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Morne rencontre à l’Elysée entre Macron et Zelensky

La tournée européenne de Zelensky est passée par la France avant d’arriver chez le Pape. Reçu sans grande pompe, un peu comme une routine, comme un passage obligé : il faut bien l’accueillir, les chefs de file atlantistes l’exigent. Mais l’enthousiasme n’est pas là. Ambiance pluvieuse au milieu de la cour de l’Elysée. Poignée de main et rien de nouveau. De toute manière, les décisions d’une telle ampleur ne se prennent pas à Paris.

Guerre en Ukraine : un recours déposé en Belgique contre Stoltenberg

Alors que Stoltenberg vient de quitter ses fonctions comme Secrétaire général de l’OTAN, un recours vient d’être déposé contre lui en Belgique pour violation du droit international : alors qu’il aurait pu empêcher l’explosion du conflit en Ukraine, il a violé les conventions internationales pour l’inciter et se pose la question de la responsabilité des élites atlantistes dans cette guerre. S’il y a peu de chances de voir aboutir juridiquement ce recours, c’est en tout cas un signe politique qui mérite d’être relevé. Et encouragé.

Face à la menace atlantiste, la Russie renforce sa doctrine nucléaire

Hier, Vladimir Poutine a présidé la réunion du Conseil de sécurité sur la dissuasion nucléaire. Avec la lente mais persistante transformation du conflit en Ukraine en guerre conventionnelle pouvant devenir de haute intensité, la Russie se voit dans l’obligation de renforcer sa doctrine nucléaire. Non pas pour frapper les pays occidentaux, comme le prétend la propagande atlantiste, mais justement pour que sa doctrine nucléaire puisse pleinement jouer le rôle de dissuasion qui est le sien.

Tirs en profondeur : le Parlement européen appelle à entrer en conflit direct contre la Russie

La composition de la nouvelle Commission européenne s’accompagne d’une radicalisation virant au fanatisme de son discours, poussant les pays européens à tirer en profondeur en Russie ou encore leur demandant de «nommer» l’opposant au Président Maduro (qui a perdu les élections) au poste de Président du Venezuela. Est-ce réellement un signe de renforcement de l’UE ? Ou bien n’est-ce qu’un paravent communicationnel ? Mais alors dans quel but ?

Sous la baguette de l’OTAN, la Finlande et l’Estonie envisagent la fermeture du Golfe finlandais à la Russie

Les pays Baltes ont toujours été les enfants chéris de l’Atlantisme. Dans le cadre du conflit armé, qui se déroule contre la Russie, ces pays sont utilisés comme base avant de l’OTAN. Et l’entrée récente de la Finlande au sein de l’Alliance continue à produire ses effets. Désormais, il est ouvertement question d’interdire l’accès au Golfe finlandais à la marine russe. L’on ne compte plus les pas fait pour aggraver le conflit, c’est une véritable fuite en avant à laquelle nous assistons.

Missiles à longue portée : l’OTAN pousse à la confrontation avec la Russie

Stoltenberg se félicite de l’envoi de missiles à longue portée en Ukraine, pour pouvoir viser des cibles en profondeur en Russie, ce qui doit permettre soi-disant à l’Ukraine de soi-disant se défendre. Le discours atlantiste est bien fondé sur ces deux mythes : le premier est que c’est l’Ukraine qui se bat, le second est qu’elle se défend. Des mythes, qui sont censés permettre d’éviter les pays de l’Axe atlantiste d’expliquer à leur population qu’ils font la guerre à la Russie sur le front ukrainien pour défendre des intérêts, qui ne sont pas les leurs.

Billet d’humeur ou pourquoi le front ne doit pas passer par Koursk

Troisième jour d’agression militaire de la région de Koursk par l’armée atlantico-ukrainienne et les médias russes officiels tiennent un discours aussi hors-sol que les officiels, ce qui ne renforce pas la confiance — au minimum en ce qu’ils disent. Alors que l’Axe atlantiste prépare une République populaire de Koursk devant entrer dans l’Ukraine, la Russie a toujours du mal à saisir qu’elle est en guerre et à repousser réellement cette tentative d’installer un front sur son sol. Quelques leçons intermédiaires à tirer.

OTAN / Russie : Stoltenberg appelle à mettre les armes nucléaires en alerte en Europe

Pour une raison assez surprenante, alors que le Secrétaire général de l’OTAN Stoltenberg annonce que, dans le cadre de la guerre contre la Russie, les pays de l’OTAN, dont la France fait partie, discutent de mettre les armes nucléaires en alerte, les médias français restent d’une discrétion très appliquée. Cela pourtant nous concerne, puisque la France est la seule puissance nucléaire en Europe. Et qu’en cas de confrontation directe avec la Russie, les pays européens seront à nouveau un champ de bataille, avant de ne devenir un champ de ruines.

