Рубрика: Géopolitique

Impératif globaliste européen : la Hongrie abandonne le combat devant l’Ukraine

La Hongrie a cédé, pour la deuxième fois en quelques semaines. Elle a soutenu l’aide militaire à l’Ukraine, comme elle n’a pas empêché la déclaration d’une future intégration de l’Ukraine dans l’Europe, en sortant docilement au moment du vote. Et elle, la Hongrie, ne pouvait pas faire autrement. Quelles que soient les déclarations de son Président, tant que la Hongrie est dans l’UE, elle ne peut être souveraine. Par définition. A un moment donné, il faut faire le choix de la soumission et de la colonisation ou celui de la liberté et de la souveraineté. La Hongrie a fait le sien et, sans surprise, vient de rejoindre la grande famille des pays autrefois européens.

Occupation de l’Europe : ces forces de l’OTAN sous commandement canadien en Lettonie

Saviez-vous que, sous commandement du Canada, une «force de dissuasion» est mise en place en Lettonie — formellement pour protéger avec un millier d’hommes ce pays d’une soi-disant invasion russe. D’ailleurs, la Suède, trépignant sur le paillasson de l’OTAN, va y envoyer des militaires. Tous les prétextes sont bons pour occuper militairement l’Europe et provoquer la Russie. C’est le sort des pays occupés, que de servir les intérêts de l’occupant …

L’OTAN et l’UE préparent ouvertement les pays européens à une guerre contre la Russie

Le vice-président du Conseil des ministres et ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajiani, vient d’appeler à la création d’une «armée européenne». Il n’est ni le premier, ni le dernier, mais désormais sur fond de guerre globaliste contre la Russie, ces appels prennent une tout autre dimension. Il rejoint en cela les responsables de l’OTAN, qui dès novembre 2022 appellent à faciliter la circulation des forces militaires — anglo-saxonnes — sur nos territoires, dans ce qu’ils appellent un «Schengen militaire». Ces élites sont en guerre contre la Russie, elles l’affirment par ailleurs, et veulent transformer les pays européens en champ de manoeuvre, avant de n’en faire des champs de bataille.

L’Axe atlantiste déclare ouvertement la guerre à la Russie à Belgorod

Hier, à Belgorod, ce fut la guerre, une déclaration de guerre de l’Axe atlantiste à la Russie. L’armée atlantico-ukrainienne a lancé des missiles sur le centre de la ville, a visé l’Arbre de Noël, où les enfants étaient regroupés, a visé les habitations et centres commerciaux. L’on atteint ce matin 22 morts, dont 3 enfants, et 110 blessés, dont 17 enfants. Que des civils. Que des infrastructures civiles. La Russie a réuni le Conseil de sécurité de l’ONU, qui lui a ouvertement craché au visage. Car eux sont en guerre et ils le revendiquent. Non pas «jusqu’au dernier Ukrainien», comme il est de bon ton de l’affirmer, mais jusqu’au dernier Russe, jusqu’à l’anéantissement de la Russie. 

Dogme sanitaire : contre-offensive globaliste en Russie à l’approche des présidentielles

Rospotrebnadzor, l’Agence fédérale russe de contrôle de la consommation, qui est en charge des questions sanitaires depuis le Covid, soulignant combien, pour ceux qui ont encore un doute, le culte globaliste sanitaire est à la fois un business et une ingénierie sociale, revient sur le front. Saison oblige — oui, la saison électorale s’ouvre, il serait dommage pour les globalistes de ne pas utiliser les virus saisonniers pour déstabiliser la situation. Ainsi, l’on voit réapparaître ici ou là, de manière chaotique, le port du masque, l’accélération du rythme vaccinal, la fermeture soudaine des établissements … La contre-offensive globaliste sur le front s’engage à quelques mois des présidentielles.

ONU : le monde à nouveau divisé autour du nazisme

Hier, s’est tenue la 50e séance plénière de l’Assemblée générale de l’ONU, au cours de laquelle, notamment, la résolution initiée par la Russie concernant la condamnation de toutes les formes de glorification du nazisme, du néonazisme a été adoptée, comme chaque année depuis 2005. Cette année, la séance plénière a montré une véritable division du monde sur cette question et de nombreuses autres, avec d’un côté les Etats-Unis, les pays de l’UE, les pays Baltes, le Canada et l’Ukraine … contre le reste du monde. N’est pas forcément isolé celui que l’on croit …

Coopération militaire : la Finlande abandonne l’intégralité de son territoire national aux Etats-Unis

L’entrée de la Finlande dans l’OTAN ne fut effectivement qu’un pas, formel en soi, mais lourd de conséquences, sachant qu’il ne peut y avoir d’entrée dans le bras armé de la globalisation sans soumission totale aux Etats-Unis. La Finlande et les Etats-Unis viennent de signer un accord de coopération militaire, selon lequel la Finlande abandonne l’intégralité de son territoire aux Etats-Unis sur le plan militaire. Ce qui ne va pas non plus rester sans réaction. L’escalade vers la confrontation avec la Russie continue. Les autorités locales, se souviennent-elles qu’elles ont perdu toutes les guerres menées contre la Russie ?

Russie / Etats-Unis : remilitarisation sur fond de «American Leadership»

Au-delà de l’espoir de certains de voir le conflit se résoudre de manière magique, par disparition soudaine de l’ennemi, la guerre qui se déroule en Ukraine est faite pour durer et elle reconfigure les sociétés de l’intérieur. D’une manière beaucoup plus prosaïque, elle conduit également à la relance de l’industrie militaire et à la remilitarisation, principalement en Russie et aux Etats-Unis, puisque ce sont les deux pays, qui prétendent pouvoir influencer de manière autonome la scène internationale.

