Рубрика: Conflit en Ukraine

Ukraine: front ouvert contre l’Eglise orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Moscou

L’Eglise orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Moscou est, en toute logique et conformément à l’histoire commune du territoire ukrainien avec la Russie depuis un millénaire, l’Eglise historique orthodoxe sur ce territoire. Après le Maïdan, les exactions commises contre l’Eglise orthodoxe canonique se sont démultipliées pour arriver aujourd’hui à un projet de loi déposé devant entraîner sa suppression. L’Eglise est une force réelle, civilisationnelle en plus de spirituelle. Elle porte le Monde russe, ce Monde que l’Ukraine est sommée de détruire pour sceller l’avènement du Monde global.

Les hôpitaux pris pour cible par l’armée atlantico-ukrainienne : silence politico-médiatique dans l’Axe atlantiste

Quand l’armée atlantico-ukrainienne tire avec des HIMARS américains sur les hôpitaux dans les régions de Lougansk et de Kherson, faisant 14 morts et 24 blessés, les politiciens occidentaux se taisent, les institutions internationales regardent ailleurs et les médias font preuve d’une grande discrétion. L’on ne va pas se critiquer soi-même ! C’est pourtant bien un crime de guerre, qui entraîne la responsabilité et de ceux qui tirent, et de ceux qui donnent l’ordre de tirer, et de ceux qui fournissent les moyens. Le Comité d’enquête de la Fédération de Russie a ouvert une enquête pénale.

Ukraine — OTAN : La réhabilitation du bataillon néonazi Azov en marche

Les membres du bataillon Azov fait prisonniers par la Russie et gentiment rendus à leurs propriétaires reprennent, sans aucune surprise du service. Des bataillons entièrement équipés par l’OTAN se forment et ils entrent comme des brigades autonomes dans l’armée de terre ukrainienne. Les pays de l’axe atlantiste reviennent à leurs fondamentaux et légalise la propagande d’Azov dans les réseaux sociaux. A la guerre comme à la guerre, mais l’Occident est en train d’y perdre son âme.

Répression judiciaire à Kherson : 5 ans de réclusion pour avoir participé à l’organisation du référendum d’adhésion à la Russie

Le retrait de la Russie des territoires qu’elle avait commencé à administrer s’accompagne sans surprise d’une vague de répression, dont nous avons déjà souvent parlé sur ce blog. A Kherson, la situation est d’autant plus tendue, que la région a formellement voté pour la sortie de l’Ukraine et l’entrée dans la Fédération de Russie. Quand l’armée russe a laissé la ville principale de la région, la machine extrémiste à broyer les résistances s’est mise en route et le premier jugement pour collaboration à l’encontre d’une simple habitante de la région vient de tomber.

L’Ukraine stocke les armes occidentales dans les centrales nucléaires — sous le contrôle de l’AIEA ?

Deux informations viennent de tomber dans le champ médiatique, dont la concomitance est plus que surprenante. L’AIEA, avec la tournée de Grossi en Ukraine, annonce un renforcement de sa présence dans les centrales nucléaires ukrainiennes. Le Service du renseignement extérieur (SVR) russe vient d’annoncer avoir des informations solides, quant au stockage par l’Ukraine d’armes envoyées par les pays de l’Axe atlantiste … dans les centrales nucléaires. Le rôle des institutions dites internationales est véritablement à reconsidérer …

Conflit en Ukraine : les Etats-Unis reçoivent à domicile les pays de l’Axe à Ramstein

La coalition élargie de l’Axe atlantiste se réunit aujourd’hui sur la base militaire américaine de Ramstein en Allemagne, la plus grande base militaire américaine en Europe construite dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, qui il y a 10 ans de cela était censée être fermée et se porte toujours à merveille, avec plus de 50 000 Américains, civils et militaires. Et le Secrétaire américain à la Défense, en personne, va accueillir ses hôtes à domicile, en Allemagne, ces représentants de la cinquantaine de pays, qui contribuent à l’effort de guerre de l’Axe en Ukraine contre la Russie. Toujours plus de chars, toujours plus d’implication car, comme les officiels européens le déclarent de plus en plus souvent : seule la défaite militaire de la Russie est acceptable. Mais comme l’a rappelé Dmitri Medvedev, une puissance nucléaire ne perd pas une guerre, dont dépend son existence. Il semblerait que nous arrivions, à presque une année de conflit, à un nouveau tournant : va-t-on entrer dans une guerre totale, la Première Guerre globale ?

Démission du conseiller Arestovich : quand le régime ukrainien dévore ses enfants

Alexeï Arestovich, né dans la République soviétique de Géorgie, ancien militaire, devenu influenceur et conseiller du Chef du Bureau de la présidence ukrainienne, a été conduit à la démission pour avoir osé affirmer devant les caméras que les 44 morts et 77 blessés lors de l’écroulement de l’immeuble à Dniepropetrovsk ne seraient pas dus au missile tiré par la Russie, mais bien au système ukrainien de défense aérienne, qui a détourné ce missile. Tous les régimes fanatiques dévorent leurs enfants, Arestovich vient de tomber.

