Рубрика: Conflit en Ukraine

L’Ukraine et l’OTAN n’ont pas besoin d’échanger les prisonniers, mais de faire taire des témoins gênants

Le Secrétaire général de l’ONU porte la bonne parole ukrainienne et demande l’échange de tous les prisonniers entre l’Ukraine et la Russie. Surtout du côté russe, cela doit concerner les mercenaires étrangers, les néonazis ukrainiens, etc. Les procès, qui se déroulent et ceux qui se préparent, manifestement, font peur : il est vrai que le troisième Américain vient d’être capturé et que le procès de Mariupole se prépare. Or, ces hommes peuvent parler, changer de conviction, c’est beaucoup trop dangereux. D’une manière ou d’une autre, il est tenté de les faire taire.

La région de Kharkov : du fake d’Izioum à la réalité des répressions ukrainiennes

Suite au retrait des forces militaires russes de la région de Kharkov, la machine politico-médiatique atlantiste s’est mise en route pour nous produire une nouvelle superproduction : «Après Boutcha, voici Izioum». Et la technologie et la finalité sont les mêmes — conduire à la défaite politico-juridique de la Russie, la réduire à un Etat paria. En revanche, la réalité des répressions contre les populations locales accusées de collaboration par les forces ukrainiennes, elle, est passée sous silence.

L’AIEA demande le transfert de la centrale de Zaporojié à Kiev : la Russie, va-t-elle rompre le cordon ombilical globaliste ?

L’enchaînement des événements autour de l’action de l’AIEA ne laissait aucun doute, quant à sa partialité et à son implication dans le conflit en Ukraine, comme arme globaliste. En exigeant le transfert pur et simple du contrôle de la centrale de Zaporojié à Kiev, sur demande de la Pologne et du Canada, le conseil des directeurs de l’Agence vient de signer son arrêt de mort international. N’étant objectivement plus indépendante, l’AIEA perd toute raison d’exister. Ce qui pose en perspective la possibilité même de l’existence aujourd’hui du système de gouvernance globale, issu de la Seconde Guerre mondiale, construit autour des organes internationaux, cooptés et devenus globaux.

Bombardement du barrage de Karachune : un changement de stratégie de l’armée russe ?

Hier, l’armée russe a ciblé le barrage hydro-électrique de Karachune, près de Krivoy Rog, et l’a très sérieusement endommagé. Ce tir ciblé semble montrer un changement dans la stratégie militaire russe, qui a désormais intégré dans ses cibles, les sites stratégiques, ayant un intérêt militaire. Pour l’instant, les centres de commandement sont encore «psychologiquement» intouchables.

Le Traité de Kiev sur la sécurité ou la constitution sous l’égide de l’OTAN et de l’UE d’une alliance militaire contre la Russie

Le site de la présidence ukrainienne a publié hier le texte du Traité de Kiev sur la sécurité, dont les travaux ont été conduits très discrètement par Anders Rasmussen, ancien Secrétaire général de l’OTAN avec la contribution d’anciens Premiers ministres, de anciens ministres, de hautes responsables et d’universitaires occidentaux, prévoyant la mise en place d’un mécanisme obligatoire d’implication militaire des pays de l’OTAN et amis dans le conflit ukrainien. Le but affiché est non seulement de permettre de transformer toute l’Ukraine en plateforme de combat contre la Russie, mais surtout d’arriver à l’anéantissement de la Russie elle-même, dernier obstacle véritable à l’avènement de ce pouvoir. Les pays européens, vont-ils in fine se laisser entraîner dans cette guerre globale par leur faiblesse et le fanatisme de leurs élites dirigeantes ?

A Kharkov, l’OTAN entre en guerre : soit la Russie change de stratégie, soit elle disparaît comme pays souverain

Cela fait longtemps que les guerres ne se déclarent plus dans les règles de l’art, elles se font. C’est ainsi que l’OTAN a directement et personnellement conduit l’offensive de Kharkov, ce qui marque la fin objective de la prudente «Opération militaire spéciale» pour la Russie. A moins que les dirigeants actuels pensent que la bataille de Stalingrad ait pu être une opération très spéciale. Le recul aussi rapide que significatif de l’armée russe dans la région de Kharkov, qui signe ainsi sa première grande défaite militaire depuis très longtemps, doit être analysé. Dans une guerre, les batailles se perdent, mais il est fondamental d’en tirer les leçons — pour ne pas perdre la guerre. Quelques éléments politiques d’analyse.

Crimée : comment la Turquie appelle à la capitulation de la Russie

La Turquie vient de déclarer, qu’en cas d’accord entre l’Ukraine et la Russie, la Crimée devait revenir en Ukraine. Bref, en proposant constamment des accords de paix entre l’Ukraine et la Russie, la Turquie travaille pour la capitulation de la Russie et défend les intérêts atlantistes. Comme membre de l’OTAN, que pouvait-on sérieusement attendre d’autre de sa part ?

