Рубрика: Conflit en Ukraine

Crimes de guerre à Mariupol : ces 3000 civils victimes de l’armée atlantico-ukrainienne, qui méritent justice!

Les médias alignés ne vous parleront jamais de ces crimes de guerre. Car ils ont été commis par leurs hommes. Oui, leurs «hommes». Ce ne sont ni des animaux sauvages, ni des robots qui ont tué plus de 3 000 civils à Mariupol, ce sont des hommes de chair et de sang, mais des hommes qui ont perdu leur âme. Et ce sont eux, que les pays de l’Axe atlantiste continuent à financer et armer contre la Russie. La Russie, elle, ouvre une affaire pénale pour élucider ces atrocités et les autres commises par l’armée atlantico-ukrainienne. Mais pour que cela aboutisse, il va bien falloir avoir le courage de l’action juridique, les effets d’annonce devenant de plus en plus limités en raison de leur démultiplication.

L’Axe globaliste et l’impossible trêve unilatérale de Noël proposée par la Russie en Ukraine

Sur proposition du Patriarche, le Président russe a ordonné une trêve de Noël, aujourd’hui étant le jour du réveillon orthodoxe, afin de laisser les militaires des deux camps aller à la messe. Sans même parler du fait que les combattants de l’OTAN ne sont pas orthodoxes, la question qui a rapidement été posée en Russie est pleine de bon sens : comment une trêve peut-elle être unilatérale ? Puisque l’Ukraine l’a déjà rejetée, il y a peu de chance qu’elle puisse avoir lieu. D’autant plus que Dieu, et le Dieu orthodoxe en particulier, est également une cible de cette guerre atlantiste.

Tirs atlantico-ukrainiens sur les mobilisés à Makeevka : des leçons à tirer

A Makeevka (DNR), dans la nuit du Nouvel An, l’armée atlantico-ukrainienne a tiré des roquettes HIMARS, armes de l’OTAN, sur un bâtiment abritant des mobilisés. Le nombre de morts est important, même si les chiffres de 300 ou 500 avancés par les médias ukrainiens sont largement excessifs. Ce n’est pas un crime de l’armée atlantico-ukrainienne, c’est la guerre. Et que cela soit possible après 10 mois justement de guerre, cela choque beaucoup en Russie. La fameuse «opération spéciale» fait souvent — et dangereusement — oublier qu’il s’agit d’une guerre traditionnelle. Les mots ont un sens, ils ont aussi des conséquences.

Région de Kharkov : les répressions «pro-démocratiques» ukrainiennes à Koupiansk

La ville de Koupiansk, dans la région de Kharkov, a été laissée par l’armée russe fin septembre. Depuis quelques temps des nouvelles inquiétantes passent le mur du silence et laissent filtrer des informations concernant les répressions menées par le pouvoir atlantico-ukrainien contre la population, pour avoir osé vivre en harmonie avec la Russie. Sans oublier les pillages menés dans la ville par l’armée atlantico-ukrainienne, qui ressemble à s’y méprendre à une armée d’occupation. Après les fonctionnaires et les enseignants, la répression en arrive aux simples citoyens. Manifestement, l’accueil fourni par la population aux «libérateurs» n’était pas à la hauteur de leur propagande.

Résolution du Conseil scientifique de la Société militaire historique russe : pour une libération totale de l’Ukraine

La Société militaire historique russe est une organisation publique autonome, qui s’occupe de la recherche historique militaire et de sa popularisation. Après 10 mois d’opération militaire et son actuelle stagnation, une réflexion profonde est apparue nécessaire, tout d’abord quant à la nature de cette «Opération spéciale militaire», qui est une véritable guerre — en tout cas, les pays de l’Axe atlantiste font la guerre à la Russie, eux. Il découle de cela alors toute une série de remarques et propositions, intégrées dans une résolution, qui vient d’être publiée et mérite d’être analysée. Cela montre bien que si certaines hésitations engluent le processus de décision politique, avec ce constant combat des élites en Russie, il reste des forces saines, qui ont elles une vision parfaitement claire et du but et des moyens institutionnels indispensables pour atteindre ce but.

L’armée atlantico-ukrainienne a détruit un hôpital de Donetsk : aucune réaction

Prendre pour cible un ouvrage civil particulièrement protégé comme un hôpital est constitutif d’un crime de guerre. Cela fait deux jours que l’armée atlantico-ukrainienne tire sur l’hôpital Kalinine de Donetsk. Cela fait deux jours que les proches des victimes et les patients évacués en urgence attendent, de toute manière sans y croire, une condamnation de cette «communauté internationale», qui s’est déjà totalement discréditée. Félicitations, la cible est détruite. Et cet hôpital, n’était pas militarisé.

Conflit en Ukraine : Les Pays-Bas se proposent d’héberger un Tribunal spécial pour juger la Russie

La question de la judiciarisation de l’accusation politique portée par les pays de l’Axe globaliste contre la Russie se précise de jour en jour. Avec la difficulté de trouver une plateforme conforme au droit international, la résolution de la question semble se diriger vers l’instrumentalisation de la justice nationale, «en accord» avec l’ONU. Même si le cadre juridique est chancelant, il serait naïf de prendre ces initiatives à la légère et de tout réduire à la communication. L’Axe est en guerre et développe ses attaques sur tous les fronts, notamment celui de la justice internationale.

