Рубрика: Conflit en Ukraine

Le procès des «journalistes russophones» s’ouvre en Lettonie : la répression s’intensifie en Europe

Ce 11 avril, Riga enterre le journalisme en Europe. Il était une époque, où le métier de journaliste était respecté, certains étaient même craints. Ce temps est révolu, depuis que les journalistes, dans leur grande majorité, sont devenus des instruments, voire des larbins, du pouvoir. Peu importe d’ailleurs de quel pouvoir, ce n’est pas une question de conviction. En Lettonie, la chasse aux journalistes russophones franchit la ligne d’arrivée, avec l’ouverture aujourd’hui du procès contre rien moins que 14 journalistes, qui risquent 4 ans de prison pour avoir préparé des articles en russe pour le holding médiatique russe Russia Segodnia. Et aucune réaction, ni des organisations professionnelles, ni de leurs collègues en Occident, ni des grands défenseurs de la liberté et valeurs — quand elles sont globalistes. Une honte. Qui n’est ni la première, ni la dernière dans nos sociétés au totalitarisme rampant. Tout notre soutien à ces hommes, qui ont eu le courage de faire leur travail !

Conflit ukrainien : des procureurs américains débarquent à Kharkov pour construire l’accusation contre la Russie

La nouvelle est passée assez discrètement : des procureurs américains débarquent à Kharkov pour «aider» leurs collègues ukrainiens. Il est vrai que jusqu’à présent, au-delà des grandes déclarations politico-médiatiques, la base des éléments de preuve est pour le moins … assez faible. Si ce n’est envoyer des enfants en vacances, loin de la ligne de front. Ce qui vaut bien un procès international … quand on n’a rien d’autre. Le pouvoir d’occupation atlantiste prend les choses en main, puisque les collaborateurs locaux ne peuvent finaliser.

Conflit ukrainien : Pourquoi l’on ne pouvait attendre qu’un échec de Macron en Chine

La visite de Macron en Chine est un échec diplomatique. Mais l’on se doit bien de reconnaître, que tout a été fait, pour qu’il en soit ainsi. Sous tutelle de la guerrière Ursula von Leyen, il est difficile de parler de paix. En donnant des injonctions au Président chinois, il est impossible de le convaincre. La France globalisée, défendant un ordre du monde qui la fait disparaître, est parfaitement incarnée par Macron. Son travail de sape continue, inlassablement. Les manifestations ne changeront rien au cours pris par la politique française, car les décisions ne se prennent plus à Paris.

L’assassinat de Vladlen Tatarsky : le silence coupable de l’Axe atlantiste

Manifestement, les hommes ne sont pas plus égaux dans la mort, qu’ils ne le sont dans la vie. Hier, Vladlen Tatarsky (Maxime Fomine), correspondant de guerre, est décédé dans un attentat à Saint-Pétersbourg. Pas un message de condoléances, pas une condamnation dans la classe politico-médiatique occidentale. Son tort : être mort en raison de ses convictions. Et elles sont inacceptables pour l’Axe atlantiste aujourd’hui : né en Ukraine, il soutient la Russie et le Donbass depuis 2014. Il ne peut exister.

Vers une Troisième Guerre mondiale : Les Etats-Unis se prépareraient-ils vraiment à une guerre contre la Russie et la Chine ?

Différentes publications semblent indiquer que les Etats-Unis se préparent à intensifier le conflit en même temps contre deux puissances nucléaires, la Russie et la Chine. Parallèlement, l’on voit l’entrée de la Chine sur la scène géopolitique, prendre des positions très claires aux côtés de la Russie. Si tel est le cas, la bataille d’Ukraine n’est qu’une préparation des armées à une confrontation d’une envergure, que l’on aurait aimé ne pas revoir. Sommes-nous en train d’assister aux prémisses d’une Troisième Guerre mondiale ?

The Thor unit : ces bouchers du front ukrainien, travaillant avec l’aide de la CIA

Quelques publications sont sorties dans les médias anglo-saxons, les nôtres se taisent comme à leur habitude, sur une unité ukrainienne très spéciale, The Thor unit, dont le but est de mutiler les militaires russes. Un véritable travail de boucher, qu’ils font avec fierté et avec l’aide de la CIA.

Centrale nucléaire de Zaporojie : l’AIEA change de stratégie, pour mieux stigmatiser la Russie

Grossi, le directeur de l’AIEA, intervenant devant le très américain Conseil des relations internationales, vient de déclarer qu’il n’est plus question d’une zone démilitarisée autour de la centrale nucléaire de Zaporojjie … car cela conduirait l’Ukraine à reconnaître son appartenance à la Russie. Une nouvelle ligne — communicationnelle — est donc ouverte : empêcher la Russie de se bombarder elle-même. Logique. L’objectivité de l’AIEA est encore une fois démontrée, dans la digne lignée des organismes  globaux aujourd’hui. 

Nouvelle escalade dans le conflit ukrainien : la Grande-Bretagne se prépare à envoyer des obus à l’uranium appauvri

Le conflit en Ukraine entre l’Axe atlantiste et la Russie continue à monter en intensité. Au-delà du financement militaire toujours plus important apporté par les pays atlantistes, un changement de qualité des armes fournies est annoncé par la Grande-Bretagne, avec la fourniture d’obus à l’uranium appauvri. Même si la Russie ne veut pas d’une Troisième Guerre mondiale et tente de garder une mesure dans son action, cela l’obligera elle-aussi à passer à un cran supérieur. Les pays européens, sont-ils conscients d’être mis en première ligne par leurs élites alignées ?

