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Le silence judiciaire autour de la mise en scène de Boutcha : l’ONU dans l’impasse du mensonge

L’on nous annonçait le procès du siècle contre la Russie pour les soi-disant crimes, qu’elle aurait commis en masse à Boutcha, dans cette ville non loin de Kiev, dont l’armée russe s’est retirée après les fameuses négociations de «paix» de mars 2022. Où en sommes-nous ? Nulle part, évidemment, l’ONU n’a toujours pas été capable de fournir les listes de ces centaines de victimes, dont les Atlantistes ont désespérément tenté d’accuser la Russie après une mise en scène grossière.

Billet d’humeur : si, les victimes de Donetsk sont de la responsabilité des dirigeants des pays de l’OTAN

Dimanche 21 janvier, le marché de Donetsk, une zone hautement stratégique sur le plan militaire comme vous le comprenez, a été la cible d’une attaque de plusieurs obus tirés par l’armée atlantico-ukrainienne. Etant incapables de mener une offensive contre l’armée russe, les forces de l’OTAN mènent une guerre de terreur contre les populations civiles. Ces hommes et ces femmes, qui ont osé refuser la Pax Americana, doivent être punis ! Au dernier bilan, 28 morts et 30 blessés, que des civils. Mais comme l’affirmait le ministre français des Armées, c’est un détail, de toute manière la Russie est responsable. Car dans le monde atlantiste, l’histoire a débuté en février 2022, alors que l’Ukraine était en paix depuis au moins 2014 … Remettons les choses à leur place, pour que justement les coupables ne se fassent pas passer pour des victimes.

L’annonce d’une possible confrontation directe entre l’OTAN et la Russie : acte politique ou élément de communication ?

Des signaux de plus en plus précis, d’une escalade ultime du conflit en Ukraine vers une confrontation directe des pays de l’OTAN avec la Russie, parviennent de sources différentes. D’une part, la Grande-Bretagne vient de signer un accord de coopération avec l’Ukraine en matière de défense, qui prévoit une assistance mutuelle en cas d’agression. D’autre part, le Bild annonce que l’OTAN prévoit d’envoyer 300 000 militaires des pays de l’OTAN dans la zone de conflit, nous conduisant au maximum d’ici l’été 2025 à une guerre mondiale. 

Occupation de l’Europe : ces forces de l’OTAN sous commandement canadien en Lettonie

Saviez-vous que, sous commandement du Canada, une «force de dissuasion» est mise en place en Lettonie — formellement pour protéger avec un millier d’hommes ce pays d’une soi-disant invasion russe. D’ailleurs, la Suède, trépignant sur le paillasson de l’OTAN, va y envoyer des militaires. Tous les prétextes sont bons pour occuper militairement l’Europe et provoquer la Russie. C’est le sort des pays occupés, que de servir les intérêts de l’occupant …

L’OTAN et l’UE préparent ouvertement les pays européens à une guerre contre la Russie

Le vice-président du Conseil des ministres et ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajiani, vient d’appeler à la création d’une «armée européenne». Il n’est ni le premier, ni le dernier, mais désormais sur fond de guerre globaliste contre la Russie, ces appels prennent une tout autre dimension. Il rejoint en cela les responsables de l’OTAN, qui dès novembre 2022 appellent à faciliter la circulation des forces militaires — anglo-saxonnes — sur nos territoires, dans ce qu’ils appellent un «Schengen militaire». Ces élites sont en guerre contre la Russie, elles l’affirment par ailleurs, et veulent transformer les pays européens en champ de manoeuvre, avant de n’en faire des champs de bataille.

Coopération militaire : la Finlande abandonne l’intégralité de son territoire national aux Etats-Unis

L’entrée de la Finlande dans l’OTAN ne fut effectivement qu’un pas, formel en soi, mais lourd de conséquences, sachant qu’il ne peut y avoir d’entrée dans le bras armé de la globalisation sans soumission totale aux Etats-Unis. La Finlande et les Etats-Unis viennent de signer un accord de coopération militaire, selon lequel la Finlande abandonne l’intégralité de son territoire aux Etats-Unis sur le plan militaire. Ce qui ne va pas non plus rester sans réaction. L’escalade vers la confrontation avec la Russie continue. Les autorités locales, se souviennent-elles qu’elles ont perdu toutes les guerres menées contre la Russie ?

Billet otanien : l’économie de guerre en Finlande et les enjeux de la guerre en Ukraine

Depuis son entrée dans l’OTAN, la Finlande a radicalement changé de politique. Alors que son intérêt était toujours de garder de bonnes relations, et avec les pays européens, et avec la Russie, l’on voit depuis cet automne une radicalisation de la politique gouvernementale. Il s’était agi en premier lieu de la fermeture des frontières, fin novembre, avec la Russie. Désormais ajoute à cette tentative prématurée le lancement d’une économie de guerre. Comme le déclarait Stoltenberg, l’OTAN est une organisation de paix …

La Finlande ferme en partie sa frontière avec la Russie : l’Occident a la nostalgie du Mur

L’Union européenne et la Finlande accusent la Russie de mettre en danger la sécurité en Europe en provoquant un afflux d’immigrés africains en situation irrégulière. Cet afflux est effectivement … très important — moins de 300 demandes depuis septembre et une trentaine ces derniers jours. Depuis quand l’UE, qui prône la doxa globaliste No Borders et empêche l’Italie de refuser d’accueillir les immigrés clandestins est-elle inquiète pour quelques Africains de plus ? Il a fallu un prétexte pour commencer à fermer la frontière avec la Russie, celui-ci a été servi sur un plateau. 

