Помечено: crimes de guerre

L’Axe atlantiste face à l’impasse de la création d’un tribunal international légal et légitime contre la Russie

Depuis quelques jours, les déclarations quant à l’urgence d’un tribunal international contre Poutine et la Russie s’intensifient en Occident, au fur et à mesure que l’armée ukrainienne recule. Au-delà de la dimension communicationnelle et politique, l’Axe atlantiste se heurte à deux problèmes, difficilement surmontables, pour mettre en place une instance un tant soit peu légitime : politiquement, ils n’ont pas gagné la guerre pour utiliser la variante «Nuremberg» et, juridiquement, ils sont limités par le veto de la Russie au Conseil de sécurité de l’ONU pour une variante post-Nuremberg. Faute de grives, on mange des merles et la solution irakienne, d’un jugement national téléguidé de l’étranger, commence à s’imposer pour l’Ukraine. C’est le low cost de la justice internationale politisée au niveau national, d’un false state, comme l’est l’Ukraine.

Billet du matin : ne serait-il pas temps de se secouer un peu ?

Toutes les guerres sont sales, certainement. Lorsque les enjeux sont existentiels, il semble que les forces politiques soient prêtes à n’importe quoi pour emporter une victoire, qui fera oublier les moyens. Et l’armée atlantico-ukrainienne, joue l’existence du monde global, elle ne peut pas se permettre une défaite. Alors à la guerre comme à la guerre, le recours aux armes chimiques et tirer en profondeur sur des cibles civiles sont une stratégique, qui ne dérange absolument pas les dirigeants atlantistes, d’autant plus que les médias dociles n’en disent pas un mot et laissent les populations dormir en paix. La Russie doit passer à un rythme supérieur, si elle ne veut pas se faire enliser, dans un conflit de longue durée, qui utilise la normalité comme un chloroforme quotidien.

Derrière le rideau : le piétinement du droit international humanitaire par l’armée ukrainienne

Lors d’une mission d’observation dans les territoires libérés de l’équipe composée d’Arnaud Develay, avocat international ayant travaillé en Irak, de Fiorella Isabel de RT International et d’Enrique Refoyo, journaliste espagnol, accompagnant les autorités locales, il a été mis à jour que l’ingénierie de tortures développée par la CIA en Irak est appliquée sur le territoire ukrainien, contre les soldats russes, faits prisonniers à Kharkov. Arnaud Develay revient pour Russie politics sur ce scandale passé sous silence par les médias atlantistes.

Les hôpitaux pris pour cible par l’armée atlantico-ukrainienne : silence politico-médiatique dans l’Axe atlantiste

Quand l’armée atlantico-ukrainienne tire avec des HIMARS américains sur les hôpitaux dans les régions de Lougansk et de Kherson, faisant 14 morts et 24 blessés, les politiciens occidentaux se taisent, les institutions internationales regardent ailleurs et les médias font preuve d’une grande discrétion. L’on ne va pas se critiquer soi-même ! C’est pourtant bien un crime de guerre, qui entraîne la responsabilité et de ceux qui tirent, et de ceux qui donnent l’ordre de tirer, et de ceux qui fournissent les moyens. Le Comité d’enquête de la Fédération de Russie a ouvert une enquête pénale.

Démission du conseiller Arestovich : quand le régime ukrainien dévore ses enfants

Alexeï Arestovich, né dans la République soviétique de Géorgie, ancien militaire, devenu influenceur et conseiller du Chef du Bureau de la présidence ukrainienne, a été conduit à la démission pour avoir osé affirmer devant les caméras que les 44 morts et 77 blessés lors de l’écroulement de l’immeuble à Dniepropetrovsk ne seraient pas dus au missile tiré par la Russie, mais bien au système ukrainien de défense aérienne, qui a détourné ce missile. Tous les régimes fanatiques dévorent leurs enfants, Arestovich vient de tomber.

Crimes de guerre à Mariupol : ces 3000 civils victimes de l’armée atlantico-ukrainienne, qui méritent justice!

Les médias alignés ne vous parleront jamais de ces crimes de guerre. Car ils ont été commis par leurs hommes. Oui, leurs «hommes». Ce ne sont ni des animaux sauvages, ni des robots qui ont tué plus de 3 000 civils à Mariupol, ce sont des hommes de chair et de sang, mais des hommes qui ont perdu leur âme. Et ce sont eux, que les pays de l’Axe atlantiste continuent à financer et armer contre la Russie. La Russie, elle, ouvre une affaire pénale pour élucider ces atrocités et les autres commises par l’armée atlantico-ukrainienne. Mais pour que cela aboutisse, il va bien falloir avoir le courage de l’action juridique, les effets d’annonce devenant de plus en plus limités en raison de leur démultiplication.

L’armée atlantico-ukrainienne a détruit un hôpital de Donetsk : aucune réaction

Prendre pour cible un ouvrage civil particulièrement protégé comme un hôpital est constitutif d’un crime de guerre. Cela fait deux jours que l’armée atlantico-ukrainienne tire sur l’hôpital Kalinine de Donetsk. Cela fait deux jours que les proches des victimes et les patients évacués en urgence attendent, de toute manière sans y croire, une condamnation de cette «communauté internationale», qui s’est déjà totalement discréditée. Félicitations, la cible est détruite. Et cet hôpital, n’était pas militarisé.

