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Conflit en Ukraine : les Etats-Unis, sont-ils un pays terroriste ?

Le terrorisme est au coeur de ce conflit ukrainien et le rôle des Etats-Unis n’est pas négligeable. Non seulement, ils préparent, selon le Renseignement russe, des attaques sur le sol national, mais leur responsabilité dans l’attentat contre le gazoduc Nord Stream fait de plus en plus de bruit. La Russie convoque d’ailleurs à ce sujet une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU ce 22 février, alors que l’aveuglement des pays de l’Axe touche à son paroxysme.

Les Etats-Unis financent une bonne image de l’OTAN et l’implantation de leurs valeurs en Finlande

Les Etats-Unis se préparent à financer la prise en main de la société finlandaise, pour la faire définitivement passer aux «valeurs» américaines, en soutien à l’OTAN. Mais il est vrai que la Finlande a perdu son autonomie politique en perdant sa neutralité militaire, fragile équilibre choisit après la Seconde Guerre mondiale, en raison de son statut d’allié de l’Allemagne nazie. Décidément, la Finlande répète toujours les mêmes erreurs …

Conflit en Ukraine : les Etats-Unis reçoivent à domicile les pays de l’Axe à Ramstein

La coalition élargie de l’Axe atlantiste se réunit aujourd’hui sur la base militaire américaine de Ramstein en Allemagne, la plus grande base militaire américaine en Europe construite dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, qui il y a 10 ans de cela était censée être fermée et se porte toujours à merveille, avec plus de 50 000 Américains, civils et militaires. Et le Secrétaire américain à la Défense, en personne, va accueillir ses hôtes à domicile, en Allemagne, ces représentants de la cinquantaine de pays, qui contribuent à l’effort de guerre de l’Axe en Ukraine contre la Russie. Toujours plus de chars, toujours plus d’implication car, comme les officiels européens le déclarent de plus en plus souvent : seule la défaite militaire de la Russie est acceptable. Mais comme l’a rappelé Dmitri Medvedev, une puissance nucléaire ne perd pas une guerre, dont dépend son existence. Il semblerait que nous arrivions, à presque une année de conflit, à un nouveau tournant : va-t-on entrer dans une guerre totale, la Première Guerre globale ?

La Bataille d’Ukraine de l’OTAN et l’occupation de l’Europe

Quand Stoltenberg réfute toute possibilité de normalisation à venir des relations avec la Russie, même après la fin du conflit en Ukraine, il ouvre les cartes de la véritable dimension de cette guerre et des intentions de l’Axe atlantiste : détruire la Russie pour permettre l’avènement de la globalisation, dans sa version impériale totalitaire. Et l’occupation des pays européens, militaire et politique, se met en place et se justifie grâce à ce conflit en Ukraine, tant nécessaire aux forces globalistes. Et l’UE joue son rôle d’organe global de gouvernance locale, en achevant la dilution des Etats européens dans un marais apolitique et soumis. Les élites nationales ont trahi, il faut en tirer les conséquences.

La dislocation de la Pangée géopolitique

Jean-François Geneste nous propose de revenir sur la déconstruction du système géopolitique issu de la Seconde Guerre mondiale, dont les dérives nous ont conduit à la crise actuelle, essentielle dans le sens direct du terme et devant aboutir à la remise en cause de l’idéologie qui le soutient.

Le Sénat américain prévoit de légaliser la spoliation des actifs russes gelés

A l’occasion du vote du budget, le Sénat américain adopte un amendement prévoyant la possibilité d’utiliser pour l’Ukraine, les actifs russes gelés suite aux sanctions adoptées par les Etats-Unis contre la Russie. L’idée d’une spoliation des actifs russes devient de plus en plus à l’ordre du jour, surtout que la guerre coûte cher et que l’Ukraine est évidemment incapable de rembourser tout ce qui lui est fourni, en armement et en prêts. La Russie, consacrée «ennemi» par le discours politico-médiatique atlantiste, se voit enfermée dans un droit de l’ennemi, qui la prive de ses droits ordinaires — pour des raisons politiques. La guerre a ses raisons que le droit ne connaît pas. Le vainqueur, de toute manière aura raison. Le droit est un instrument, les Occidentaux savent parfaitement le manipuler.

Billet du vendredi : le «conflit en Ukraine» est une nouvelle véritable guerre mondiale

Les Etats-Unis ont décidé d’intensifier la formation des militaires ukrainiens dès janvier, en plus de l’envoi d’une batterie de missiles Patriot. Cela répond à ceux, qui tentent de se convaincre de la volonté des Etats-Unis de conduire l’Ukraine à négocier … Et afin de mettre les points sur les i : non, les Etats-Unis ne font pas durer le conflit, ils font la guerre. Et ils la font pour gagner, non pas pour négocier. Leur but est simple : faire disparaître la Russie comme puissance potentielle, afin d’assurer la totalité de leur puissance. Il est temps d’appeler un chat un chat, les illusions coûtent toujours très cher en temps de guerre. La Russie n’en a pas les moyens. Cette guerre est déjà mondiale et l’une des batailles décisives se joue en Ukraine. Bataille, qui ne peut être remportée que militairement, ce à quoi l’Axe atlantiste travaille sérieusement. Le reste n’est que manoeuvre dilatoire.

