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Un billet d’aveuglement : La Finlande revient à ses réflexes nazis, mais «ça n’a rien à voir»

Le nazisme est mort, mais de quoi parlez-vous ?! De toute manière, ça n’a rien à voir … Quelques affirmations bien confortables, que les bienpensants ressortent comme un pare-feu, dès que l’on soulève la question de la résurgence nazie aujourd’hui. Prenons le cas de la Finlande, qui s’accroche à sa croix gammée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, soutient l’instrumentalisation atlantiste du néonazisme en Ukraine contre la Russie et nous prépare de nouvelles lois de ségrégation raciale, cette fois-ci contre les Russes. Mais évidemment, «ça n’a rien à voir». 

Ce 9 mai dans Kherson occupée : la Résistance lève la tête

Le 9 mai est une date noire pour le régime post-Maïdan, car il célèbre sa défaite historique et le vainqueur, qu’il combat à nouveau aujourd’hui. Comment peut-on glorifier Bandera et célébrer la victoire contre le nazisme ? On ne le peut pas. Et dans la ville de Kherson, en véritable situation d’occupation nazie, cela est particulièrement sensible. Mais les habitants n’abandonnent pas. L’histoire se répète, ils attendent à nouveau la défaite du nazisme et l’arrivée des leurs, de l’armée russe.

Billet du 8 mai : et si on se libérait pour ensuite célébrer la Victoire ?

Les cérémonies du 8 mai en Occident deviennent de plus en plus compliquées — et sectaires. Pour des raisons idéologiques, les pays de l’Axe atlantiste ont besoin d’effacer la Russie des vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale, de neutraliser l’histoire de l’Allemagne et de s’agenouiller devant les Etats-Unis, auto-décrété seul vainqueur et libérateur. Cette réécriture de l’histoire ne peut se faire sans le retour dans nos sociétés, et bientôt dans nos foyers, de la peste brune. Sous un nouvel uniforme, elle n’en sera pas moins fatale. Et si on se libérait nous-mêmes cette fois, si on avait le courage de se battre jusqu’à la victoire ? La France le mérite.

Le Canada ignore toujours la demande d’extradition déposée par la Russie du SS ovationné au Parlement

Le 22 septembre 2023, un vétéran SS avait été ovationné par le Parlement canadien, réuni pour dignement célébrer la venue du héros des temps post-moderne Zelensky, à sa juste valeur. Un petit scandale en a suivi, sans conséquences réelles, qui fut rapidement étouffé et oublié. Dans la société de consommation de l’information, les gens sont sommés de s’indigner souvent, mais pas longtemps. De son côté, la Russie se bat depuis pour que ce criminel de guerre lui soit extradé. Inutile de rappeler, que le Canada protège particulièrement bien ses criminels nazis, surtout face à la Russie, cet ennemi, lui, existentiel pour leur monde.

Israël et la normalisation de la rhétorique nazie : n’aurait-on pas enfanté d’un monstre ?

L’accélération du conflit entre Israël et Gaza s’accompagne d’un retournement du paradigme nazi : bien que les hauts responsables israéliens traitent les autres peuples d’animaux ou de sous-hommes, qu’il s’agisse des Palestiniens ou des Bouriates (en Russie), bien qu’ils considèrent normal de les écraser physiquement, ils continuent à utiliser la victimisation nazie, payée très cher par les aïeux de leurs familles (mais non par eux-mêmes) pour justifier leurs crimes. Et quand on leur rappelle, à l’ONU, qu’ils ne sont pas au-dessus du droit international, l’enfant-roi se révolte : comment ça, il n’y aurait plus d’impunité totale, nous n’aurions plus le monopole de l’humanité ? Il semblerait que la communauté internationale, en faisant d’Israël une victime éternelle et intouchable sous peine d’antisémitisme, ait enfanté d’un monstre. Qui est entré en guerre et se croit au-dessus de tout … et de tous.

Canada : la tentation du nazisme ordinaire et la démission forcée du Speaker du Parlement

La déstructuration des sociétés occidentales ne peut que s’accompagner, et d’une dégradation morale, et d’un révisionnisme. Le Canada, qui est un des pays à la pointe du wokisme, vient de nous en donner une parfaite illustration. Lors de la visite de Zelensky, un nazi patenté a été invité au Parlement et a reçu une ovation debout, la larme à l’oeil, la victoire au poing. Si après la montée du scandale, le speaker du Parlement a dû démissionner, l’on ne saurait oublier que le révisionnisme nazi accompagne la plongée des pays occidentaux dans la guerre contre la Russie.

Conflit en Ukraine : de «l’Armée nazie de libération russe» à la «Légion atlantiste de la Russie libre»

La guerre de l’information n’a pas été créée aujourd’hui et les méthodes se répètent. Lors de la Seconde Guerre mondiale, les Nazis ont créé de toute pièce une mythique «Armée de libération russe» ou «armée de Vlassov», dont le but, outre les répressions contre les civils, était principalement politique et propagandiste : des Russes se battent contre Staline. Les pays de l’Axe reprennent aujourd’hui cette technique des Nazis, en déclarant haut et fort la constitution d’une Légion de la Russie libre, composée de Russes, qui se battent contre Poutine — et contre la Russie, comme leurs ancêtres. Dans ce scénario, toute ressemblance avec les méthodes des nazis n’est pas fortuite.

Ukraine — OTAN : La réhabilitation du bataillon néonazi Azov en marche

Les membres du bataillon Azov fait prisonniers par la Russie et gentiment rendus à leurs propriétaires reprennent, sans aucune surprise du service. Des bataillons entièrement équipés par l’OTAN se forment et ils entrent comme des brigades autonomes dans l’armée de terre ukrainienne. Les pays de l’axe atlantiste reviennent à leurs fondamentaux et légalise la propagande d’Azov dans les réseaux sociaux. A la guerre comme à la guerre, mais l’Occident est en train d’y perdre son âme.

Allemagne : Extrême droite et schizophrénie de la communauté internationale

Alors que les médias s’émeuvent tous en choeur d’une étrange tentative de coup d’Etat amateur, mais d’extrême droite en Allemagne, avec évidemment des traces highly likely russes, cette même communauté internationale soutient sans sourciller les néonazis patentés ukrainiens. Sommes-nous face à une poussée de schizophrénie aigüe ou tout cela n’est-il que du cinéma, destiné à détourner notre regard ? Parce que, vraiment, il faut faire beaucoup d’efforts pour croire à une réelle tentative de coup d’Etat dans ces pays totalement globalisés et politiquement évidés, qui sont les nôtres …

Division SS «Galicie» : la Cour suprême ukrainienne ne voit aucun lien avec le nazisme

La Cour suprême ukrainienne vient de blanchir le régime néonazi post-Maïdan en déclarant très sérieusement que la Division «Galicie» ou 14e division d’infanterie SS Galicienne N°1 n’a pas de symboliques nazies, elle ne peut donc être interdite en Ukraine aujourd’hui. Et pour cause, la symbolique de cet organe, intégré dans les SS, qui a été utilisé pour lutter contre la résistance en Europe de l’Est, est reprise aujourd’hui par de nombreux membres de cette nouvelle armée atlantico-ukrainienne. De la collaboration servile et acharnée à la lutte contre tout résistance, les traditions manifestement reviennent à la charge en Ukraine … Revenons un peu sur l’histoire et les tristes gloires de la Division «Galicie», puisque c’est cette Ukraine que l’Occident atlantisé a décidé de ressuciter.