Globalisation : l’OTAN se prépare à prendre institutionnellement le contrôle grâce à la guerre en Ukraine

Avec l’approche des élections américaines et l’incertitude quant à leur issue, l’OTAN se prépare à prendre formellement le commandement de la guerre en Ukraine, avec obligation pour les pays de l’OTAN de fournir des armes et l’ouverture de bases militaires aux frontières de la Russie. Les élites globalistes sont apatrides, elles peuvent temporairement quitter les Etats-Unis le temps de la présidence de Trump, sans que l’agenda international ne soit fondamentalement changé. Et le caractère existentiel de la guerre conduite par les Atlantistes en Ukraine contre la Russie ne peut se permettre le luxe des aléas politiques nationaux.

Guerre en Ukraine : l’OTAN veut officiellement coordonner le conflit

Dans sa tournée est-européenne, l’indéboulonnable Secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, bien entouré des têtes de pont lettone et polonaise de la guerre menée en Ukraine contre la Russie, déclare lors de la conférence de presse à Riga, que l’OTAN doit mettre en place une mission de coordination de l’aide militaire fournie sur le front ukrainien. Bref, avoir une sorte d’état-major. Le mirage d’une guerre menée par l’Ukraine s’éloigne de plus en plus, devenant intenable face à la réalité de la paternité de l’OTAN.

Guerre en Ukraine : les lignes flottantes et un Barbarossa 2.0. pour la Russie et l’Europe

Une grande partie de cette guerre, bien réelle, qui se déroule en Ukraine, est communicationnelle. Comme lors de toute guerre, les médias sont utilisés pour lancer des signaux à l’adversaire, autant que pour préparer l’opinion publique. Ainsi, la Russie a décidé de jouer la carte du calme froid et du flou de «l’asymétrie», quand les pays de l’Axe atlantiste développent une rhétorique de plus en plus ouvertement guerrière. Mais ne sommes-nous pas à l’aube d’un nouveau virage dans ce conflit, qui pourrait basculer dans les mois à venir, soit en prenant une nouvelle intensité, soit en purgeant la bulle médiatique (si elle est vide de politique) et en stagnant.

Macron rapproche dangereusement la France d’une confrontation militaire avec la Russie

Macron entraîne la France toujours plus près d’une confrontation militaire directe avec la Russie. Ainsi, non seulement il autorise l’utilisation des armes françaises contre des cibles en profondeur sur le territoire russe, mais il envoie des militaires français en Ukraine, formellement des «instructeurs». Face à l’avancée de l’armée russe sur le front, l’Axe atlantiste joue l’escalade. Au prix de nos hommes. Comme si la Russie allait indéfiniment se retenir de répondre directement.

Guerre en Ukraine : «Frapper le territoire russe», la nouvelle escalade voulue par l’OTAN

Ces derniers jours, une nouvelle litanie est apparue dans le discours politico-médiatique occidental : frapper le territoire russe. Le recul de l’armée atlantico-ukrainienne sur le front ukrainien oblige les Atlantistes à aller toujours de plus en plus loin, d’autant plus qu’ils sont persuadés que la Russie ne répondra pas autrement que par une escalade verbale, comme ce fut le cas jusqu’à présent.

Un billet d’aveuglement : La Finlande revient à ses réflexes nazis, mais «ça n’a rien à voir»

Le nazisme est mort, mais de quoi parlez-vous ?! De toute manière, ça n’a rien à voir … Quelques affirmations bien confortables, que les bienpensants ressortent comme un pare-feu, dès que l’on soulève la question de la résurgence nazie aujourd’hui. Prenons le cas de la Finlande, qui s’accroche à sa croix gammée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, soutient l’instrumentalisation atlantiste du néonazisme en Ukraine contre la Russie et nous prépare de nouvelles lois de ségrégation raciale, cette fois-ci contre les Russes. Mais évidemment, «ça n’a rien à voir». 

Billet d’urgence : Macron et Cameron nous conduisent vers un affrontement direct avec la Russie

Les dirigeants français et britannique insistant sur la montée en puissance du conflit vers une confrontation directe des pays de l’OTAN contre la Russie, le Président Poutine a rappelé où cela pouvait conduire : à un conflit nucléaire. S’il y a un moyen d’arrêter la folie de ces marionnettes atlantistes européennes, c’est le moment !