Помечено: crimes de guerre

La CPI récidive : encore deux mandats d’arrêts contre des Russes

La Cour pénale internationale vient pour la deuxième fois d’adopter des mandats d’arrêt contre des ressortissants russes, alors que la Russie n’a pas reconnu sa compétence et que ses ressortissants ne peuvent donc être soumis à sa juridiction. Après le Président russe et l’Ombudsman pour les enfants, cette fois-ci, il s’agit du commandant de l’aviation stratégique et du commandant de la flotte de la mer Noire. En effet, de quel droit la Russie, ose-t-elle mettre en échec la grande stratégie de l’offensive de l’armée atlantico-ukrainienne contre elle ? Cela vaut bien deux mandats d’arrêt ! Vive la globalisation …

Le Canada ignore toujours la demande d’extradition déposée par la Russie du SS ovationné au Parlement

Le 22 septembre 2023, un vétéran SS avait été ovationné par le Parlement canadien, réuni pour dignement célébrer la venue du héros des temps post-moderne Zelensky, à sa juste valeur. Un petit scandale en a suivi, sans conséquences réelles, qui fut rapidement étouffé et oublié. Dans la société de consommation de l’information, les gens sont sommés de s’indigner souvent, mais pas longtemps. De son côté, la Russie se bat depuis pour que ce criminel de guerre lui soit extradé. Inutile de rappeler, que le Canada protège particulièrement bien ses criminels nazis, surtout face à la Russie, cet ennemi, lui, existentiel pour leur monde.

Le silence judiciaire autour de la mise en scène de Boutcha : l’ONU dans l’impasse du mensonge

L’on nous annonçait le procès du siècle contre la Russie pour les soi-disant crimes, qu’elle aurait commis en masse à Boutcha, dans cette ville non loin de Kiev, dont l’armée russe s’est retirée après les fameuses négociations de «paix» de mars 2022. Où en sommes-nous ? Nulle part, évidemment, l’ONU n’a toujours pas été capable de fournir les listes de ces centaines de victimes, dont les Atlantistes ont désespérément tenté d’accuser la Russie après une mise en scène grossière.

Belgorod : des prisonniers militaires ukrainiens tués par les leurs dans le crash d’un avion militaire russe

Hier matin, un avion militaire russe transportant des prisonniers ukrainiens vers Belgorod en vue d’un échange s’est écrasé. Deux missiles ont été tirés depuis la région de Kharkov. Les Ukrainiens et leurs curateurs étaient au courant de l’échange de prisonniers, étaient au courant qu’ils seraient conduit par voie aérienne. Erreur ou menace — et envers qui ? Pourquoi cet avion a-t-il été abattu ? L’évolution de la situation le laissera entendre. En attendant, l’on sait qu’ils furent tués par un tir «ami».

Billet d’humeur : si, les victimes de Donetsk sont de la responsabilité des dirigeants des pays de l’OTAN

Dimanche 21 janvier, le marché de Donetsk, une zone hautement stratégique sur le plan militaire comme vous le comprenez, a été la cible d’une attaque de plusieurs obus tirés par l’armée atlantico-ukrainienne. Etant incapables de mener une offensive contre l’armée russe, les forces de l’OTAN mènent une guerre de terreur contre les populations civiles. Ces hommes et ces femmes, qui ont osé refuser la Pax Americana, doivent être punis ! Au dernier bilan, 28 morts et 30 blessés, que des civils. Mais comme l’affirmait le ministre français des Armées, c’est un détail, de toute manière la Russie est responsable. Car dans le monde atlantiste, l’histoire a débuté en février 2022, alors que l’Ukraine était en paix depuis au moins 2014 … Remettons les choses à leur place, pour que justement les coupables ne se fassent pas passer pour des victimes.