Russie : la Cour suprême reconnaît le droit inaliénable de l’homme à ne pas être homosexuel

Comment peut-on être hétérosexuel ? En effet, quelle idée, quel anachronisme ! Tout le monde est homosexuel et si certains déviants ne le reconnaissent pas et persistent dans l’hétérosexualité, au moins qu’ils soient discrets. La Russie vient, par la voix de sa Cour suprême, de prendre une décision historique et courageuse dans ce totalitarisme «tolérant» ambiant : chacun a le droit à sa vie privée, mais la dimension idéologique du mouvement LGBT n’a pas sa place dans la vie publique en Russie.

La Russie exclue du conseil exécutif de l’OIAC : à quand les accusations d’attaque chimique en Ukraine ?

La Russie vient pour la première fois de perdre son siège au sein du Comité exécutif de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques, ce qui renforce un bloc européen Est, russophobe et atlantiste. Cette sortie est le résultat d’une politique agressive menée par les Etats-Unis au sein de cette organisation pour évincer la Russie. Désormais, nous pouvons attendre la démultiplication des accusations de recours à l’arme chimique en Ukraine par l’armée russe, comme ce fut le cas contre Assad dans la guerre en Syrie.

Billet du jour : les BRICS, l’Argentine et la lutte contre la (dé)globalisation

Les dernières déclarations du tout nouveau Président argentin, annonçant notamment la fin de monnaie nationale eu profit du dollar, soulèvent beaucoup de questions au sujet des BRICS en particulier et de la lutte contre la globalisation en général. Peut-on en principe vaincre un adversaire avec ses propres armes ? Ces fameux «pôles» du monde multipolaire peuvent-ils regrouper des pays, sans qu’une ligne interne au pôle ne soit établie et gardée grâce à une hiérarchie ? Les délires argentins obligent à sortir d’une vision bisounours du «monde multipolaire» et à revenir aux fondamentaux des relations internationales : soit tu gouvernes, soit tu es gouverné.

Khodorkovsky toujours au centre de la guerre des Etats-Unis contre la Russie

L’activité extérieure en vue de la manipulation de l’opinion publique est une composante classique des combats géopolitiques et des guerres traditionnelles. La Russie a souvent été accusée par l’Occident d’utiliser les réseaux sociaux pour influencer les sociétés en Europe et aux Etats-Unis. En attendant, l’inverse ne provoque aucun doute : d’importants fonds américains sont versés à des structures situées à Vilnius et à Tbilissi pour discréditer le pouvoir lors de l’Opération militaire en particulier et tester le potentiel de révolte en général. Une enquête concernant la Free Russian Foundation et les fondations autour de Khodorkovsky, a révélé un sursaut d’activité en Europe et en Russie depuis le début de l’Opération militaire.

L’Axe atlantiste diversifie sa stratégie en Ukraine : de l’implication de l’UE et de l’OTAN directement contre la Russie

Tous les médias occidentaux le reconnaissent, l’offensive atlantico-ukrainienne s’essouffle et pour atteindre les résultats envisagés, à savoir un refoulement significatif de la Russie, il faut injecter sur le front ukrainien des forces humaines et des armes, que ces pays soit n’ont pas, soit ne sont pas prêts à introduire ici. Face à cet enlisement, l’Axe atlantiste teste une autre option de combat, celle de mettre l’Ukraine, sans trop en préciser les frontières, sous protection de l’OTAN et de l’UE, en l’intégrant. Non pas comme «plan de paix», mais pour libérer des forces aux frontières de la Russie. Ce qui la conduirait à devoir formellement répondre contre ces organes. Pourtant, ce scénario non plus n’est pas sans faille. Analyse.

Conflit en Ukraine : les Etats-Unis veulent instaurer «une justice globale» politique contre la Russie

Les Etats-Unis annoncent l’octroi d’un million de dollars au Centre international d’enquête (à charge) du crime d’agression contre l’Ukraine, fondé formellement par Eurojust et la Commission européenne. La justice pénale internationale, qui était avant présentée comme la justice des vainqueurs, est devenue avec le temps un instrument politique accompagnant le conflit, en construisant le récit et devant en même temps le légitimer. Désormais, comme le déclare le Département d’Etat américain, les Etats-Unis oeuvrent à la mise en place d’une «justice globale», qui n’est donc plus internationale, entre les nations, mais au-dessus d’elles afin de défendre l’intérêt globaliste. Le conflit en Ukraine doit servir à passer le pas, celui du transfert des derniers haillons du pouvoir national.

Le véritable «Plan de paix» d’Israël : la disparition physique de Gaza

Partant du principe, selon lequel il faut régler le problème à la source, l’armée israélienne est en train de méthodiquement rayer Gaza de la surface de la terre, hommes et bâtiments ensemble. S’il n’y a plus d’hommes, il n’y a plus de problèmes, c’est bien connu. Pendant ce temps-là, à part quelques déclarations timides — et sans aucune conséquence, les dirigeants occidentaux condamnent à peine du bout des lèvres ce qu’ils ont peur d’appeler, ce qui constitue déjà juridiquement un génocide. Ils préfèrent préparer l’après, en se répartissant les morceaux de choix. Et le «plan de paix» qui se dessine est celui de la disparition de l’autorité palestinienne sur Gaza. Sans conditions. Avec en perspective la fin de l’Autorité palestinienne, en tant que telle.