La Bataille d’Ukraine de l’OTAN et l’occupation de l’Europe

Quand Stoltenberg réfute toute possibilité de normalisation à venir des relations avec la Russie, même après la fin du conflit en Ukraine, il ouvre les cartes de la véritable dimension de cette guerre et des intentions de l’Axe atlantiste : détruire la Russie pour permettre l’avènement de la globalisation, dans sa version impériale totalitaire. Et l’occupation des pays européens, militaire et politique, se met en place et se justifie grâce à ce conflit en Ukraine, tant nécessaire aux forces globalistes. Et l’UE joue son rôle d’organe global de gouvernance locale, en achevant la dilution des Etats européens dans un marais apolitique et soumis. Les élites nationales ont trahi, il faut en tirer les conséquences.

Commandement russe : vers un changement de statut de «l’Opération militaire spéciale» ?

Hier, le ministère russe de la Défense a annoncé un remaniement de la composition du commandement de «l’Opération militaire spéciale». Après la nomination de Sourovikine à la tête des opérations, qui devait conduire un changement de stratégie, l’on voit désormais un changement de niveau du commandement. Va-t-on se diriger vers une reconsidération formelle, accompagnant la reconsidération de facto déjà opérée, des enjeux de cette «Opération» militaire très spéciale ?

Crimes de guerre à Mariupol : ces 3000 civils victimes de l’armée atlantico-ukrainienne, qui méritent justice!

Les médias alignés ne vous parleront jamais de ces crimes de guerre. Car ils ont été commis par leurs hommes. Oui, leurs «hommes». Ce ne sont ni des animaux sauvages, ni des robots qui ont tué plus de 3 000 civils à Mariupol, ce sont des hommes de chair et de sang, mais des hommes qui ont perdu leur âme. Et ce sont eux, que les pays de l’Axe atlantiste continuent à financer et armer contre la Russie. La Russie, elle, ouvre une affaire pénale pour élucider ces atrocités et les autres commises par l’armée atlantico-ukrainienne. Mais pour que cela aboutisse, il va bien falloir avoir le courage de l’action juridique, les effets d’annonce devenant de plus en plus limités en raison de leur démultiplication.

L’Axe globaliste et l’impossible trêve unilatérale de Noël proposée par la Russie en Ukraine

Sur proposition du Patriarche, le Président russe a ordonné une trêve de Noël, aujourd’hui étant le jour du réveillon orthodoxe, afin de laisser les militaires des deux camps aller à la messe. Sans même parler du fait que les combattants de l’OTAN ne sont pas orthodoxes, la question qui a rapidement été posée en Russie est pleine de bon sens : comment une trêve peut-elle être unilatérale ? Puisque l’Ukraine l’a déjà rejetée, il y a peu de chance qu’elle puisse avoir lieu. D’autant plus que Dieu, et le Dieu orthodoxe en particulier, est également une cible de cette guerre atlantiste.

Tirs atlantico-ukrainiens sur les mobilisés à Makeevka : des leçons à tirer

A Makeevka (DNR), dans la nuit du Nouvel An, l’armée atlantico-ukrainienne a tiré des roquettes HIMARS, armes de l’OTAN, sur un bâtiment abritant des mobilisés. Le nombre de morts est important, même si les chiffres de 300 ou 500 avancés par les médias ukrainiens sont largement excessifs. Ce n’est pas un crime de l’armée atlantico-ukrainienne, c’est la guerre. Et que cela soit possible après 10 mois justement de guerre, cela choque beaucoup en Russie. La fameuse «opération spéciale» fait souvent — et dangereusement — oublier qu’il s’agit d’une guerre traditionnelle. Les mots ont un sens, ils ont aussi des conséquences.

Région de Kharkov : les répressions «pro-démocratiques» ukrainiennes à Koupiansk

La ville de Koupiansk, dans la région de Kharkov, a été laissée par l’armée russe fin septembre. Depuis quelques temps des nouvelles inquiétantes passent le mur du silence et laissent filtrer des informations concernant les répressions menées par le pouvoir atlantico-ukrainien contre la population, pour avoir osé vivre en harmonie avec la Russie. Sans oublier les pillages menés dans la ville par l’armée atlantico-ukrainienne, qui ressemble à s’y méprendre à une armée d’occupation. Après les fonctionnaires et les enseignants, la répression en arrive aux simples citoyens. Manifestement, l’accueil fourni par la population aux «libérateurs» n’était pas à la hauteur de leur propagande.

Résolution du Conseil scientifique de la Société militaire historique russe : pour une libération totale de l’Ukraine

La Société militaire historique russe est une organisation publique autonome, qui s’occupe de la recherche historique militaire et de sa popularisation. Après 10 mois d’opération militaire et son actuelle stagnation, une réflexion profonde est apparue nécessaire, tout d’abord quant à la nature de cette «Opération spéciale militaire», qui est une véritable guerre — en tout cas, les pays de l’Axe atlantiste font la guerre à la Russie, eux. Il découle de cela alors toute une série de remarques et propositions, intégrées dans une résolution, qui vient d’être publiée et mérite d’être analysée. Cela montre bien que si certaines hésitations engluent le processus de décision politique, avec ce constant combat des élites en Russie, il reste des forces saines, qui ont elles une vision parfaitement claire et du but et des moyens institutionnels indispensables pour atteindre ce but.