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OTAN / Russie : Stoltenberg appelle à mettre les armes nucléaires en alerte en Europe

Pour une raison assez surprenante, alors que le Secrétaire général de l’OTAN Stoltenberg annonce que, dans le cadre de la guerre contre la Russie, les pays de l’OTAN, dont la France fait partie, discutent de mettre les armes nucléaires en alerte, les médias français restent d’une discrétion très appliquée. Cela pourtant nous concerne, puisque la France est la seule puissance nucléaire en Europe. Et qu’en cas de confrontation directe avec la Russie, les pays européens seront à nouveau un champ de bataille, avant de ne devenir un champ de ruines.

Globalisation : l’OTAN se prépare à prendre institutionnellement le contrôle grâce à la guerre en Ukraine

Avec l’approche des élections américaines et l’incertitude quant à leur issue, l’OTAN se prépare à prendre formellement le commandement de la guerre en Ukraine, avec obligation pour les pays de l’OTAN de fournir des armes et l’ouverture de bases militaires aux frontières de la Russie. Les élites globalistes sont apatrides, elles peuvent temporairement quitter les Etats-Unis le temps de la présidence de Trump, sans que l’agenda international ne soit fondamentalement changé. Et le caractère existentiel de la guerre conduite par les Atlantistes en Ukraine contre la Russie ne peut se permettre le luxe des aléas politiques nationaux.

Guerre en Ukraine : l’OTAN veut officiellement coordonner le conflit

Dans sa tournée est-européenne, l’indéboulonnable Secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, bien entouré des têtes de pont lettone et polonaise de la guerre menée en Ukraine contre la Russie, déclare lors de la conférence de presse à Riga, que l’OTAN doit mettre en place une mission de coordination de l’aide militaire fournie sur le front ukrainien. Bref, avoir une sorte d’état-major. Le mirage d’une guerre menée par l’Ukraine s’éloigne de plus en plus, devenant intenable face à la réalité de la paternité de l’OTAN.

Guerre en Ukraine : les lignes flottantes et un Barbarossa 2.0. pour la Russie et l’Europe

Une grande partie de cette guerre, bien réelle, qui se déroule en Ukraine, est communicationnelle. Comme lors de toute guerre, les médias sont utilisés pour lancer des signaux à l’adversaire, autant que pour préparer l’opinion publique. Ainsi, la Russie a décidé de jouer la carte du calme froid et du flou de «l’asymétrie», quand les pays de l’Axe atlantiste développent une rhétorique de plus en plus ouvertement guerrière. Mais ne sommes-nous pas à l’aube d’un nouveau virage dans ce conflit, qui pourrait basculer dans les mois à venir, soit en prenant une nouvelle intensité, soit en purgeant la bulle médiatique (si elle est vide de politique) et en stagnant.

Macron rapproche dangereusement la France d’une confrontation militaire avec la Russie

Macron entraîne la France toujours plus près d’une confrontation militaire directe avec la Russie. Ainsi, non seulement il autorise l’utilisation des armes françaises contre des cibles en profondeur sur le territoire russe, mais il envoie des militaires français en Ukraine, formellement des «instructeurs». Face à l’avancée de l’armée russe sur le front, l’Axe atlantiste joue l’escalade. Au prix de nos hommes. Comme si la Russie allait indéfiniment se retenir de répondre directement.

Guerre en Ukraine : «Frapper le territoire russe», la nouvelle escalade voulue par l’OTAN

Ces derniers jours, une nouvelle litanie est apparue dans le discours politico-médiatique occidental : frapper le territoire russe. Le recul de l’armée atlantico-ukrainienne sur le front ukrainien oblige les Atlantistes à aller toujours de plus en plus loin, d’autant plus qu’ils sont persuadés que la Russie ne répondra pas autrement que par une escalade verbale, comme ce fut le cas jusqu’à présent.

Un billet d’aveuglement : La Finlande revient à ses réflexes nazis, mais «ça n’a rien à voir»

Le nazisme est mort, mais de quoi parlez-vous ?! De toute manière, ça n’a rien à voir … Quelques affirmations bien confortables, que les bienpensants ressortent comme un pare-feu, dès que l’on soulève la question de la résurgence nazie aujourd’hui. Prenons le cas de la Finlande, qui s’accroche à sa croix gammée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, soutient l’instrumentalisation atlantiste du néonazisme en Ukraine contre la Russie et nous prépare de nouvelles lois de ségrégation raciale, cette fois-ci contre les Russes. Mais évidemment, «ça n’a rien à voir». 

Billet d’urgence : Macron et Cameron nous conduisent vers un affrontement direct avec la Russie

Les dirigeants français et britannique insistant sur la montée en puissance du conflit vers une confrontation directe des pays de l’OTAN contre la Russie, le Président Poutine a rappelé où cela pouvait conduire : à un conflit nucléaire. S’il y a un moyen d’arrêter la folie de ces marionnettes atlantistes européennes, c’est le moment !

