique. L’alerte a été lancée sur un autre aspect : sécuritaire. La violence à l’école explose. Le Sénat s’inquiète, mais refuse d’envisager la véritable conclusion : l’école est le reflet de la société, importe ses conflits. Le modèle anti-national, anti-civilisationnel et anti-français implanté en France depuis des années ne peut conduire qu’à l’implosion de la société française et donc de l’école.

Billet du lundi : quand le Gouvernement français met tant de coeur à enterrer la France

Le vote de la nouvelle loi sur l’immigration en France est l’occasion de toutes les tartufferies. Sur fond de conflit israélo-palestinien, le discours politico-médiatique a un temps entrouvert la porte à la question de l’immigration massive, qui importe avec les hommes des conflits ethniques et religieux étrangers à la France. Tous les petits pas en avant se sont doublés de grands pas en arrière et finalement Roland Lescure met les pieds dans le plat : la France est morte, vive l’immigration.

Nomadisme et migrations

Nomadisme et migrations ont accompagné l’évolution de l’humanité et l’on en trouve la trace dans la Bible. Pour autant, les textes ne peuvent être pris à la lettre et les phénomènes doivent s’interpréter en fonction de leur contexte, en l’occurrence, culturel, civilisationnel et géopolitique. Jean-François Geneste revient pour Russie Politics sur cette question, qui prend aujourd’hui les apparences d’une guerre civilisationnelle.

Ecole en France : interdiction de l’abaya, sans remise en cause de la politique d’immigration massive

Il y a une semaine de cela, le nouveau ministre de l’Education nationale annonçait tout fringant l’interdiction de l’abaya à l’école, car ces vêtements en vogue dans les pays du Golf portent atteinte à l’école républicaine, étant une marque religieuse ostentatoire. Que les élèves viennent à l’école sans abaya, en soi serait une bonne chose. Mais attendre que la France compte environ 5 millions de fidèles musulmans pour adopter cette mesure, sans par ailleurs remettre en cause la politique d’immigration massive et de dénigrement de la culture française, ce n’est pas une faute politique, c’est de la provocation.

Immigration idéologique : la Russie, terre d’accueil des partisans de la liberté, des valeurs traditionnelles et de la culture

Le conflit, qui touche aujourd’hui les pays atlantistes et la Russie, est avant tout un conflit idéologique. Chaque clan porte une vision du monde, qui lui est propre et qui n’est pas compatible avec l’autre. Soit vous portez le culte des minorités, soit vous donnez la possibilité à chacun d’être lui-même ; soit vous niez les racines culturelles et civilisationnelles, soit vous permettez à une civilisation de se développer dans la continuité et en profondeur ; soit vous niez l’intérêt national, soit vous trouvez légitime qu’un Etat protège les intérêts de sa population.  En ce sens, la Russie se pose aujourd’hui comme le défenseur potentiel des valeurs traditionnelles, un modèle anti-globaliste en perspective, en tout cas si elle arrive, comme le souligne Nikita Mikhalkov avec force et arguments, à faire le ménage dans les élites globalistes, qui entourent toujours le Président russe. Afin de préparer le terrain, un Comité d’accompagnement de l’immigration idéologique se met en place avec l’appui des députés et de la société civile : il existe une terre d’accueil pour les désespérés de la globalisation et la Russie est prête à accueillir les ressortissants des pays de l’OTAN, qui veulent vivre en paix, en harmonie et de manière civilisée. Que cet appel soit entendu !

France : surpopulation carcérale et dégradation morale de la société

Les médias français, régulièrement, se réveillent au sujet de la surpopulation carcérale. Rien ne change, puisque rien de sérieux n’est fait. Mais cela permet de parler d’autre chose. Et ils réussissent cet exercice avec le doigté du professionnel sans jamais traiter les questions qui font mal. Y a -t-il une augmentation de la criminalité en France, pour justifier une augmentation de la population carcérale ? Pourquoi la société française se dégrade-t-elle ? Ces questions sont logiques, mais il n’est pas bien vu d’en parler. Surtout quand un détenu sur quatre est de nationalité étrangère, sans même parler du fait que les statistiques ethniques sont interdites en France pour laisser dormir le bon peuple de France — donc l’on ne connaît pas l’origine ethnique des détenus. Surtout lorsque l’on voit la dégradation morale de la population. Ne pas parler d’un problème ne l’empêche pas d’exister, cela le conduit même, à l’inverse, à se développer.