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Guerre en Ukraine : Trump et l’OTAN enchaînent les menaces contre la Russie

Dans leurs dernières déclarations, Trump et Rutte ne cessent d’enchaîner les menaces contre la Russie. Des missiles Tomahawk à la rhétorique guerrière, les Globalistes semblent se diriger de plus en plus sûrement vers une confrontation directe avec la Russie, qui elle tente encore de calmer leurs ardeurs. Même si ses tentatives sont, à l’inverse, prises pour de la faiblesse, ce qui les conforte dans leur position.

Billet pacifiste : Trump prêt à envoyer des missiles Tomahawk sur le front ukrainien contre la Russie

Comme on peut l’entendre à l’égard de Trump, «ce n’est pas sa guerre». Heureusement, sinon, on pourrait se demander ce qui se passerait. D’ailleurs, Trump est prêt à envoyer des missiles à longue portée Tomahawk sur le front en Ukraine contre la Russie. Reste à savoir si la Russie va encore longtemps faire semblant de bien vouloir croire aussi que «ce n’est pas sa guerre» …

Retour sur le discours de Poutine à Valdaï : la force tranquille … un peu trop tranquille ?

Hier, le Président russe s’est prononcé dans une allocution fleuve de près de 4 heures au Club Valdaï. Rien de nouveau n’a été prononcé, même si le porte-parole du Kremlin annonçait des sensations à venir. Le but était manifestement de démontrer la force tranquille et sûre d’elle de la Russie, sans oublier une complaisance particulière et appuyée pour Trump et les Etats-Unis.

Kellogg : Trump a autorisé les frappes en profondeur en Russie

Hier, le conseiller du Président Trump, Keith Kellog a délicatement confirmé, que le Président américain avait autorisé l’armée atlantico-ukrainienne à frapper en profondeur en Russie. Sur fond d’accord d’approvisionnement du front, il va être de plus en plus difficile de continuer à dire de Trump que «ce n’est pas sa guerre».

Poutine propose aux Etats-Unis d’éviter la course aux armements : sera-t-il entendu ?

Hier, le Président russe Vladimir Poutine a fait une déclaration devant le Conseil de sécurité, qui a été annoncée en avance par le porte-parole du Kremlin, comme devant être importante. Prévenant que la Russie était prête à répondre militairement à tout acte mettant en danger sa sécurité stratégique, Poutine propose de prolonger d’une année le respect du Traité New Start, conclu entre les Etats-Unis et la Russie en 2010, qui n’est à ce jour plus respecté par les Américains. Evidemment, la nuit s’est accompagnée d’une pluie de drones.

Ukraine : Trump «mécontent» prépare de nouvelles sanctions contre la Russie

La vision géopolitique dépend désormais de l’expression infantile des humeurs du Président américain : Trump est «content» ou Trump n’est «pas content». Aujourd’hui, Trump n’est pas content — ce qui est plutôt une bonne chose pour la Russie, puisque ces pays ne sont pas dans le même camp. Et donc Trump annonce envisager de nouvelles sanctions contre la Russie. Rien à dire, tout a changé avec son arrivée à la présidence américaine …

Une rencontre Trump avec Zelensky après celle de Poutine : les Globalistes dans l’impasse

Après l’échec des Globalistes avec la rencontre Trump / Poutine en Alaska, la pression politico-diplomatique s’accentue sur la Russie, mais sans grand succès. Alors que Trump annonçait comme presque décidée une réunion tripartite avec Poutine et Zelensky, cette perspective semble s’éloigner. Aujourd’hui, Zelensky a été convoqué pour une audience impériale à Washington, avec à sa suite les Européens et les représentants des organes de gouvernance de la globalisation. Tant que la Russe ne cède pas, ils sont principalement dans une impasse.

Billet du jour : La Russie cherche-t-elle le sort de l’Arménie en Alaska ?

L’Arménie a conclu sous l’égide de Trump, le casse du siècle … au profit des Etats-Unis et de l’Azerbaïdjan, qui est le proxy des intérêts de la Turquie … qui y trouve aussi largement son compte. C’est le seul type d’accords, que les Etats-Unis sont prêts à entériner. Et la Russie n’en tire aucune leçon, félicite Pachinian pour la «paix». Désormais en Russie toutes les voix qui ne chantent pas la «paix globale» sont tenues de baisser le volume. Faisons alors une projection sur le monde merveilleux trumpien, vers lequel se dirige Poutine le 15 août. Le danger des dystopies, c’est qu’elles peuvent se réaliser.

