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Arménie — OTAN : le rôle destructeur de Pachinian pour la sécurité arménienne

Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian n’en termine pas de mettre de l’huile sur le feu et de tenter de séparer l’Arménie de la Russie, c’est d’ailleurs bien pour cela qu’il a été mis en place en 2018. Après avoir quasiment annoncé l’abandon du Haut-Karabakh à l’Azerbaïdjan, malgré les efforts diplomatiques de la Russie et contre la volonté de la population, il reproche à la Russie de ne pas être suffisamment efficace dans la région et de ne pas suffisamment garantir la sécurité arménienne. Tout est fait pour provoquer un conflit, a minima diplomatique, autour d’une entrée de l’Arménie dans l’OTAN.

Conflit en Ukraine : ce drone de cirque politico-médiatique

Depuis fin juillet, l’armée atlantico-ukrainienne a intensifié les attaques de drones vers la Russie, ciblant principalement, pour des raisons symboliques évidentes, la Crimée et la capitale, Moscou. Si l’impact médiatique est incontestable, certains comme TF1 n’hésitant pas à aller jusqu’au fake, le bruit permet surtout de masquer la faible efficacité militaire à court terme de cette stratégie atlantiste low cost. Pour autant, l’impact politique n’est pas à négliger. L’OTAN gagne ainsi du temps pour habituer les parties à une confrontation directe, stratégie les menant lentement, mais sûrement, vers une guerre traditionnelle généralisée en Europe. Pour l’instant, les grenouilles restent confortablement dans l’eau chaude.

Dénazification de L’Ukraine : le NYT reconnaît la régularité des insignes nazis dans les rangs de l’armée ukrainienne

Ce matin, un article du NYT reconnaît ouvertement la présence régulière des insignes nazis dans l’armée ukrainienne. Pour autant, l’on n’y lit aucune condamnation sur le fond, simplement un regret que cette accointance soit assumée aussi ouvertement. Et le NYT comme l’Occident tentent de se cacher derrière Zelensky, juif étiqueté et patenté, dont la seule présence au pouvoir doit tout pardonner. Et justifier le renforcement du soutien apporté à cette Ukraine par les pays de l’OTAN. Le combat contre la Russie légitime tout, même le pacte avec ce monstre néonazi. Comme si la lèpre de l’amoralité pouvait s’arrêter à nos portes …

Vers une Troisième Guerre mondiale : Rasmussen propose une entrée partielle de l’Ukraine dans l’OTAN

La question de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN est dans tous les esprits, sans faire l’unanimité entre les pays membres. Rasmussen, ancien Secrétaire général de l’OTAN, qui assure aujourd’hui la tutelle de l’Organisation sur le territoire ukrainien, continue à renforcer la pression en vue d’une radicalisation de la situation et de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN. Même partiellement. Certaines forces ont décidément besoin de donner un second souffle à cette guerre des tranchées, en noyant encore une fois dans le sang et la chaire le Continent européen.

Loi de programmation militaire de la France : quels intérêts ce Gouvernement va-t-il défendre au prix de la Nation ?

Ces derniers jours, les réseaux sociaux et les médias alternatifs ont largement diffusé des extraits du projet de loi de programmation militaire de la France pour les années 2024 à 2030. Les dispositions en jeu sont celles du nouveau chapitre II du Titre Ier «Réquisitions pour les besoins de la défense et de la sécurité nationale» du Code de la défense. Ce Chapitre prévoit la possibilité de réquisitionner les biens et les personnes, lorsqu’un danger menace la sécurité du pays. Cette disposition fait peur, car elle rappelle qu’il existe en cas de guerre un intérêt supérieur à l’intérêt individuel, ce à quoi les Français ne sont plus habitués depuis bien longtemps. Mais à ce nihilisme individualiste s’ajoute un problème Ô combien plus grave pour la France : peut-on sérieusement affirmer que ce Gouvernement défend l’intérêt national ? En allant plus loin, on peut même penser, que c’est justement la politique de ce Gouvernement, qui met la Nation en danger. D’où l’anachronisme de ces dispositions et les risques de déstabilisation qu’elles contiennent.

Kramatorsk : quand les médias occidentaux réécrivent docilement la réalité pour cacher la présence de mercenaires de l’OTAN en Ukraine

Ce 27 juin, l’armée russe a ciblé un centre militarisé à Kramatorsk, dans la région de Donetsk, tenu par les forces de l’armée atlantico-ukrainienne. L’on nous parle dans les médias alignés d’une pizzeria et d’un hôtel touché, avec soi-disant des victimes civiles innocentes. Ils oublient simplement de préciser que l’hôtel était fermé au public, que des instructeurs étrangers et des combattants ukrainiens avec des volontaires y résidaient et que le restaurant était rempli par ce public très pacifique. Une fois de plus, les médias occidentaux se mettent au service d’une propagande de guerre, niant même les images largement diffusées.

Troisième Guerre mondiale : la France soutient désormais l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN

La question de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN soulève un véritable débat parmi les membres de l’Alliance. Si l’Est, plus radical dans son atlantisme et faible dans sa dimension politique, tente d’entraîner le monde dans un conflit mondial en soutenant cette position, l’Ouest est plus timoré et rappelle la clause de l’art. 5, qu’il ne sera pas facile de faire digérer à ces populations post-modernes gavées à la «paix» à n’importe quel prix, surtout au prix des autres. La volte-face de la France est ici un très mauvais signal.

