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Escalade du conflit contre la Russie : la Finlande se prépare à accueillir les armes nucléaires de l’OTAN

Newsweek l’a révélé dimanche, la Finlande, une fois entrée dans l’OTAN, ne posera aucune limite, ni au nombre de bases de l’OTAN sur son territoire, ni à la présence d’armes nucléaires. Combien de minutes faut-il à une bombe nucléaire pour détruire Saint-Pétersbourg ? L’escalade provoquée par l’OTAN est significative, la Russie ne pourra pas rester sans réagir, l’atteinte portée à sa sécurité nationale est trop importante.

Le Pentagone affirme l’absence de volonté de la Russie de recourir aux armes nucléaires … et arme l’Europe

Le Pentagone déclare à chaque conférence de presse ne pas constater de signes, pouvant laisser entendre que la Russie serait prête à utiliser des armes nucléaires dans le conflit en Ukraine … et donc les Etats-Unis avancent à décembre la livraison en Europe, dans les bases de l’OTAN, de nouvelles bombes nucléaires, pouvant être utilisées lors d’un conflit, pour faire face à la menace russe, qu’ils viennent de reconnaître comme inexistante. Et pendant ce temps-là, les pantins européens continuent à applaudir, alors que leur enterrement politique a déjà eu lieu et qu’ils entraînent nos pays dans leur chute sans fin.

OSCE : les preuves d’espionnage au profit de l’Ukraine et de l’OTAN s’accumulent

Les journalistes russes continuent à révéler des éléments de preuve, montrant l’activité systématique d’espionnage conduite par l’OSCE dans le Donbass et en l’occurrence à LNR. Recueil des informations sur les forces armées dans le Donbass, surveillance vidéo, stage de formation pour savoir comment travailler avec les informations ouvertes, etc. Telle était la véritable mission de l’OSCE dans le Donbass, fournir aide et assistance aux services de renseignement étranger, autant que faciliter et couvrir l’action de l’armée ukrainienne. C’est tout le système des organismes internationaux, devenus des organes à la solde de la constitution de la globalisation, qui doit impérativement être mis à plat, pour que les Etats et les peuples puissent retrouver leur liberté.

Vers une reconnaissance par la Russie de l’Ukraine comme Etat terroriste ?

Hier, 10 octobre, un changement radical s’est produit dans la réaction de la Russie face aux attaques de l’armée otano-ukrainienne. Cela s’est constaté dans les faits, avec près de 5 heures de bombardement le matin et depuis plusieurs salves régulières contre les infrastructures énergétiques et stratégiques en Ukraine. Mais aussi dans le discours politique, qui tend à reconnaître l’Ukraine comme un Etat terroriste. Ce pas peut avoir une importance fondamentale pour la suite de l’opération militaire et la détermination de ses buts, qui restent encore très flous du côté russe, alors que le clan atlantiste revendique de plus en plus clairement la disparition de «la Russie de Poutine».

Que se cache-t-il derrière l’appel de Zelensky à des frappes «préventives» de l’OTAN contre la Russie ?

Zelensky appelle hier l’OTAN à des frappes «préventives» sur le territoire russe, c’est-à-dire à mondialiser le conflit, avant de faire une légère marche arrière par l’intermédiaire de son porte-parole, évoquant une incompréhension. La vidéo étant parfaitement claire, les paroles ont été prononcées. Parier sur l’autonomie de l’acteur Zelensky dans cette mise en scène serait oublier un peu trop vite le producteur. Alors quel jeu se joue sur fond d’escalade artificielle de la menace nucléaire ?

La ligne rouge est dépassée à Donetsk

Il y eu 16 morts, que des civils, des passants ordinaires, dans le centre de Donetsk, suite aux frappes de l’armée atlantico-ukrainienne hier. Suite à la puissance des explosions, les corps ont été dispersés en morceaux. Comment accepter cela ?

L’Ukraine et l’OTAN n’ont pas besoin d’échanger les prisonniers, mais de faire taire des témoins gênants

Le Secrétaire général de l’ONU porte la bonne parole ukrainienne et demande l’échange de tous les prisonniers entre l’Ukraine et la Russie. Surtout du côté russe, cela doit concerner les mercenaires étrangers, les néonazis ukrainiens, etc. Les procès, qui se déroulent et ceux qui se préparent, manifestement, font peur : il est vrai que le troisième Américain vient d’être capturé et que le procès de Mariupole se prépare. Or, ces hommes peuvent parler, changer de conviction, c’est beaucoup trop dangereux. D’une manière ou d’une autre, il est tenté de les faire taire.