Conflit en Ukraine : La pseudo-fuite de Poutine ou comment se contruit le nouveau discours médiatique contre la Russie

Depuis hier soir, les médias français sont saturés d’une information sortie du canal Telegram d’une personne présentée avec excès comme l’ancienne plume de Poutine et vivant actuellement en Israël : le «premier cercle» préparerait en cas de défaite de la Russie et ce depuis le début de l’Opération militaire, la fuite du Président russe vers le Venezuela. L’absurdité du fond et le peu de fiabilité de la source obligent à s’interroger sur la construction d’une nouvelle ligne d’attaque médiatique, lancée contre la Russie : décrédibiliser le pilier du système russe, Poutine. En faisant tomber le pilier, l’idée est de faire s’effondrer le pays. Car les mécanismes de confiance politique sont des mécanismes extrêmement fragiles.

L’AIEA continue à tenter le transfert de la centrale nucléaire de Zaporojié vers l’Ukraine

L’Agence internationale de l’énergie atomique continue à tenter de faire revenir la centrale nucléaire de Zaporojié dans le giron de l’Ukraine en usant de la diplomatie, puisque les tentatives militaires de l’armée atlantico-ukrainienne ont échoué. Grossi annonce même un possible accord concernant l’établissement d’une zone de sécurité autour de la Centrale d’ici la fin de l’année, qui prévoit le retrait des forces militaires russes. De son côté, le porte-parole du Kremlin dément toute volonté de retirer les forces militaires russes et d’abandonner la centrale nucléaire. Mais, étrangement, les négociations entre Rosatom et l’AIEA continuent. Ce qui affaiblit la position de la Russie, par manque de fermeté, dans ce qui est une véritable guerre en cours. Rappelons que selon la dernière réforme constitutionnelle russe, ce territoire, du point de vue de l’Etat russe, est national.

Conflit en Ukraine : Biden reconnaît refuser les négociations et n’accepter que la capitulation de la Russie

Lors de la visite de Macron aux Etats-Unis, le Président américain a fait une déclaration, qui a le mérite de mettre les points sur les i : il n’acceptera de discuter avec la Russie, que si elle capitule. Cela devrait permettre de calmer des «pacifistes», c’est-à-dire ceux qui rêvent toujours d’un monde «comme avant», ne pouvant ouvertement appeler à une soumission totale au diktat atlantiste — et la disparition de la Russie, comme Etat souverain. 

Zaporojie : des frappes atlantico-ukrainiennes pour conduire la Russie à se retirer

Nous notons une augmentation des frappes sur la centrale nucléaire de Zaporojie ces derniers jours. Chacun sachant que la centrale étant tenue par la Russie, elle n’a pas intérêt à provoquer un incident nucléaire, quel est alors le but de ces manoeuvres ? Manifestement, conduire la Russie à reculer «stratégiquement» et «pour sauver des vies». Une fois n’étant pas coutume. Mais pour l’instant, la Russie semble résister — politiquement — sur ce point. 

MH17 : que signifie la décision du tribunal de district de La Haye condamnant sans surprise la Russie ?

Le tribunal de district de La Haye, se fondant sur l’enquête à charge monté par un groupe d’Etats intéressés, sans participation de la Russie, a pris avec quelques mois de retard la décision tant attendue devant condamner la Russie pour avoir tiré le 17 juillet 2014 sur le vol MH17 un Boeing de la Malaysia Airlines, effectuant un trajet Amsterdam — Kuala Lumpur, tuant dans le crash au-dessus de la zone de conflit dans le Donbass les 283 passagers et 15 membres d’équipages. Rien de surprenant dans ce verdict, il était très attendu … mais devait arriver plus tôt. Désormais, il ne présente qu’un très faible intérêt politique, sans conséquences juridiques directes. Son rôle pourrait, en revanche, être de servir de base pour «juger» en pagaille de hauts responsables russes dans le cadre plus large du conflit ukrainien.

Pologne : L’Ukraine irresponsable de ses actes puisque la Russie doit être coupable

Le 15 novembre, un missile tombe en Pologne à la frontière avec l’Ukraine et fait deux morts. Immédiatement, l’hystérie politico-médiatique se met en route et la Russie est accusée. Très rapidement, les Etats-Unis, et même l’OTAN du bout de lèvres, laissent entendre qu’il s’agirait d’un tir ukrainien, ce que la présidence polonaise a également très rapidement déclaré. Mais comme l’Ukraine ne peut être coupable et que la Russie doit être responsable, qu’à cela ne tienne, l’Ukraine n’est pas coupable et la Russie est responsable. Il est vrai qu’en droit, une personne sous tutelle ne peut être responsable et la communauté atlantiste ne va pas s’accuser elle-même …

Ce régime d’occupation dans Kherson «libérée»

Avec l’arrivée de l’armée atlantico-ukrainienne, l’horreur bien connue dans les territoires laissés par la Russie se répète. A Kherson, l’on voit se mettre en place un régime d’occupation avec un système d’épuration et une violence quotidienne, bien loin du discours politico-médiatique prédigéré de la «libération» de la ville par l’armée ukrainienne et de l’accueil chaleureux de quelques nombreux habitants. Revenons sur ce que vous ne lirez pas dans les médias français, parfaitement disciplinés.