Billet d’humeur : Rencontre Poutine / Trump ou combien coûte la Russie, sa terre, ses hommes ?

La dernière visite de Witkoff à Moscou risque de coûter très cher à la Russie. Alors que le piège était énorme et parfaitement compris de tous, les autorités russes reprennent les déclarations de Trump et annoncent fièrement une réunion au sommet la semaine prochaine. Quel accord aurait été trouvé ? Quelles concessions les élites russes sont-elles prêtes à faire ? Ont-elles toujours peur de remettre en cause le monde, qui les a mises au pouvoir ? Des temps troublent s’annoncent, la tentation de la trahison est au plus haut.

Trump acte la continuité dans l’approvisionnement du front ukrainien

L’Administration Biden avait garanti avant son départ l’approvisionnement du front ukrainien jusqu’à la fin de l’été. Cela avait laissé un peu de temps à la nouvelle Administration pour tenter de faire chuter la Russie dans le piège des négociations, c’est-à-dire la faire capituler. Le piège ne s’est pas refermé sur elle, la question de la reprise des livraisons d’armes est donc d’actualité. Trump va les reprendre et utilisera pour le cela les compétences spéciales présidentielles, comme Biden le faisait avant lui. Rien ne change et il n’y avait aucune raison objective à cela.

Appel Trump / Poutine : la Russie n’a plus aucune illusion quant aux Etats-Unis

L’appel téléphonique avec Poutine tant annoncé par Trump a eu lieu hier. Mais il ne s’est pas passé comme prévu … pour les Atlantistes. Le Président russe garde le cap, rappelle les buts stratégiques de la Russie et ne fait aucun pas vers la capitulation — ce qui est en réalité la seule chose attendue par Trump. Celui-ci exprime alors ouvertement autant son agacement, que son impuissance. La Russie maîtrise pour l’instant l’agenda. Puisque dans la configuration actuelle, elle maîtrise le front.

Billet du jour : il y a quelque chose, qui déraille en Russie et je ne parle pas des trains …

Dans la nuit du 1er au 2 juin, des trains ont déraillé dans les régions de Briansk et Koursk, des ponts ferroviaires ont été touchés, des rails ont été explosées, mais le Comité d’enquête russe refuse fermement d’y voir le moindre acte de terrorisme. Sur fond de négociations à Istanbul, 104 victimes civiles russes dont 7 morts, ça passe mal.  Les enquêteurs recherchent très sérieusement le responsable de cela : le castor noir à casquette blanche, dont le danger est continuellement sous-estimé, est certainement dans le coup. Des mesures doivent être prises.

Elon Musk, le contre-exemple à analyser pour assainir nos sociétés néolibérales

Elon Musk quitte ses fonctions au sein de l’Administration Trump. Chacun l’attendait, on ne peut pas dire qu’il entrera dans l’histoire en tant qu’homme politique. On ne gère pas un Etat comme on gère une entreprise. La politique est un métier. A l’époque du néolibéralisme conquérant, dont ces personnes sont la parfaite incarnation, il faudrait revenir aux fondamentaux pour reconstruire nos Etats. En un sens, ce qui se passe au sein de l’Administration américaine est un parfait contre-exemple à analyser.

Billet du jour : l’union Trump / Poutine remise à des jours … ultérieurs ?

Alors que l’on nous vendait le mariage du siècle, un mariage de raison certes mais un mariage quand même, il semblerait que la fiancée soit prête à renoncer et fait de plus en plus de déclarations émotives en ce sens. Rubio nous annonce bien que Trump n’est pas «déçu» par Poutine, mais un petit vent sibérien prend la route de Washington. Le motif en est simple : la Russie de se laisser bombarder sans réagir. Quelle idée, en effet !

Merz et les frappes en profondeur en Russie : nouvelle escalade du conflit ou opération de comm ?

Le Chancelier allemand a annoncé, ou plutôt rappelé, la décision prise par l’Axe atlantiste (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France et Allemagne) de levée des restrictions de distance de tir pour les armes livrées, par ces pays sur le front ukrainien. «Rappelé», car cette décision a été prise il y a plusieurs mois de cela. Le Kremlin souligne de son côté les conséquences dangereuses d’une telle escalade, qui entraînerait la fin du fameux processus de négociation (unilatéral), mort avant même d’avoir apporté de véritables fruits — pour la paix. Pour autant, dire n’est pas encore faire. Voyons ce qu’il en sera en réalité, la doctrine nucléaire russe n’a pas été annulée.