Air Defender 2023 : quand l’OTAN préfère occuper l’Europe

Le plus grand exercice des forces aériennes de l’OTAN depuis la guerre froide, Air Defender 2023, se déploie en Europe ces jours-ci. Selon le NYT, ceci est censé montrer, ce qui se passerait, si l’OTAN était attaquée par la Russie. Au-delà de l’inversion accusatoire de l’agression, il semblerait que cette structure ait développé un nouveau plan de bataille : légitimer par le conflit en Ukraine une reprise en main directe du Continent européen par les Etats-Unis et une redistribution des rôles internes par la remilitarisation accélérée de l’Allemagne.

Billet du vendredi : cette guerre en Ukraine, que personne n’ose savoir comment gagner

«Il est plus facile de faire la guerre, que la paix» et Clémenceau savait de quoi il parlait : cette mauvaise paix de 1918 a permis la Seconde Guerre mondiale. Beaucoup, aujourd’hui, parlent de «paix» en Ukraine, les plans s’enchaînent et se ressemblent : on veut tirer un trait sur ce qui a été depuis février 2022, tout oublier et «revenir à avant». Pourtant, ce qui a été, ne sera plus. Et si le mot de victoire flotte sur les lèvres, l’on ne se bouscule pas pour formuler une idée concrète ni du chemin à accomplir pour y arriver, ni du visage de cette victoire, tant le conflit n’ose être formulé de part et d’autre : si pour la Russie la victoire doit être militaire en Ukraine, elle ne sera pas suffisante pour mettre un terme au conflit, dont la source n’est justement pas en Ukraine. Et le Foreign Affairs soulève cette impasse, «la guerre ingagnable», car selon lui, même si l’armée russe revient aux frontières de 1991, le conflit ne prendra pas fin pour autant. Cette guerre n’est pas «ingagnable», mais elle ne pourra être gagnée, que lorsque les élites politiques dirigeantes auront le courage de l’assumer. Et les premières, qui feront ce pas, seront en position de force.

Rasmussen prévoit une intervention directe des pays de l’OTAN en Ukraine contre la Russie : vous êtes prêts?

Avez-vous réellement envie d’envoyer vos fils et vos maris se battre en Ukraine contre la Russie pour les intérêts atlantistes ? Rasmussen, l’ancien Secrétaire général de l’OTAN, estime que le moment arrive. Il prend très à coeur son nouveau rôle d’intermédiaire entre l’Ukraine et l’OTAN et nous prévoit un  avenir radieux, dans lequel nous n’avons pas de place. C’est le moment de choisir son camp.

FSB : Apple ouvre les données des diplomates occidentaux en Russie aux services spéciaux américains

Le FSB a mis à jour une collaboration particulièrement active entre la marque de smartphone Apple et les services de renseignement américains, notamment la tristement célèbre NSA. Cela concerne non seulement des abonnés russes, mais également des diplomates occidentaux travaillant en Russie … C’est vraiment une habitude pour les Américains d’espionner leurs «partenaires». La confiance, rien de tel. 

Attaque symbolique de drones sur Moscou : un coût politique plus que militaire

Ce matin, l’armée atlantico-ukrainienne a lancé une attaque de drones sur la capitale russe et la région de Moscou. Les dégâts se réduisent à des bris de verre et des blessures légères. Le couplet de l’attaque terroriste est ressorti, le mot de guerre fait toujours aussi peur. Mais le coup politique est là et le coût symbolique reste encore à estimer. Le but de cette attaque est de faire entrer la guerre dans l’esprit des gens, loin de la ligne de front.

Gouverneur de Belgorod : «que cela plaise ou non, nous sommes de facto en état de guerre»

En suivant les lignes d’information, l’on note que les zones frontalières de la région de Belgorod sont sous le feu quotidien de l’armée atlantico-ukrainienne depuis la semaine dernière. Après l’incursion du 22 mai et les frappes par drones du 23, la situation ne se stabilise pas. A tel point que le gouverneur Viasheslav Gladkov met les points sur les i : c’est la guerre, une vraie guerre, que cela plaise ou non.

Medevev : les Occidentaux, iront-ils jusqu’à la guerre nucléaire ?

L’emballement de l’aide militaire apportée à l’Ukraine par les pays de l’Axe atlantiste ne semble pas avoir de fin … La question, qui logiquement se pose, est de savoir jusqu’où les globalistes sont prêts à aller. Pour l’instant, ils ne peuvent se battre directement, les populations n’iront pas mourir pour leurs intérêts en Ukraine. Mais auront-ils la folie de fournir des armes nucléaires à l’Ukraine, après lui avoir fourni des obus déjà enrichis à l’uranium? Medvedev les a mis en garde. Sont-ils seulement encore capables d’écouter ?

Belgorod : Les Etats-Unis soutiennent l’attaque par l’armée atlantico-ukrainienne du territoire russe

Le 22 mai, une importante attaque, réalisée avec du matériel militaire américain, a été opérée par l’armée atlantico-ukrainienne sur le territoire sur de la région frontalière de Belgorod. L’armée russe a détruit le groupe. Les régions frontalières sont souvent l’objet d’incursions de groupes de sabotage, mais celle-ci se démarque de par son importance et le soutien technique des Etats-Unis. Les fameuses «lignes rouges» continuent tranquillement à se déplacer … vers l’intérieur des terres.