Billet du jour : pourquoi l’Ukraine, n’aura-t-elle pas besoin d’entrer dans l’OTAN ?

Stoltenberg a des doutes sur l’entrée à terme de l’Ukraine dans l’OTAN, et pour cause. Mais quelle importance, de toute manière cela ne sera pas nécessaire : les accords bilatéraux permettront de protéger l’OTAN, tout en impliquant ses membres. Ce qui ne diminuera en rien le risque de confrontation directe entre les pays de l’OTAN et la Russie. Et ce risque augmente, alors que les Etats-Unis sont en train de le finaliser avec l’Ukraine un accord de coopération militaire, sur le modèle de celui déjà passé par de nombreux pays européens. La «coalition active» contre la Russie se prépare au sein de l’OTAN.

La Pologne n’envisage plus si sérieusement le déploiement de missiles nucléaires américains sur son sol

En 24 heures, le Président polonais Duda est passé de la vindicte atlantiste à la réflexion recueillie. Que s’est-il passé ? La Russie lui a simplement rappelé, que s’il décide de déployer des missiles américains nucléaires sur son territoire, l’armée russe «en tiendra compte». Ce qui, en soi, n’a rien d’étonnant. Mais certains semblent avoir besoin d’être ramenés parfois dans la réalité  … 

La Finlande se désintègre de plus en plus dans l’OTAN

La Finlande n’intéresse pas l’OTAN en tant que pays souverain, fort, comme acteur. La Finlande intéresse l’OTAN comme territoire et ressource, surtout pour bloquer la frontière orientale du monde global, celle avec la Russie. Dans cette logique, la Finlande en s’intégrant à l’OTAN, s’y désintègre petit à petit. Mais sûrement. Et l’élection du nouveau Président finlandais ne renversera pas la tendance.

La Russie accuse les Etats-Unis de financer le terrorisme

L’attaque du Crocus City Hall fut la goutte le trop. Alors que la Russie gardait toujours ses distances face aux pays de l’OTAN, malgré des actions soulevant de plus en plus de questions, cette fois-ci le Comité d’enquête russe doit faire la lumière sur le financement de l’activité terroriste par les Etats-Unis et leurs satellites à l’égard de la Russie. Un lien a déjà été établi avec la société ukrainienne Burisma, où fiston Biden est entré après le Maïdan, quand papa Biden était vice-Président des Etats-Unis. 

Guerre contre la Russie : les premiers soldats allemands sont arrivés en Lituanie

Les pays de l’OTAN continuent, dans le cadre de leur guerre contre la Russie en Ukraine, à développer la présence militaire aux frontières russes. Et le discours artificiel d’une soi-disant possible agression de la Russie d’un pays européen est censé justifier cette politique agressive d’extansion, qui dure en réalité depuis la chute de l’URSS. Désormais, l’Allemagne a pu briser un tabou et elle est autorisée à instaurer une base militaire permanente de quelques milliers d’hommes en Europe. Les premiers viennent d’arriver en Lituanie. C’est ce que l’on appelle la «nouvelle époque», qui ressemble à s’y méprendre à l’ancienne, à un détail prêt : les pays européens ne sont plus des acteurs, mais des pions.

OTAN : l’impasse stratégique de la guerre en Ukraine

La guerre en Ukraine est dans une impasse, et stratégique, et conceptuelle. Les deux armées, atlantico-ukrainienne et russe, ne peuvent obtenir un avantage réel qu’en impulsant de nouvelles forces, ce qui obligerait de passer à un stade supérieur dans le conflit — et en intensité, et en géographie, ce que pour l’instant elles hésitent à faire. Les conséquences sociales et politiques d’un tel engrenage étant impossibles à réellement évaluer. Mais le processus mou continue et le dialogue de sourds aussi. La Pologne annonce donc la décision prise de l’ouverture d’une mission de l’OTAN en Ukraine, pendant que Macron est très fâché : Choïgou n’a pas été gentil avec Lecornu. Aïe aïe aïe, Macron l’a annoncé, ça ne passera pas avec lui. Au-delà de la rhétorique et de la propagande, le conflit atlantiste en Ukraine est à un tournant. 

L’idée d’une remise en cause du Traité d’unification de l’Allemagne a été discrètement soulevée en Russie

Un député de Crimée, déjà soutenu par un sénateur, soulève l’idée, dans le contexte actuel, d’une dénonciation du traité portant règlement définitif concernant l’Allemagne, appelé le Traité Deux plus Quatre, signé par la RFA et la RDA, avec les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et l’Irlande du Nord, la France et l’URSS en 1990. La violation objective des dispositions du traité par les pays occidentaux est ici considérée comme devant soulever la question de sa remise en cause par la Russie.