Рубрика: Conflit en Ukraine

Azovstal : Les otages du bataillon ukrainien néonazi Azov

Hier, une centaine de civils sont sortis de l’ancienne usine Azovstal, transformée en base militaire ukrainienne à Mariupol et tenue par le bataillon néonazi Azov. Et les gens ont commencé à parler. Mais vous n’en entendrez pas un mot dans les médias occidentaux, car ils condamnent les groupes extrémistes de les avoir retenus contre leur gré. Cela s’appelle une prise d’otages. Et cela constitue un crime de guerre. Pourtant, personne en Occident ne le condamne, chacun se félicite de leur sortie comme si de rien n’était. Ce n’est pas de l’hypocrisie, c’est de la complicité.

La guerre des Tribunaux pénaux internationaux : pour l’Ukraine et pour … la Russie

Le Conseil de l’Europe vient d’être lancé pour que les pays membres présentent leurs derniers hommages au monde global et que, in fine, ils déclarent la guerre à la Russie, puisqu’ils sont sommés de créer un Tribunal pénal international devant enquêter sur les «crimes» soi-disant commis par la Russie en Ukraine (et uniquement eux), afin de donner une apparence civilisée à la condamnation politique des grands responsables politiques et militaires russes.

Patrushev : la politique de l’Occident conduit à la division de l’Ukraine en plusieurs Etats

Suite à l’intensification des livraisons d’armes depuis les pays de l’OTAN et à la normalisation d’une rhétorique guerrière, la Russie, elle aussi s’adapte à cette nouvelle réalité et, désormais, envisage la possibilité d’une division de l’Ukraine en plusieurs Etats. C’est en tout cas ce qu’a déclaré le Secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, Nikolaï Patrushev, qui était avant cela le directeur du FSB.

Marioupol : quand Nuland confirme in fine l’implication directe de l’OTAN dans le conflit ukrainien

Hier, Victoria Nuland, la sous-secrétaire d’Etat pour les Affaires politiques, a déclaré à CNN que les pays de l’OTAN pourraient participer à l’évacuation des «civils» bloqués à Marioupol. Surtout quand Kiev vient de saboter les corridors humanitaires ouverts par la Russie le 20 avril, ce même jour. Donc, l’exfiltration doit se ferait incognito, les combattants étrangers sur place ne doivent surtout pas se rendre à l’armée russe, et l’OTAN pourrait même tenter d’assurer une présence «légitime» sur le territoire à cette occasion. 

Création d’un crime de guerre : De Racak à Boutcha, la mécanique se met en marche encore une fois

Macron l’a dit, la France a envoyé des gendarmes en Ukraine, formellement pour enquêter sur les crimes soi-disant commis par l’armée russe après «l’occupation». Le discours politico-médiatique français oublie simplement de dire, qu’en réalité, ils agissent avec l’organisation intergouvernementale initiée par les Etats-Unis, l’International Commission on Missing Persons, qui a été très active dans les Balkans et travaille notamment sur les charniers lors des conflits. L’on se souvient effectivement du faux charnier de Racak et de son rôle légitimant l’intervention de l’OTAN en Yougoslavie. Leur présence en Ukraine ne présage rien de bon.

Zelensky interdit tous les partis d’opposition en Ukraine : silence en Occident

Dans la nuit de samedi à dimanche, le président ukrainien a annoncé la fermeture des 11 partis d’opposition en Ukraine. L’on appréciera à sa juste valeur le silence total des milieux politiques et journalistiques occidentaux, des ONG de défense des «valeurs démocratiques». Mais il est vrai que l’existence d’une véritable opposition n’est depuis longtemps plus une valeur occidentale. Quelle opposition acceptable au monde global pourrait exister, qui ne remettrait pas immédiatement en cause cette globalisation ? Alors, silence, on ferme.

La Russie négocie-t-elle un protectorat anglo-américain pour l’Ukraine ?

Un choc s’est produit hier en Russie, avec les révélations du Financial Times, confirmées par Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, de la négociation d’un plan de 15 points, comprenant le départ de l’armée russe d’Ukraine et la préservation de l’armée ukrainienne, mais sa diminution … en contrepartie d’une protection exercée par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Autrement dit, la Russie a commencé cette opération militaire pour in fine discuter de l’instauration d’un protectorat anglo-américain sur l’Ukraine ? Les élites politiques russes, qui soutiennent ce processus, ont-elles conscience de la puissance des ondes de déflagration qui se déverseront alors sur la Russie et dans le monde ? Analysons la situation.

