Рубрика: Géopolitique

Norvège : Renforcement des lois de ségrégation anti-russes en Europe

Alors que l’UE suit la ligne globaliste No Border, puisque les individus, sans racines et sans Patrie, doivent choisir où vivre en fonction de leur caprice et que l’Etat a lui pour obligation de les accueillir dignement, il semblerait que tous les étrangers ne se valent pas, en tout cas n’aient pas les mêmes droits. Ainsi, la Norvège entre dans le train des pays européens adoptant une législation de ségrégation contre les Russes. Etrangement, nous n’en trouvons, pour l’instant, aucun mot dans les médias français. Dérangeant ces principes des heures noires de notre histoire?

Géorgie : les enjeux de pouvoir de l’hystérie globaliste contre la loi adoptée sur les agents étrangers

Malgré les pressions internationales et l’activation des mécanismes d’ingénierie sociale, le 14 mai Parlement géorgien a adopté la loi sur les agents étrangers. Immédiatement, la présidente géorgienne annonce son veto, les Etats-Unis parlent de sanctions personnelles contre ces salauds de souverainistes et d’une possible «aide militaire» contre la Russie. Personne ne cache les motifs réels de cette condamnation globaliste : dans le cadre du conflit de mode de gouvernance, qui se déroule aujourd’hui, il faut contrôler le pays de l’intérieur, surtout avant les prochaines élections d’octobre. Et sans le contrôle non affiché des ONG et des médias, cela sera beaucoup plus difficile.

A contre-courant : ce juge polonais, qui demande l’asile politique en Biélorussie

Hier, une information dérangeante pour le monde occidental atlantisé est tombée : un magistrat polonais, arrivé en Biélorussie, y a demandé l’asile politique. Car il serait poursuivi dans son pays en raison de ses idées. Ainsi, la Pologne, clé de voute de la russophobie en Europe, semble avoir déjà intégré tous les dogmes de la post-démocratie et cela passe principalement par la répression du pluralisme. Il y a vraiment quelque chose de pourri dans ce «monde libre» … 

Elections européennes : où sont les forces politiques européennes disparues ?

Les élections européennes retracent bien le clivage des véritables forces politiques existantes aujourd’hui, à savoir américaine et russe. Les uns accusent la Russie d’ingérence, les autres les Américains de financer les campagnes. Tout cela montre bien l’imposture institutionnelle de l’Union européenne et la défaite politique de l’Europe. Il s’agit bien d’une impasse conceptuelle, car il ne peut pas y avoir de forces politiques européennes au sein de l’UE, puisque l’UE n’est pas un sujet politique, mais un instrument de gouvernance. Il ne peut y avoir que des forces politiques nationales, quand le pays est souverain — ou des forces d’occupation.

«Délimitation» de la frontière : Pachinian continue de transférer l’Arménie à l’Azerbaïdjan

La «délimitation» de la frontière entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan passe par le transfert de certains villages, avec leurs populations, à l’Azerbaïdjan, sans compter la question de la route vers la Géorgie ou du transit de gaz pour l’Arménie. Si Pachinian trahit sans ciller, les habitants, eux, se révoltent. Les élites globalistes coûtent toujours cher aux pays, qui les accueillent … 

Spoliation des actifs russes : ces députés européens atlantistes, qui travaillent contre l’Europe

Alors que la Commission européenne continue à peiner à finaliser la spoliation du produit des actifs russes gelés par décision uniquement politique, un groupe de parlementaires européens, principalement issus de ces activistes atlantistes implantés dans les pays de l’Est contre la Russie, relève la tête, contre l’Europe cette fois-ci. Ils exigent la confiscation, contre le droit mais au nom de la suprématie de la raison politique globaliste, des actifs russes eux-mêmes pour payer la guerre américaine en Ukraine contre la Russie, comme le demandent les Etats-Unis, leur seul et unique maître. Après avoir travaillé contre leurs pays, ils travaillent contre l’Europe. Ils n’ont été formés qu’à cela. 

La Pologne n’envisage plus si sérieusement le déploiement de missiles nucléaires américains sur son sol

En 24 heures, le Président polonais Duda est passé de la vindicte atlantiste à la réflexion recueillie. Que s’est-il passé ? La Russie lui a simplement rappelé, que s’il décide de déployer des missiles américains nucléaires sur son territoire, l’armée russe «en tiendra compte». Ce qui, en soi, n’a rien d’étonnant. Mais certains semblent avoir besoin d’être ramenés parfois dans la réalité  … 

La Finlande se désintègre de plus en plus dans l’OTAN

La Finlande n’intéresse pas l’OTAN en tant que pays souverain, fort, comme acteur. La Finlande intéresse l’OTAN comme territoire et ressource, surtout pour bloquer la frontière orientale du monde global, celle avec la Russie. Dans cette logique, la Finlande en s’intégrant à l’OTAN, s’y désintègre petit à petit. Mais sûrement. Et l’élection du nouveau Président finlandais ne renversera pas la tendance.