L’Axe atlantiste diversifie sa stratégie en Ukraine : de l’implication de l’UE et de l’OTAN directement contre la Russie

Tous les médias occidentaux le reconnaissent, l’offensive atlantico-ukrainienne s’essouffle et pour atteindre les résultats envisagés, à savoir un refoulement significatif de la Russie, il faut injecter sur le front ukrainien des forces humaines et des armes, que ces pays soit n’ont pas, soit ne sont pas prêts à introduire ici. Face à cet enlisement, l’Axe atlantiste teste une autre option de combat, celle de mettre l’Ukraine, sans trop en préciser les frontières, sous protection de l’OTAN et de l’UE, en l’intégrant. Non pas comme «plan de paix», mais pour libérer des forces aux frontières de la Russie. Ce qui la conduirait à devoir formellement répondre contre ces organes. Pourtant, ce scénario non plus n’est pas sans faille. Analyse.

Conflit en Ukraine : l’aide atlantiste est maintenue — quel que soit l’agenda international

Entre les habituelles difficultés budgétaires américaines et l’inattendue reprise de la guerre en Israël, beaucoup espèrent voir baisser, qui sait peut-être même cesser, l’aide apportée à l’Ukraine contre la Russie par les pays de l’Axe. Bien loin de cette fantasmagorie, Zelensky convoqué à l’OTAN se voit confirmer un soutien, qui est par ailleurs épaulé directement par de nouvelles aides américaines. Le conflit en Ukraine est bien prévu pour durer jusqu’à la défaite militaire d’un des deux camps, l’Axe atlantiste ou la Russie. Les autres théâtres de conflit ne changent rien à la donne.

Axe atlantiste : la Finlande, sera-t-elle à nouveau lancée contre la Russie ?

La guerre, qui se déroule en Ukraine, est un conflit secondaire de la confrontation primaire qui oppose l’Axe atlantiste à la Russie, comme l’une des forces potentielles défendant encore la souveraineté des Etats. Comme tout conflit de cette ampleur, il ne peut se concentrer sur un front restreint et tend à être développé, afin de disperser les forces de l’adversaire, en l’occurrence de la Russie. La Finlande est à nouveau priée de jouer le même rôle qu’en 1939, elle est à nouveau dirigée par des forces étrangères, qui cherchent à la lancer contre la Russie, en préparation d’une agression plus large. Son entrée dans l’OTAN fut un pas décisif pour la perte de son autonomie géopolitique.

Arménie — OTAN : le rôle destructeur de Pachinian pour la sécurité arménienne

Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian n’en termine pas de mettre de l’huile sur le feu et de tenter de séparer l’Arménie de la Russie, c’est d’ailleurs bien pour cela qu’il a été mis en place en 2018. Après avoir quasiment annoncé l’abandon du Haut-Karabakh à l’Azerbaïdjan, malgré les efforts diplomatiques de la Russie et contre la volonté de la population, il reproche à la Russie de ne pas être suffisamment efficace dans la région et de ne pas suffisamment garantir la sécurité arménienne. Tout est fait pour provoquer un conflit, a minima diplomatique, autour d’une entrée de l’Arménie dans l’OTAN.

Conflit en Ukraine : ce drone de cirque politico-médiatique

Depuis fin juillet, l’armée atlantico-ukrainienne a intensifié les attaques de drones vers la Russie, ciblant principalement, pour des raisons symboliques évidentes, la Crimée et la capitale, Moscou. Si l’impact médiatique est incontestable, certains comme TF1 n’hésitant pas à aller jusqu’au fake, le bruit permet surtout de masquer la faible efficacité militaire à court terme de cette stratégie atlantiste low cost. Pour autant, l’impact politique n’est pas à négliger. L’OTAN gagne ainsi du temps pour habituer les parties à une confrontation directe, stratégie les menant lentement, mais sûrement, vers une guerre traditionnelle généralisée en Europe. Pour l’instant, les grenouilles restent confortablement dans l’eau chaude.

Dénazification de L’Ukraine : le NYT reconnaît la régularité des insignes nazis dans les rangs de l’armée ukrainienne

Ce matin, un article du NYT reconnaît ouvertement la présence régulière des insignes nazis dans l’armée ukrainienne. Pour autant, l’on n’y lit aucune condamnation sur le fond, simplement un regret que cette accointance soit assumée aussi ouvertement. Et le NYT comme l’Occident tentent de se cacher derrière Zelensky, juif étiqueté et patenté, dont la seule présence au pouvoir doit tout pardonner. Et justifier le renforcement du soutien apporté à cette Ukraine par les pays de l’OTAN. Le combat contre la Russie légitime tout, même le pacte avec ce monstre néonazi. Comme si la lèpre de l’amoralité pouvait s’arrêter à nos portes …

Vers une Troisième Guerre mondiale : Rasmussen propose une entrée partielle de l’Ukraine dans l’OTAN

La question de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN est dans tous les esprits, sans faire l’unanimité entre les pays membres. Rasmussen, ancien Secrétaire général de l’OTAN, qui assure aujourd’hui la tutelle de l’Organisation sur le territoire ukrainien, continue à renforcer la pression en vue d’une radicalisation de la situation et de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN. Même partiellement. Certaines forces ont décidément besoin de donner un second souffle à cette guerre des tranchées, en noyant encore une fois dans le sang et la chaire le Continent européen.