Bombardement otanien de Belgorod : quand la France devient un Etat, soutien du terrorisme

En quelques mois, la politique menée par ce Gouvernement français a réussi à faire ce que même Napoléon, en menant la guerre en Russie, n’a pas pu : provoquer un dégoût et un rejet de la France et des Français. Après l’attaque sanglante de Belgorod le 30 décembre, faisant plus d’une centaine de blessés et 24 morts, le ministère français des Affaires étrangères ose légitimer, ce qui constitue une violation ouverte du droit international humanitaire, et parle de «légitime défense». La France, s’est-elle rabaissée au point de devenir un vulgaire Etat soutenant le terrorisme ? C’est une honte pour notre pays, une insulte à notre histoire ! Ce Gouvernement trahie ouvertement l’intérêt national.

L’Axe atlantiste déclare ouvertement la guerre à la Russie à Belgorod

Hier, à Belgorod, ce fut la guerre, une déclaration de guerre de l’Axe atlantiste à la Russie. L’armée atlantico-ukrainienne a lancé des missiles sur le centre de la ville, a visé l’Arbre de Noël, où les enfants étaient regroupés, a visé les habitations et centres commerciaux. L’on atteint ce matin 22 morts, dont 3 enfants, et 110 blessés, dont 17 enfants. Que des civils. Que des infrastructures civiles. La Russie a réuni le Conseil de sécurité de l’ONU, qui lui a ouvertement craché au visage. Car eux sont en guerre et ils le revendiquent. Non pas «jusqu’au dernier Ukrainien», comme il est de bon ton de l’affirmer, mais jusqu’au dernier Russe, jusqu’à l’anéantissement de la Russie. 

Les habitants de Donetsk sous le feu des Himars : quand les pays de l’Axe répondront-ils de leurs crimes?

Hier, Donetsk a été la cible de trois attaques aux Himars, menées par l’armée atlantico-ukrainienne sur des cibles civiles. Le nombre des blessés et des décédés s’élève ce matin à environ 30 personnes. La Russie a demandé une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU à ce sujet. N’oublions pas que tirer sur des cibles civiles est constitutif d’un crime de guerre, pour l’armée qui le commet, et soulève la question de la responsabilité des fabricants des armes utilisées.

Conflit en Ukraine : le bataillon punitif néonazi Azov recrute ouvertement en France

Le néonazisme a table ouverte en France, dans cette France post-démocratique, atlantiste et post-française. Nous voyons que notre Gouvernement soutient déjà activement au sein de la coalition de l’Axe la guerre atlantiste en Ukraine. Nous découvrons avec horreur qu’il est désormais possible de commettre un génocide, quand c’est Israël qui le commet. Ce monde, est-il en train de devenir fou ? Non, il est simplement amoral. Donc tout est possible. Même pour Azov de recruter ouvertement en France. Cette France, qui n’est plus elle-même.

Le véritable «Plan de paix» d’Israël : la disparition physique de Gaza

Partant du principe, selon lequel il faut régler le problème à la source, l’armée israélienne est en train de méthodiquement rayer Gaza de la surface de la terre, hommes et bâtiments ensemble. S’il n’y a plus d’hommes, il n’y a plus de problèmes, c’est bien connu. Pendant ce temps-là, à part quelques déclarations timides — et sans aucune conséquence, les dirigeants occidentaux condamnent à peine du bout des lèvres ce qu’ils ont peur d’appeler, ce qui constitue déjà juridiquement un génocide. Ils préfèrent préparer l’après, en se répartissant les morceaux de choix. Et le «plan de paix» qui se dessine est celui de la disparition de l’autorité palestinienne sur Gaza. Sans conditions. Avec en perspective la fin de l’Autorité palestinienne, en tant que telle.

Israël et la normalisation de la rhétorique nazie : n’aurait-on pas enfanté d’un monstre ?

