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Accusation de la Russie d’attaquer l’Europe : la France et la Grande-Bretagne nous entraînent-elles vers une guerre directe ?

Le Renseignement britannique accuse la Russie d’attaquer l’Europe. Et si le Renseignement britannique le dit, ce doit être vrai. Il n’y a évidemment aucune raison de mettre en cause l’honnêteté et l’indépendance de cette officine. Comme l’expérience l’a montré … Et puisque les anglo-saxons le disent, les médias français, disciplinés et tout aussi indépendants, le répètent en boucle. Juste une question à se poser : mais que nous préparent-ils encore cette fois ? La guerre ?

OTAN : Mark Rutte confirme la priorité de la guerre contre la Russie sur le front ukrainien

La tournée mondaine du nouveau Secrétaire de l’OTAN, Mark Rutte, s’est voulue rassurante : la ligne Stoltenberg reste inchangée, car elle est systémique et ne dépend justement pas des visages au poste de Secrétaire général. Donc le soutien à l’Ukraine est maintenu, quoi qu’il se passe, notamment aux Etats-Unis, puisqu’une partie des mécanismes de commandement (ou d’exécution ?) est transférée vers la bonne vieille Europe. La guerre contre la Russie reste la priorité de l’Axe atlantiste.

L’UE se dirige vers l’utilisation des actifs russes pour se rembourser du conflit en Ukraine

Les députés européens développent une approche très «créative», confinant au nihilisme juridique, en ce qui concerne les actifs russes. Ainsi, ils octroient un «prêt» à l’Ukraine, qui sera remboursé par le produit des actifs russes, évidemment sans l’accord de la Russie, qui n’a pas été privée de la propriété de ces actifs. C’est un peu comme si une banque vous octroyait un prêt, qui serait remboursé par votre voisin, sans son accord. Décidément, la guerre a ses lois, que le droit ne connaît pas …

Morne rencontre à l’Elysée entre Macron et Zelensky

La tournée européenne de Zelensky est passée par la France avant d’arriver chez le Pape. Reçu sans grande pompe, un peu comme une routine, comme un passage obligé : il faut bien l’accueillir, les chefs de file atlantistes l’exigent. Mais l’enthousiasme n’est pas là. Ambiance pluvieuse au milieu de la cour de l’Elysée. Poignée de main et rien de nouveau. De toute manière, les décisions d’une telle ampleur ne se prennent pas à Paris.

Piratage informatique sans précédent du holding audio-visuel russe VGTRK

Hier matin, le complexe public audio-visuel russe VGTRK a été l’objet d’une cyberattaque massive. Ses diffusions on-line de la radio et des chaînes de télévision a été rendue impossible pendant plusieurs heures, la télévision — à la télévision, elle, fonctionnait normalement. Des députés russes accusent l’Ukraine, voire leurs tuteurs de l’OTAN. Peskov parle d’une attaque contre une infrastructure critique. Mais le culte globaliste du tout-numérique n’en est pas pour autant ébranlé. C’est bien la caractéristique d’un culte, que de résister à toutes les critiques rationnelles et de ne souffrir aucune interrogation.

Guerre en Ukraine : un recours déposé en Belgique contre Stoltenberg

Alors que Stoltenberg vient de quitter ses fonctions comme Secrétaire général de l’OTAN, un recours vient d’être déposé contre lui en Belgique pour violation du droit international : alors qu’il aurait pu empêcher l’explosion du conflit en Ukraine, il a violé les conventions internationales pour l’inciter et se pose la question de la responsabilité des élites atlantistes dans cette guerre. S’il y a peu de chances de voir aboutir juridiquement ce recours, c’est en tout cas un signe politique qui mérite d’être relevé. Et encouragé.

Face à la menace atlantiste, la Russie renforce sa doctrine nucléaire

Hier, Vladimir Poutine a présidé la réunion du Conseil de sécurité sur la dissuasion nucléaire. Avec la lente mais persistante transformation du conflit en Ukraine en guerre conventionnelle pouvant devenir de haute intensité, la Russie se voit dans l’obligation de renforcer sa doctrine nucléaire. Non pas pour frapper les pays occidentaux, comme le prétend la propagande atlantiste, mais justement pour que sa doctrine nucléaire puisse pleinement jouer le rôle de dissuasion qui est le sien.

La Cour internationale d’arbitrage de La Haye et la fantasmagorie du démontage du Pont de Crimée

L’instrumentalisation des instances dites judiciaires internationales est devenue, avec l’intensification du conflit atlantiste en Ukraine, une ligne de combat comme une autre contre la Russie. Mais s’il est possible de produire de la propagande médiatique, s’il est possible de détourner les instances politiques, les organes à prétention judiciaire sont plus rigides par nature et ici, soit ils tombent dans le ridicule et se discréditent comme la CEDH, soit ils ont du mal à jouer jeu comme c’est le plus souvent le cas. Désormais, la balle est dans le camp de la Cour internationale d’arbitrage de La Haye, à laquelle l’Ukraine ne demande rien moins que de démonter le Pont de Crimée et de nullifier ses défaites militaires.