Billet équitable : L’UE prépare un Tribunal international contre la Russie, qui reste dans le tout-communicationnel

Alors que la Russie a totalement déserté le champ juridique du conflit en Ukraine pour être obnubilée par la communication, l’UE et l’ONU se préparent à instaurer un tribunal contre la Russie sur le fondement très faible et contesté par la communauté internationale du «crime d’agression». L’ex-Yougoslavie a déjà démontré à quel point la «justice internationale» peut accompagner un conflit en cours et forcer le discours de la communauté internationale. Etrangement, les milieux politico-médiatiques russes ne diffusent qu’une partie des déclarations de notre Chère Ursula — les 100 000 militaires morts Ukrainiens. Les déclarations concernant la mise en place d’un Tribunal devant juger la Russie pour «ces crimes» est totalement absente du discours politico-médiatique russe. 

Billet allemand : Kalinka est une agression culturelle inacceptable contre l’Ukraine néonazie

L’on ne plaisante pas avec les symboles dans l’Europe atlantiste : pour avoir dansé Kalinka devant de «pôv’ Zukrainiens» en Allemagne, la jeune russe Yulia Prokhorova a finalement été expulsée du pays, après avoir fait l’objet d’une enquête pour soutenir la Russie. La liberté d’expression dans le «monde libre» c’est très bien, quand ça va dans le «bon» sens, c’est-à-dire quand on saccage des églises par exemple, mais l’on ne touche pas au culte globaliste ! Et l’Ukrainien pro-atlantiste est sacré, il est la figure devant justifier tous les sacrifices, la victime idéalisée. En revanche, la bonne conscience occidentale garde le silence sur l’exécution sommaire de prisonniers de guerre russes par des militaires ukrainiens. Cette vidéo-là ne choque pas. C’est vrai, rien à voir avec Kalinka quand même !

De Kadhafi à Poutine, l’ONU reprend l’arme médiatico-juridique du viagra

Il y a quelques jours de cela, la Représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU chargée des questions des violences sexuelles en conflit était de passage à Paris et a donné des interviews. Evidemment sur le conflit ukrainien et évidemment contre la Russie. Celle-ci utiliserait le viol comme technique de guerre et doperait ses soldats au viagra, pour en faire manifestement, dans la fantasmagorie malsaine néoféministe, des verges armées en mouvement. Plus sérieusement, cette technique avait été utilisée contre la Libye de Kadhafi et il semblerait que l’ONU, organe de gouvernance politique du monde global, précise encore une ligne d’attaque, bien rôdée, dans sa guerre contre la Russie, tout en participant à la constitution de la figure de l’ennemi.

Le visage de la barbarie à Kharkov : exécutions sommaires de civils filmées par les Ukrainiens

Une vidéo postée par Jorine, un ancien commandant de bataillon Azov, a provoqué une fureur sur les réseaux sociaux — et un silence médiatique en Occident. Rien de surprenant à cela, il filme l’exécution sommaire de civils à Koupiansk et leur fosse commune au milieu de la forêt. Le départ de l’armée russe s’accompagne, malheureusement, de ces exactions pour les populations civiles. Au-delà de l’horreur absolue de la chose, ces crimes montrent bien la relation entre le pouvoir atlantiste de Kiev et les populations vivant sur les territoires contrôlés : toute contestation sera réduite à néant dans le sang. Et c’est cela que les pays Occidentaux soutiennent. C’est le visage de cette barbarie que nos dirigeants de pacotille révèrent.

La ligne rouge est dépassée à Donetsk

Il y eu 16 morts, que des civils, des passants ordinaires, dans le centre de Donetsk, suite aux frappes de l’armée atlantico-ukrainienne hier. Suite à la puissance des explosions, les corps ont été dispersés en morceaux. Comment accepter cela ?

Des monstres ou des traîtres ? L’armée ukrainienne tire à l’artillerie sur ses prisonniers à Elenovka

Cette nuit, l’armée ukrainienne a utilisé le système américain HIMARS pour tirer très précisément sur les locaux de détention des militaires ukrainiens, prisonniers à Elenovka. Résultat — 40 morts et 75 blessés parmi les Ukrainiens. Ces hommes, sont-ils des monstres ou des traîtres, pour tirer ainsi sur leurs compatriotes ?

Après Azovstal, l’usine Azot à Severodonetsk : ces civils, otages de Kiev et de l’Occident

Le scénario d’Azovstal se répète. Des centaines de civils coincés dans les bas-fonds de l’usine Azot à Severodonetsk, interdits de sortir, tenus comme bouclier humain par les militaires ukrainiens et les nombreux mercenaires étrangers et toujours ces médias alignés qui refusent de parler des «otages» pour ne parler que de civils «réfugiés», attaqués par la méchante Russie. Le cynisme n’a manifestement pas de limites, surtout lorsque vous entendez les témoignages de ceux, qui ont pu se sauver — et ne veulent à aucun prix y retourner.