L’accélération du conflit entre Israël et Gaza s’accompagne d’un retournement du paradigme nazi : bien que les hauts responsables israéliens traitent les autres peuples d’animaux ou de sous-hommes, qu’il s’agisse des Palestiniens ou des Bouriates (en Russie), bien qu’ils considèrent normal de les écraser physiquement, ils continuent à utiliser la victimisation nazie, payée très cher par les aïeux de leurs familles (mais non par eux-mêmes) pour justifier leurs crimes. Et quand on leur rappelle, à l’ONU, qu’ils ne sont pas au-dessus du droit international, l’enfant-roi se révolte : comment ça, il n’y aurait plus d’impunité totale, nous n’aurions plus le monopole de l’humanité ? Il semblerait que la communauté internationale, en faisant d’Israël une victime éternelle et intouchable sous peine d’antisémitisme, ait enfanté d’un monstre. Qui est entré en guerre et se croit au-dessus de tout … et de tous.

Conflit en Ukraine : Biden sur le point de fournir officiellement des armes à sous-munitions, interdites par le droit international

Alors qu’en 2008, la Communauté internationale met en place une Convention contre l’utilisation des armes à sous-munitions, en raison de l’ampleur des dégâts humains que leur utilisation provoque, Biden semble pencher pour leur fourniture — officielle — par les Etats-Unis à l’armée atlantico-ukrainienne dans leur combat contre la Russie. C’est en tout cas ce qui est annoncé par le NYT ce matin. Même si théoriquement ces armes sont interdites par les pays européens, n’ayons aucun doute, qu’ici aussi, ils se coucheront.

Crimes ordinaires : L’armée atlantico-ukrainienne endommage le barrage de la centrale hydroélectrique de Kakhovka … et accuse la Russie

Cette nuit, le barrage de la centrale hydroélectrique de Kakhovka a été attaqué. Bien qu’il n’y ait pas de risque nucléaire, une inondation importante est en cours dans la région. Sans même sourciller, BFM reprend l’accusation absurde de l’Ukraine, consistant à dire que la Russie continue à se bombarder elle-même. What else ? Il n’y a vraiment plus d’éthique professionnelle, la France est bien en guerre. En attendant, la fameuse offensive atlantico-ukrainienne se déroule à merveille, entre des cibles civiles à Belgorod ou Donetsk et des infrastructures civiles à Kakhovka.

Billet du jour : ce silence étourdissant autour des procès de Donetsk contre les criminels d’Azov

Alors que des procès se déroulent contre des membres du groupe néonazi Azov, pour les crimes commis contre les civils, notamment à Mariupol, les médias se taisent. Que les médias occidentaux, se taisent, c’est logique — «il n’y a pas de nazis en Ukraine». Que les médias ukrainiens se taisent, c’est logique — de grands héros atlantico-ukrainiens ne peuvent se battre contre les civils, qui non seulement ne les soutiennent pas, mais veulent se sauver vers les Russes. Mais que les médias russes se taisent tout autant ou que formellement ils lancent trois mots entre l’ouverture d’un centre désindustrialisé de «brend» par Poutine et un compte-rendu comptable du terrain, cela est beaucoup plus surprenant — et inquiétant. Question, qui d’ailleurs commence à être posée par certains correspondants de guerre. En-dehors des talk-show débilitants et des séries B de mauvaise qualité, on pourrait peut-être parler de ce qui intéresse vraiment les gens ?

Conflit ukrainien : des procureurs américains débarquent à Kharkov pour construire l’accusation contre la Russie

La nouvelle est passée assez discrètement : des procureurs américains débarquent à Kharkov pour «aider» leurs collègues ukrainiens. Il est vrai que jusqu’à présent, au-delà des grandes déclarations politico-médiatiques, la base des éléments de preuve est pour le moins … assez faible. Si ce n’est envoyer des enfants en vacances, loin de la ligne de front. Ce qui vaut bien un procès international … quand on n’a rien d’autre. Le pouvoir d’occupation atlantiste prend les choses en main, puisque les collaborateurs locaux ne peuvent finaliser.