Le Parlement européen s’apprête à voter le mythe du Holodomor, créé aux Etats-Unis dans les années 80

Sur fond de conflit ukrainien, il est important pour l’Axe atlantiste d’encrer dans l’opinion publique l’image de l’Ukraine victime. D’une Ukraine pas uniquement victime aujourd’hui, mais historiquement victime, déjà de la vilaine Union soviétique. Pour cela, le vieux mythe du Holodomor est très utile. Créé aux Etats-Unis dans les années 80, il est parfaitement réutilisé aujourd’hui en Europe et le Parlement européen, discipliné, se prépare à voter ce 15 décembre une résolution historiquement fausse, mais idéologiquement indispensable, faisant porter la responsabilité de la famine en Ukraine dans les années 1932 et 1933 sur les épaules d’un Staline, qui voulait soi-disant éliminer physiquement le peuple ukrainien. Mettons donc en lumière quelques éléments historiques et voyons comment ce mythe, dans lequel le Parlement européen se prépare à plonger, a été créé de toute pièce pour les besoins du combat géopolitique des Etats-Unis contre l’URSS. Les choses ne changent pas tellement …

Témoignage du front : entretien exclusif avec des soldats russes

En novembre 2022, les avocats Dan KOVALIK et Arnaud DEVELAY se sont rendus dans un hôpital militaire, situé dans une banlieue de Moscou. Lors de leur entretien avec deux soldats russes, tous deux volontaires, amputés et soignés pour les blessures subies au front, un dialogue humain et sans censure en a suivi, soulevant toute la complexité de cette guerre fratricide, qui a été justement provoquée en ce sens. Voici le sténogramme en français et pour les russophones et anglophone, la vidéo de cette rencontre de deux mondes, qui n’en forment plus qu’un aujourd’hui. Le nôtre.

Division SS «Galicie» : la Cour suprême ukrainienne ne voit aucun lien avec le nazisme

La Cour suprême ukrainienne vient de blanchir le régime néonazi post-Maïdan en déclarant très sérieusement que la Division «Galicie» ou 14e division d’infanterie SS Galicienne N°1 n’a pas de symboliques nazies, elle ne peut donc être interdite en Ukraine aujourd’hui. Et pour cause, la symbolique de cet organe, intégré dans les SS, qui a été utilisé pour lutter contre la résistance en Europe de l’Est, est reprise aujourd’hui par de nombreux membres de cette nouvelle armée atlantico-ukrainienne. De la collaboration servile et acharnée à la lutte contre tout résistance, les traditions manifestement reviennent à la charge en Ukraine … Revenons un peu sur l’histoire et les tristes gloires de la Division «Galicie», puisque c’est cette Ukraine que l’Occident atlantisé a décidé de ressuciter.

Conflit en Ukraine : Biden reconnaît refuser les négociations et n’accepter que la capitulation de la Russie

Lors de la visite de Macron aux Etats-Unis, le Président américain a fait une déclaration, qui a le mérite de mettre les points sur les i : il n’acceptera de discuter avec la Russie, que si elle capitule. Cela devrait permettre de calmer des «pacifistes», c’est-à-dire ceux qui rêvent toujours d’un monde «comme avant», ne pouvant ouvertement appeler à une soumission totale au diktat atlantiste — et la disparition de la Russie, comme Etat souverain. 

Plafonnement des prix du gaz russe : les pays européens rechignent à se suicider

Sur injonction américaine, l’UE continue à vouloir imposer aux pays européens un plafond au prix du gaz et du pétrole russes. Manifestement, le jeu du marché, si cher aux pays soi-disant libéraux dont nous faisons partie, n’est pas si sacré que cela dans le monde atlantiste, surtout lorsqu’il s’agit d’affaiblir les Etats européens, déjà totalement soumis politiquement, et de les rendre encore plus dépendants des décisions atlantistes. La Russie a encore répété ne pas vendre du gaz aux pays pratiquant le plafonnement. Mais les pays européens ont du mal à faire le dernier pas et à sacrifier ce qui reste de leur économie nationale au dieu Atlan. Pourtant, tous les cultes exigent des sacrifices réguliers, ne serait-ce que pour calmer la colère des dieux.

Etats-Unis / Russie : les fausses-vraies négociations au sujet de l’Ukraine

Les Etats-Unis, leurs satellites et leurs forces alliées exercent une pression considérable sur la Russie, pour la conduire à la capitulation. L’heure est difficile sur le plan militaire, c’est le moment «idéal» pour vendre de fausses illusions. Pendant que Peskov, le porte-parole du Kremlin, confirme des négociations secrètes en Turquie à la demande des Etats-Unis, le ministère des Affaires étrangères repousse une attaque politico-médiatique contre le pays et déclare inacceptables les conditions atlantico-ukrainiennes. Le moment de vérité politique est arrivé pour la Russie.

Ukraine : pourparlers secrets américano-russes et enlisement du front

Cela fait longtemps que sur la ligne de front, il ne se passe rien de significatif. Les bombardements stratégiques russes continuent, la mobilisation est terminée, mais les effets ne se font pas sentir. L’armée ukrainienne continuent à tirer sur les villes russes et les cibles civiles, malgré des pertes importantes. Sans avancées. Dans le même temps, l’on apprend par le Wall Street Journal, que des pourparlers secrets sont menés par les Etats-Unis avec la Russie, pour «éviter une aggravation du conflit» — pendant que ces mêmes Etats-Unis intensifient leur aide militaire à l’Ukraine et exigent des pays européens, entre autres, qu’ils en fassent autant. Nous en revenons toujours à la même question : le problème en Russie, est-il politique ou militaire ?