Les USA reconnaissent avoir des laboratoires biologiques militaires en Ukraine

L’avancée de l’armée russe en Ukraine fait peur. Elle fait peur aux USA qui entrevoient le risque d’un déballage sur la place publique d’une partie de leurs activités en Ukraine, notamment celles assez louches concernant le déploiement de laboratoires biologiques militaires, ce que Victoria Nuland a reconnu et dont les médias main stream ne parlent pas beaucoup.

Conflit en Ukraine : d’où vient une telle différence d’interprétation des événements entre la Russie et l’Occident ?

Comment la Russie et les pays européens en sont-ils arrivés à parler à ce point une langue différente ? Sans en être particulièrement surpris, nous ne pouvons que le déplorer, car la langue décrit le monde et les pays européens semblent s’enfoncer dans le monde global atlantiste, corps et âmes, y perdant leur âme, y sacrifiant leur corps.

Début de l’intervention russe de démilitarisation et de dénazification de l’Ukraine

Le 24 février 2022 à 6 heures du matin, le Président russe Vladimir Poutine s’est adressé à la Nation, pour annoncer la décision prise de lancer une opération militaire en Ukraine, visant à la démilitarisation et à la dénazification du pays. L’ampleur de l’intervention militaire russe a laissé K.O. autant les autorités ukrainiennes, que leurs tuteurs atlantistes.

Echec du plan atlantiste : la Russie reconnaît l’indépendance de DNR et LNR

Après une longue hésitation, la Russie s’est décidée à reconnaître l’indépendance de DNR et LNR, ainsi qu’à envoyer l’armée russe stabiliser la situation sur place. Les menaces proférées par l’Occident n’ont pas pu étouffer le son de l’artillerie ukrainienne, qui ce week-end a résonné dans tout le Donbass et continue encore aujourd’hui à faire des victimes. Le combat n’est pas terminé, mais les populations civiles reprennent espoir : le Monde russe n’est pas mort, cela valait la peine de le défendre pendant toutes ces années.

La Russie en passe de reconnaître l’indépendance de Donetsk et Lougansk

Les députés russes, dans leur grande majorité, ont voté pour la résolution demandant au Président Poutine de reconnaître l’indépendance des républiques de Donetsk et Lougansk. Cela fait 7 ans que les Accords de Minsk, auxquels la Russie n’est pas partie, mais garante, au même titre que la France et l’Allemagne, sont bafoués par l’Ukraine, les députés ont suivi l’appel des Communistes à protéger les civils. Les menaces grandissantes contre leur sécurité, perpétrées par le clan atlantiste, coûte toujours plus cher à l’Ukraine. Mais il est vrai que la soumission coûte toujours très cher.

Le reportage choc de TF1 sur le Donbass fait sortir l’Ukraine de ses gonds

TF1 a réalisé un reportage sur le Donbass, étonnant pour le paysage audiovisuel français, totalement à contre-courant de la ligne politico-médiatique officielle. L’Ukraine n’a pas particulièrement apprécié la chose et, selon des sources russophones, l’ambassade d’Ukraine aurait téléphoné à TF1 pour le faire savoir. Nous vivons une époque merveilleuse

Billet : La Russie, cet étrange «agresseur» où viennent vivre tant d’Ukrainiens

Alors que les médias atlantistes ne cessent de parler de la Russie comme d’un agresseur, les chiffres, reconnus en Ukraine, de l’ampleur des Ukrainiens qui se réfugient en Russie, qui vivent et travaillent en Russie, qui prennent la nationalité de «l’agresseur» sont surprenants … s’il s’agit d’un agresseur. Un Ukrainien sur 12 vit en Russie, l’année dernière encore malgré les problèmes de déplacements, encore des demandes de statuts de réfugiés. Imaginez lors de la Seconde Guerre mondiale, combien d’Européens allaient volontairement se «réfugier» en Allemagne et y vivre, y faire leurs études ?

OTAN : l’escalade militaire continue dans l’Est de l’Europe et évacuation médiatico-diplomatique d’Ukraine

Sous la baguette de l’OTAN, les pays européens déclarent renforcer leur présence militaire dans les pays limitrophes européens de la Russie. La réponse ainsi apportée par l’OTAN à la demande russe de retirer les troupes étrangères de Roumanie et de Bulgarie souligne, pour ceux qui avaient encore des doutes, que les Etats-Unis ne sont pas dans une logique de négociation.