La contre-offensive ukrainienne du printemps : vers une confrontation directe entre l’OTAN et la Russie ?

Différents avis circulent au sujet de la contre-offensive ukrainienne annoncée pour le printemps. D’un côté, le Washington Post assure que, selon des sources ukrainiennes, l’armée ukrainienne a subi trop de pertes humaines pour pouvoir assumer une contre-offensive générale, quand certains réseaux russes estiment que cela reste possible, que l’Ukraine s’y prépare, mais qu’une implication directe plus évidente des pays de l’OTAN doit l’accompagner. En fait, ces deux points de vue ne sont pas forcément contradictoires. Et la question qui en découle est simple : la contre-offensive du printemps, va-t-elle conduire à une entrée directe des pays de l’OTAN dans le conflit ukrainien contre la Russie ?

L’Axe atlantiste face à l’impasse de la création d’un tribunal international légal et légitime contre la Russie

Depuis quelques jours, les déclarations quant à l’urgence d’un tribunal international contre Poutine et la Russie s’intensifient en Occident, au fur et à mesure que l’armée ukrainienne recule. Au-delà de la dimension communicationnelle et politique, l’Axe atlantiste se heurte à deux problèmes, difficilement surmontables, pour mettre en place une instance un tant soit peu légitime : politiquement, ils n’ont pas gagné la guerre pour utiliser la variante «Nuremberg» et, juridiquement, ils sont limités par le veto de la Russie au Conseil de sécurité de l’ONU pour une variante post-Nuremberg. Faute de grives, on mange des merles et la solution irakienne, d’un jugement national téléguidé de l’étranger, commence à s’imposer pour l’Ukraine. C’est le low cost de la justice internationale politisée au niveau national, d’un false state, comme l’est l’Ukraine.

L’Ukraine, va-t-elle encore perdre des régions ?

Le problème du gouvernement à Kiev aujourd’hui est de devoir tenir les régions de l’Est par la force et la terreur. Des bruits commencent à courir selon lesquels, des régions pourraient ce printemps rejoindre la Russie — par la volonté de leurs habitants. Mais pour cela, il leur faudra bien la protection physique directe de la Russie.

Blinken / Lavrov au G20 : quand les diplomates doivent s’excuser de faire de la diplomatie

Tout en refusant haut et fort de rencontrer son homologue russe, Blinken s’est approché pour une discussion dans les couloirs. Quoi de plus normal, entre diplomates, que de discuter ? C’est bien l’intérêt de ces grandes messes globales, que de permettre des rencontres informelles. Mais ce temps est révolu. Désormais, le porte-parole du Département d’Etat a dû refuser de s’excuser devant les journalistes de cette discussion. Donc, désormais, la question d’une excuse pour échange diplomatique avec la Russie se pose dans les pays de L’Axe. De quel processus de paix parliez-vous?

Drones et sabotages : renforcement de l’utilisation de pratiques terroristes en profondeur sur le territoire russe

Les pratiques terroristes sont de plus en plus ouvertement utilisées par l’armée atlantico-ukrainienne contre la Russie, sur son propre territoire. Faute de ne pouvoir entrer ouvertement en guerre contre elle, l’Axe atlantiste cherche à déstabiliser la situation et faire entrer la peur dans le quotidien de la population russe, qui semble vaccinée sur ce point, en lançant des attaques de drones notamment sur des cibles civiles. Il suffit pour s’en convaincre de lire les productions des médias atlantistes, exultant de la tombée d’un drone dans la région de Moscou et appelant cela une grande victoire contre la tranquillité de la population. Le conflit continue à monter en intensité.

Hitlerjugend : des adolescents néonazis arrivent sur la ligne de front en Ukraine

Le fanatisme dévore les sociétés comme la lèpre, détruit les hommes dans leur essence. C’est exactement ce que nous voyons avec ce conflit en Ukraine. La formation dès l’enfance des jeunes Ukrainiens et leur embrigadement dans des camps militaires tenus par les groupes extrémistes Azov, Secteur droit ou Aïdar produit ses effets : ces adultes déshumanisés font le sale travail comme des automates, pendant que, désormais, des adolescents arrivent sur la ligne de front. C’est cela que nos pays européens financent en Ukraine — au nom de la démocratie. Les Hitlerjugend sont arrivés !

USA / Russie : Quand Borrell se vante d’avoir entraîné les Européens dans la guerre en Ukraine

Joseph Borrell présente une constance certaine dans ses déclarations : pour le responsable de la diplomatie européenne, il ne parle que de guerre. Il la soutient de toutes ses forces, de tout son être. Elle est manifestement devenue sa raison d’être. Il détaille ainsi au Financial Times, comment il a entraîné les pays européens dans l’armement de l’Ukraine en détournant les textes normatifs et en utilisant pour cela le Fonds de la paix, qui finance la guerre, dans la plus pure tradition orwellienne. Une belle réussite, que l’on voit confirmée par le vice-amiral H. Bléjean, devant l’Assemblée nationale française. Avec détail des coûts et des engagements à venir.