Tirs en profondeur : le Parlement européen appelle à entrer en conflit direct contre la Russie

La composition de la nouvelle Commission européenne s’accompagne d’une radicalisation virant au fanatisme de son discours, poussant les pays européens à tirer en profondeur en Russie ou encore leur demandant de «nommer» l’opposant au Président Maduro (qui a perdu les élections) au poste de Président du Venezuela. Est-ce réellement un signe de renforcement de l’UE ? Ou bien n’est-ce qu’un paravent communicationnel ? Mais alors dans quel but ?

Guerre en Ukraine : nouvelle augmentation des effectifs militaires en Russie

Avec le glissement du conflit en Ukraine vers une guerre traditionnelle, pouvant devenir de haute intensité, la question des hommes est redevenue une question centrale. Après avoir régulièrement réduit les effectifs de l’armée selon les dogmes néolibéraux, la Russie pour la troisième fois augmente les effectifs. Elle deviendra alors la deuxième armée du monde au regard du potentiel d’hommes combattants.

Missiles à longue portée : l’OTAN pousse à la confrontation avec la Russie

Stoltenberg se félicite de l’envoi de missiles à longue portée en Ukraine, pour pouvoir viser des cibles en profondeur en Russie, ce qui doit permettre soi-disant à l’Ukraine de soi-disant se défendre. Le discours atlantiste est bien fondé sur ces deux mythes : le premier est que c’est l’Ukraine qui se bat, le second est qu’elle se défend. Des mythes, qui sont censés permettre d’éviter les pays de l’Axe atlantiste d’expliquer à leur population qu’ils font la guerre à la Russie sur le front ukrainien pour défendre des intérêts, qui ne sont pas les leurs.

Front ukrainien : rappelons que la cible à Poltava était militaire

Le tir de missiles russes à Poltava sur l’école militaire et l’hôpital adjacent, également militaire, font rugir de rage les médias occidentaux. Et pour cause, la cible est militaire donc légitime et un bon nombre «d’instructeurs» étrangers auraient également été touchés. De son côté, l’armée atlantico-ukrainienne continue à toucher les habitations et le marché de Donetsk. 

L’UE peine à formellement autoriser l’utilisation des armes occidentales en profondeur en Russie

Hier, les ministres des Affaires étrangères des pays de l’UE, sous la baguette de Borrell se sont réunis non pas à Budapest comme cela devait avoir lieu la Hongrie exerçant la présidence tournante, mais à Bruxelles — c’est quand même plus sûr. Le menu est un peu fade à force d’être répétitif : l’Ukraine, les fonds, les armes. Et l’on sent bien que ça bloque : malgré le fanatisme de Borrell et la pression de certains pays comme la France et la Grande-Bretagne, les pays européens ont du mal à formellement entrer en guerre contre la Russie en Ukraine. Combien de temps pourront-ils résister, avant que le maître ne frappe du poing sur la table et qu’ils s’exécutent ?

Koursk et les «frappes de vengeance» : et si l’on appelait les choses par leur nom ?

Alors que le front s’est dangereusement stabilisé à l’intérieur de la région de Koursk, le discours médiatique russe s’enfonce dans l’absurde habituel, à chaque fois qu’une situation est difficilement surmontable sur le terrain. Ainsi hier soir sur une chaîne fédérale, le JT s’est ouvert sur des fameuses «frappes de vengeance» effectuées par l’armée russe sur toute une série de cibles sur le territoire ukrainien. Vengeance ? Les centaines de milliers de personnes déplacées, les milliers de personnes vivant sous l’occupation se sentent ainsi … vengées ? Vraiment ? Il serait peut-être plus efficace de libérer le territoire occupé, ce que le Président avait d’ailleurs exigé.

L’Ukraine se reconnaît une immunité devant la CPI

L’Ukraine vient de ratifier les statuts de la Cour pénale internationale. Il est vrai que cette instance a été lancée en première ligne dans la guerre conduite par les Globalistes contre la Russie, même si celle-ci ne reconnaît pas sa compétence. Pour autant, une immunité a été octroyée à l’Ukraine, qui est ainsi autorisée à commettre autant de crimes qu’il est «nécessaire» à l’Axe, sans que ses combattants ne soient inquiétés. Ils «oeuvrent» pour le «bon» camp, ils peuvent donc commettre des crimes de guerre. Les Atlantistes ont l’habitude de cette hypocrisie sanguinaire.