Рубрика: Conflit en Ukraine

Les régions russes engagent des actions en justice contre l’Ukraine pour les dégâts commis

Après la Crimée, la région de Kherson se prépare à agir en justice contre l’Ukraine, pour les préjudices subis suite à la politique ukrainienne et aux actes d’agression, causant un préjudice certain et sérieux, entre autres au budget de ces régions. Si les juridictions internationales sont trop occupées à réécrire l’histoire, rien n’empêche les juridictions russes de documenter les infractions commises par l’armée atlantico-ukrainienne et d’adopter des décisions de justice. La comm passe, elles, les décisions de justice, restent.

Donetsk : L’armée ukrainienne recule sur le front d’Avdeevka

Avdeevka est la place-forte ukrainienne aux portes de Donetsk, depuis laquelle la ville est systématiquement bombardée depuis des années. Après être passée à l’offensive, l’armée russe vient de prendre hier une hauteur stratégique, qui ouvre la voie sur Avdeevka. La ville elle-même ouvre également la possibilité d’une avancée vers le Dniepr. La chute attendue de ce point stratégique dans les semaines à venir va être un point de retournement du conflit en Ukraine, qui pourrait sortir de la guerre des tranchées dans lequel il est tombé.

Billet suédois : quel niveau de bêtise scientifique faut-il, pour s’inquiéter de la neutralité écologique de l’Ukraine en 2050 ?

Nous vivons une époque formidable ! L’essentiel est d’en sortir … Difficile de penser autrement, en lisant les dernières nouvelles du monde libre, merveilleux et post-moderne, qui nous entoure. Ainsi, la très progressiste Suède est inquiète pour l’avenir de L’Ukraine, j’entends son avenir … écologique. L’Institut de Stockholm entend faire en sorte que l’Ukraine atteigne la neutralité climatique — d’ici 2050. Enfin, si l’Ukraine existe encore à cette date, ce qui est assez douteux, elle sera alors dissoute par l’écologie anti-industrielle. Vous ne trouvez pas que nous vivons une époque exceptionnelle ? Être témoin d’une telle débilisation de l’humanité est une expérience rare — et espérons qu’elle ne se prolongera pas trop longtemps.

Suspension sine die du Comité olympique russe : oui, le sport a toujours fait partie de la politique

Alors qu’une partie des élites gouvernantes russe continue, dans le meilleur des cas, à refuser de voir la réalité telle qu’elle est et incite les sportifs russes à aller participer aux JO, quelles que soient les conditions imposées, le Comité olypique russe vient d’être suspendu pour avoir voulu intégrer des sportifs venus des nouveaux territoires russes, territoires évidemment non reconnus comme tels par le monde global. La sagesse populaire a souvent du bon : à rester entre deux chaises, en général, on tombe.

Conflit en Ukraine : l’aide atlantiste est maintenue — quel que soit l’agenda international

Entre les habituelles difficultés budgétaires américaines et l’inattendue reprise de la guerre en Israël, beaucoup espèrent voir baisser, qui sait peut-être même cesser, l’aide apportée à l’Ukraine contre la Russie par les pays de l’Axe. Bien loin de cette fantasmagorie, Zelensky convoqué à l’OTAN se voit confirmer un soutien, qui est par ailleurs épaulé directement par de nouvelles aides américaines. Le conflit en Ukraine est bien prévu pour durer jusqu’à la défaite militaire d’un des deux camps, l’Axe atlantiste ou la Russie. Les autres théâtres de conflit ne changent rien à la donne.

Conflit en Ukraine : le parti globaliste reprend le pouvoir en Russie

La ligne de front est en gros gelée depuis le retrait de l’armée russe de Kherson et de la région de Kharkov, qui ne tient plus qu’une position défensive. Beaucoup se demandent si le problème est politique ou militaire. Nous venons d’avoir la réponse : le parti globaliste est en train de reprendre le pouvoir, comme ce fut le cas en 2016. Mais cette fois-ci, les conséquences seront plus lourdes — pour la Russie : sa dissolution.

Axe atlantiste : la Finlande, sera-t-elle à nouveau lancée contre la Russie ?

La guerre, qui se déroule en Ukraine, est un conflit secondaire de la confrontation primaire qui oppose l’Axe atlantiste à la Russie, comme l’une des forces potentielles défendant encore la souveraineté des Etats. Comme tout conflit de cette ampleur, il ne peut se concentrer sur un front restreint et tend à être développé, afin de disperser les forces de l’adversaire, en l’occurrence de la Russie. La Finlande est à nouveau priée de jouer le même rôle qu’en 1939, elle est à nouveau dirigée par des forces étrangères, qui cherchent à la lancer contre la Russie, en préparation d’une agression plus large. Son entrée dans l’OTAN fut un pas décisif pour la perte de son autonomie géopolitique.