Le Traité de Kiev sur la sécurité ou la constitution sous l’égide de l’OTAN et de l’UE d’une alliance militaire contre la Russie

Le site de la présidence ukrainienne a publié hier le texte du Traité de Kiev sur la sécurité, dont les travaux ont été conduits très discrètement par Anders Rasmussen, ancien Secrétaire général de l’OTAN avec la contribution d’anciens Premiers ministres, de anciens ministres, de hautes responsables et d’universitaires occidentaux, prévoyant la mise en place d’un mécanisme obligatoire d’implication militaire des pays de l’OTAN et amis dans le conflit ukrainien. Le but affiché est non seulement de permettre de transformer toute l’Ukraine en plateforme de combat contre la Russie, mais surtout d’arriver à l’anéantissement de la Russie elle-même, dernier obstacle véritable à l’avènement de ce pouvoir. Les pays européens, vont-ils in fine se laisser entraîner dans cette guerre globale par leur faiblesse et le fanatisme de leurs élites dirigeantes ?

Discours de Poutine devant les présidents des fractions parlementaires : on n’arrête pas le sens de l’histoire

Si les médias atlantistes se sont principalement arrêtés sur la déclaration de Poutine affirmant que la Russie n’a pas encore commencé les choses sérieuses en Ukraine, l’intérêt de ce discours est surtout la formulation de la raison et des buts de cette intervention : la fin du monde global — de ce «libéralisme totalitaire», le retour à la souveraineté des peuples, la restitution du pouvoir aux Etats et la liberté de défendre sa culture et ses valeurs. L’on n’arrête pas le cours de l’histoire, comme le déclare le Président Poutine, le mouvement lancé par la Russie ne pourra pas être arrêté, l’on ne pourra pas revenir en arrière.

A Madrid, l’OTAN acte l’occupation de l’Europe

A Madrid, l’OTAN a acté l’occupation dans le temps du territoire européen, grâce au conflit en Ukraine, que le monde atlantiste a lui-même préparé, lancé, armé, financé et entretient avec amour depuis. L’on comprend mieux pourquoi Macron déclare que la Russie ne doit pas gagner — sinon, c’est la fin de ce monde.

L’armée ukrainienne et «l’internationale atlantiste»

Alors que les médias occidentaux nous vendent le conflit militaire en Ukraine, comme une grande guerre nationale de libération contre le méchant agresseur russe, l’on ne cesse d’apprendre, de source anglo-saxonne, la participation de militaires de pays de l’OTAN dans les rangs de l’armée ukrainienne. A tel point, que l’armée ukrainienne ne semble être qu’une dénomination vide, à l’image de l’Etat ukrainien, servant à cacher les véritables mécanismes de gouvernance. Ici, en ce qui concerne les Britanniques. Autrement dit, c’est plutôt l’internationale atlantiste, qui se bat en Ukraine contre le Russie !

Patrushev : la politique de l’Occident conduit à la division de l’Ukraine en plusieurs Etats

Suite à l’intensification des livraisons d’armes depuis les pays de l’OTAN et à la normalisation d’une rhétorique guerrière, la Russie, elle aussi s’adapte à cette nouvelle réalité et, désormais, envisage la possibilité d’une division de l’Ukraine en plusieurs Etats. C’est en tout cas ce qu’a déclaré le Secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, Nikolaï Patrushev, qui était avant cela le directeur du FSB.

Marioupol : quand Nuland confirme in fine l’implication directe de l’OTAN dans le conflit ukrainien

Hier, Victoria Nuland, la sous-secrétaire d’Etat pour les Affaires politiques, a déclaré à CNN que les pays de l’OTAN pourraient participer à l’évacuation des «civils» bloqués à Marioupol. Surtout quand Kiev vient de saboter les corridors humanitaires ouverts par la Russie le 20 avril, ce même jour. Donc, l’exfiltration doit se ferait incognito, les combattants étrangers sur place ne doivent surtout pas se rendre à l’armée russe, et l’OTAN pourrait même tenter d’assurer une présence «légitime» sur le territoire à cette occasion.