Fanatisme atlantiste de l’UE : Borrell veut conduire les pays d’Europe à de facto déclarer la guerre à la Russie

Les déclarations de Joseph Borrell, théoriquement en charge de la diplomatie européenne, ressemblent de plus en plus à celles d’un chef de guerre, en tout cas de celui qui veut envoyer les autres à la guerre. Selon la dernière en date, il exige que les pays européens, non pas l’Union européenne qui n’est qu’une coquille vide sans les Etats, mais bien les Etats européens prennent en charge l’organisation et la formation de l’armée ukrainienne. Autrement dit, il veut que les Etats européens deviennent formellement partie au conflit.

Des monstres ou des traîtres ? L’armée ukrainienne tire à l’artillerie sur ses prisonniers à Elenovka

Cette nuit, l’armée ukrainienne a utilisé le système américain HIMARS pour tirer très précisément sur les locaux de détention des militaires ukrainiens, prisonniers à Elenovka. Résultat — 40 morts et 75 blessés parmi les Ukrainiens. Ces hommes, sont-ils des monstres ou des traîtres, pour tirer ainsi sur leurs compatriotes ?

Le Fake de Vinnitsa ou pourquoi travestir médiatiquement des militaires ukrainiens en civils ?

Le 14 juillet au matin, l’armée russe a tiré sur Vinnitsa, une ville d’Ukraine centrale, située à 200 km au sud-ouest de Kiev. Alors qu’elle a détruit la Maison des Officiers, un centre d’hébergement temporaire et de formation d’officiers ukrainiens, les médias occidentaux, reprenant uniquement la version ukrainienne, déshabillent ces militaires pour en faire des civils. Autrement dit, comment les pouvoirs publics ukrainiens annonceront aux familles de cette vingtaine d’officiers ukrainiens décédés leur mort ? Quel respect pour ses propres hommes … En revanche, les tirs de l’artillerie américano-ukrainienne quotidiens sur des cibles civiles dans les territoires repris et dans le Donbass, notamment hier sur la station de transport dans le centre de Donetsk, qui ont fait deux morts et 6 blessés, personne n’en parle. Eux ce sont des civils, mais ils ne sont pas du «bon» côté.

Conflit en Ukraine : Pourquoi les Etats-Unis ont tant besoin de déstabiliser le Continent européen ?

D’inquiétantes rumeurs se propagent dans les médias anglo-saxons : les Etats-Unis fourniraient des munitions HIMARS d’une portée de 300 km, ce qui ouvrirait la porte au déplacement du conflit profondément sur le sol russe, donc d’un conflit ouvert avec la Russie. Les pays européens, déjà largement économiquement déstabilisés par les sanctions anti-russes qu’ils adoptent à la pelle et l’afflux d’Ukrainiens, de moins en moins bien perçus en dehors de la couche bisounours de la société, devraient surtout se demander pourquoi les Etats-Unis ont tant besoin de mettre à genoux le Continent européen. Puisque ce conflit en Ukraine est largement utilisé par les Américains comme un élément de gouvernance.

Le néonazisme assumé de l’ambassadeur d’Ukraine en Allemagne Andrey Melnyk

Puisque l’on vous dit qu’il n’y a pas de néonazis aux commandes en Ukraine, que c’est de la «propagande russe» ! Si vous avez un doute, jetez un oeil sur les dernières déclarations de l’amabassadeur ukrainien en Allemagne, Andrey Melnyk, dans l’émission Jung & Naiv : quand il ne peut plus nier les crimes de masse commis par les collaborateurs nazis de Bandera pendant la Seconde Guerre mondiale, il déclare ne pas s’en dissocier. En effet, quel est le rapport avec le néonazisme ? … Direct ? Ah? Vous croyez ? Mais non, c’est l’Ukraine …

A Madrid, l’OTAN acte l’occupation de l’Europe

A Madrid, l’OTAN a acté l’occupation dans le temps du territoire européen, grâce au conflit en Ukraine, que le monde atlantiste a lui-même préparé, lancé, armé, financé et entretient avec amour depuis. L’on comprend mieux pourquoi Macron déclare que la Russie ne doit pas gagner — sinon, c’est la fin de ce monde.

L’armée ukrainienne et «l’internationale atlantiste»

Alors que les médias occidentaux nous vendent le conflit militaire en Ukraine, comme une grande guerre nationale de libération contre le méchant agresseur russe, l’on ne cesse d’apprendre, de source anglo-saxonne, la participation de militaires de pays de l’OTAN dans les rangs de l’armée ukrainienne. A tel point, que l’armée ukrainienne ne semble être qu’une dénomination vide, à l’image de l’Etat ukrainien, servant à cacher les véritables mécanismes de gouvernance. Ici, en ce qui concerne les Britanniques. Autrement dit, c’est plutôt l’internationale atlantiste, qui se bat en Ukraine contre le Russie !

Après Azovstal, l’usine Azot à Severodonetsk : ces civils, otages de Kiev et de l’Occident

Le scénario d’Azovstal se répète. Des centaines de civils coincés dans les bas-fonds de l’usine Azot à Severodonetsk, interdits de sortir, tenus comme bouclier humain par les militaires ukrainiens et les nombreux mercenaires étrangers et toujours ces médias alignés qui refusent de parler des «otages» pour ne parler que de civils «réfugiés», attaqués par la méchante Russie. Le cynisme n’a manifestement pas de limites, surtout lorsque vous entendez les témoignages de ceux, qui ont pu se sauver — et ne veulent à aucun prix y retourner.