La Russie accuse les Etats-Unis de financer le terrorisme

L’attaque du Crocus City Hall fut la goutte le trop. Alors que la Russie gardait toujours ses distances face aux pays de l’OTAN, malgré des actions soulevant de plus en plus de questions, cette fois-ci le Comité d’enquête russe doit faire la lumière sur le financement de l’activité terroriste par les Etats-Unis et leurs satellites à l’égard de la Russie. Un lien a déjà été établi avec la société ukrainienne Burisma, où fiston Biden est entré après le Maïdan, quand papa Biden était vice-Président des Etats-Unis. 

Guerre contre la Russie : les premiers soldats allemands sont arrivés en Lituanie

Les pays de l’OTAN continuent, dans le cadre de leur guerre contre la Russie en Ukraine, à développer la présence militaire aux frontières russes. Et le discours artificiel d’une soi-disant possible agression de la Russie d’un pays européen est censé justifier cette politique agressive d’extansion, qui dure en réalité depuis la chute de l’URSS. Désormais, l’Allemagne a pu briser un tabou et elle est autorisée à instaurer une base militaire permanente de quelques milliers d’hommes en Europe. Les premiers viennent d’arriver en Lituanie. C’est ce que l’on appelle la «nouvelle époque», qui ressemble à s’y méprendre à l’ancienne, à un détail prêt : les pays européens ne sont plus des acteurs, mais des pions.

La Cour suprême américaine interdit aux Etats de bloquer la participation de Trump aux élections

L’enjeu de ces élections américaines est très particulier : le corps du monde global va-t-il rester entièrement contrôlé par les puissances globalistes ou bien avec le retour de Trump à la présidence américaine un combat intérieur, va-t-il s’engager ? La Cour suprême américaine a finalement donné la possibilité à Trump de participer aux élections, juste avant les primaires du Super Mardi dans de nombreux Etats américains. Le monde est assis sur un volcan en réveil.

L’idée d’une remise en cause du Traité d’unification de l’Allemagne a été discrètement soulevée en Russie

Un député de Crimée, déjà soutenu par un sénateur, soulève l’idée, dans le contexte actuel, d’une dénonciation du traité portant règlement définitif concernant l’Allemagne, appelé le Traité Deux plus Quatre, signé par la RFA et la RDA, avec les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et l’Irlande du Nord, la France et l’URSS en 1990. La violation objective des dispositions du traité par les pays occidentaux est ici considérée comme devant soulever la question de sa remise en cause par la Russie. 

Billet du jour : Navalny, n’est pas l’Archiduc

La mort d’Alexeï Navalny, devenu opposant professionnel après avoir été escroc, est intervenue justement le premier jour de la Conférence de Munich, alors qu’il était incarcéré dans une colonie pénitentiaire de la région de Yamalo-Nénétsie, dans le nord de l’Oural. Son poids politique ne cessait de baisser en Russie, bien avant son interpellation, l’Occident a ainsi obtenu — et au bon moment — sa victime sacrificielle. Pourtant, Navalny n’est pas l’Archiduc, sa mort ne produira aucune onde de choc en Russie et elle ne sortira pas les pays atlantistes de leur impasse face à la Russie. C’est n’est, au-delà du décès d’un être humain, qu’un événement médiatique et non politique.

Le Canada ignore toujours la demande d’extradition déposée par la Russie du SS ovationné au Parlement

Le 22 septembre 2023, un vétéran SS avait été ovationné par le Parlement canadien, réuni pour dignement célébrer la venue du héros des temps post-moderne Zelensky, à sa juste valeur. Un petit scandale en a suivi, sans conséquences réelles, qui fut rapidement étouffé et oublié. Dans la société de consommation de l’information, les gens sont sommés de s’indigner souvent, mais pas longtemps. De son côté, la Russie se bat depuis pour que ce criminel de guerre lui soit extradé. Inutile de rappeler, que le Canada protège particulièrement bien ses criminels nazis, surtout face à la Russie, cet ennemi, lui, existentiel pour leur monde.

Guerre en Ukraine : l’UE se prépare à adopter des sanctions symboliques contre la Russie

Comme l’Histoire n’existe pas en Ukraine antérieurement au 24 février 2022 pour l’Occident, l’UE se prépare à adopter un nouveau train de sanctions à l’occasion des deux années «du début» du conflit, c’est-à-dire de la réponse militaire russe. Les possibilités étant déjà largement épuisées, ces sanctions devraient surtout toucher des questions politiques hautement symboliques : le déplacement des diplomates russes à l’intérieur de l’Europe et l’utilisation des fonds russes gelés pour leur guerre en Ukraine.