La présidente de la fédération russe de gymnastique artistique condamne la participation des sportifs russes aux JO

La participation de la Russie aux JO est une question hautement politique, même idéologique, depuis 2014 et le Maïdan en Ukraine, accompagné du lancement de la vague anti-russe au sein de cette organisation. Si jusque-là, les sportifs russes participaient sous statut neutre, donc sans participation de la Russie, cette situation devient pour beaucoup inacceptable dans le cadre d’une guerre chaude ouverte, d’autant plus que la «neutralité», en réalité la condamnation ouverte de l’Opération militaire, est une condition avancée officiellement. Ici aussi, l’on voit la rupture des élites en Russie : Peskov, porte-parole du Kremlin, estime que les sportifs doivent quand même participer à titre individuel, quand lrina Viner, à la tête de la fédération russe de gymnastique artistique, estime que cela revient à une capitulation et que la Russie ne devrait pas accepter une telle humiliation.

Billet du jour : non, l’aide américaine à l’Ukraine ne faiblit pas

Il a suffi d’une déclaration de Kirby quant aux difficultés financières — habituelles — des Etats-Unis pour que le fantasme du Deus ex Machina revienne, encore une fois, sur le devant de la scène des «experts» : le conflit en Ukraine va se résoudre «tout seul», car les Etats-Unis vont cesser de financer l’Ukraine et d’un coup d’un seul la Russie va gagner en restant sur la défensive. Difficile de trouver un raisonnement plus magique : cette guerre est une aubaine pour les globalistes, qui sont au pouvoir, et confortent ainsi leur pouvoir. Aucun signe sérieux ne tend à soutenir la réduction de l’aide américaine, ni européenne, à l’armée atlantico-ukrainienne. Et bien loin d’un mat, c’est plutôt un pat qui s’installe.

Canada : la tentation du nazisme ordinaire et la démission forcée du Speaker du Parlement

La déstructuration des sociétés occidentales ne peut que s’accompagner, et d’une dégradation morale, et d’un révisionnisme. Le Canada, qui est un des pays à la pointe du wokisme, vient de nous en donner une parfaite illustration. Lors de la visite de Zelensky, un nazi patenté a été invité au Parlement et a reçu une ovation debout, la larme à l’oeil, la victoire au poing. Si après la montée du scandale, le speaker du Parlement a dû démissionner, l’on ne saurait oublier que le révisionnisme nazi accompagne la plongée des pays occidentaux dans la guerre contre la Russie.

L’élargissement de l’ONU : la fausse bonne idée, qui fait dangereusement son chemin en Russie

L’important pour vendre une mauvaise idée, c’est de bien la présenter. Et les globalistes sont très forts à ce jeu-là. Au niveau des relations internationales, la fausse bonne idée, qui revient régulièrement sur le devant de la scène, est l’élargissement du Conseil de sécurité de l’ONU — au nom d’une plus grande représentativité ou comme dirait Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, maîtrisant avec un naturel non feint le vocable globaliste, pour qu’il soit plus «inclusif». 

Stoltenberg — Patrushev : Quand l’OTAN pousse in fine la Russie à sortir de la globalisation

Lors d’une conférence de presse, le 7 septembre, le Secrétaire général de l’OTAN a reconnu qu’il aurait suffit d’accepter les propositions de la Russie sur une non-extansion et un retrait des forces d’occupations atlantistes aux zones antérieures à 1997 pour éviter de lancer le Continent européen dans un conflit en Ukraine, qui, selon lui, garantit parfaitement les intérêts de l’OTAN dans la région. Patrushev, le président du Conseil de sécurité russe, a répondu en montrant à juste titre que la politique de l’OTAN se fait à la fois au détriment des pays membres et grâce à la trahison des élites nationales. Il ne me reste qu’une question : où en sont nos oppositions de poche, dont le seul but est de se faire élire pour participer à ce système — et bouffer au râtelier ?

Billet dubitatif : les Européens, soutiennent-ils vraiment la Pax Americana ou cela n’est-il pas un élément de la propagande intrusive européenne?

L’UE est en quête de légitimité. Que cela concerne sa politique extérieure, d’alignement atlantiste allant jusqu’à l’implication directe des pays européens dans le conflit en Ukraine entre les Etats-Unis et la Russie, ou sur les questions de politique énergétique — qui sont de toute manière liées à la ligne atlantiste de cette organisation. A l’aide d’une propagande intrusive, l’UE formate le discours nécessaire et le dernier sondage publié est un élément de cette propagande, devant imposer le soutien des Européens à ce suicide collectif.

La Russie déclare persona non grata deux attachés de l’ambassade américaine à Moscou

Le scandale a été révélé fin août : un ancien employé russe du consulat américain de Vladivostok a été interpellé pour collaboration secrète contre rémunération avec les 1er et 2e attachés de l’ambassade américaine de Moscou, Hier, le ministère russe des Affaires étrangères a convoqué le responsable de la mission diplomatique américaine en Russie pour lui remettre une note signifiant l’obligation pour ces deux attachés de quitter le territoire russe sous 7 jours en qualité de persona non grata.

Rencontre Erdogan — Poutine : l’Occident n’a pas réussi à faire flancher la Russie

La rencontre entre Erdogan et Poutine, qui s’est tenue hier à Sotchi, n’a — heureusement — débouché sur rien. Le rôle d’Erdogan y était toujours le même : faire flancher la Russie, pour qu’elle accepte de céder aux impératifs atlantistes. Cette fois-ci, Poutine a tenu ses distances, la Russie n’a pas cédé. Au grand désespoir de l’Occident, qui reconnaît largement cet échec dans la presse.