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L’Axe atlantiste déclare ouvertement la guerre à la Russie à Belgorod

Hier, à Belgorod, ce fut la guerre, une déclaration de guerre de l’Axe atlantiste à la Russie. L’armée atlantico-ukrainienne a lancé des missiles sur le centre de la ville, a visé l’Arbre de Noël, où les enfants étaient regroupés, a visé les habitations et centres commerciaux. L’on atteint ce matin 22 morts, dont 3 enfants, et 110 blessés, dont 17 enfants. Que des civils. Que des infrastructures civiles. La Russie a réuni le Conseil de sécurité de l’ONU, qui lui a ouvertement craché au visage. Car eux sont en guerre et ils le revendiquent. Non pas «jusqu’au dernier Ukrainien», comme il est de bon ton de l’affirmer, mais jusqu’au dernier Russe, jusqu’à l’anéantissement de la Russie. 

ONU : le monde à nouveau divisé autour du nazisme

Hier, s’est tenue la 50e séance plénière de l’Assemblée générale de l’ONU, au cours de laquelle, notamment, la résolution initiée par la Russie concernant la condamnation de toutes les formes de glorification du nazisme, du néonazisme a été adoptée, comme chaque année depuis 2005. Cette année, la séance plénière a montré une véritable division du monde sur cette question et de nombreuses autres, avec d’un côté les Etats-Unis, les pays de l’UE, les pays Baltes, le Canada et l’Ukraine … contre le reste du monde. N’est pas forcément isolé celui que l’on croit …

Billet du jour : la question de la torture en Ukraine et des limites nécessaires à la propagande

Les déclarations d’Alexandre Brod, membre du Conseil auprès du Président pour les droits de l’homme, affirmant que, Hourra !, l’ONU reconnaît des faits de torture systématique commis par les forces ukrainiennes contre les soldats russes, sont largement reprises dans les médias russes. Pourtant, même si le représentant de l’ONU a incidemment reconnu ces faits en mars 2023 au milieu d’une accusation de la Russie, sur le site de l’ONU et dans les médias occidentaux l’on retrouve désormais principalement l’affirmation inverse, celle d’une accusation portée contre la Russie de torture. Le culte des organismes internationaux, qui accompagne la globalisation, a encore de beaux jours devant lui … Est-ce de l’infantilisme, de la bêtise ou de n’incompétence ?

Les habitants de Donetsk sous le feu des Himars : quand les pays de l’Axe répondront-ils de leurs crimes?

Hier, Donetsk a été la cible de trois attaques aux Himars, menées par l’armée atlantico-ukrainienne sur des cibles civiles. Le nombre des blessés et des décédés s’élève ce matin à environ 30 personnes. La Russie a demandé une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU à ce sujet. N’oublions pas que tirer sur des cibles civiles est constitutif d’un crime de guerre, pour l’armée qui le commet, et soulève la question de la responsabilité des fabricants des armes utilisées.

L’élargissement de l’ONU : la fausse bonne idée, qui fait dangereusement son chemin en Russie

L’important pour vendre une mauvaise idée, c’est de bien la présenter. Et les globalistes sont très forts à ce jeu-là. Au niveau des relations internationales, la fausse bonne idée, qui revient régulièrement sur le devant de la scène, est l’élargissement du Conseil de sécurité de l’ONU — au nom d’une plus grande représentativité ou comme dirait Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, maîtrisant avec un naturel non feint le vocable globaliste, pour qu’il soit plus «inclusif». 

La présidence par la Russie du Conseil de sécurité : de la dérive finale du système issu de la Seconde Guerre mondiale

La présidence de la Russie au Conseil de sécurité de l’ONU s’achève, mais l’hystérie politico-médiatique qui l’a accompagnée souligne à quel point ces organes internationaux sont devenus des organes de gouvernance globale. Ils ne peuvent normalement fonctionner qu’en période de relations internationales pacifiées, c’est-à-dire d’acceptation d’une domination ou d’une répartition du pouvoir. Comme ce système est justement contesté, leur fonctionnement — et leur légitimité — sont objectivement remis en cause.

Billet de déglobalisation : la Chine, l’Inde, le Brésil lâchent la Russie à l’assemblée générale de l’ONU

 «Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m’en charge!». Le dernier vote de l’assemblée générale de l’ONU pour une résolution portant sur le renforcement des relations entre l’ONU et le Conseil de l’Europe, qualifiant en préambule la Russie de pays agresseur en Europe, vient d’être votée non seulement par la Chine, ce grand ami qui est censé pour certains optimistes permettre à la Russie de faire tomber le monde global, mais aussi par ce grand allié dans les BRICS qu’est le Brésil. Si la globalisation est objectivement actuellement contestée, elle est très loin d’être morte. Une approche plus rationnelle s’impose.

Le Serpent de mer de l’impossible réforme de l’ONU

La question de la réforme du Conseil de sécurité de l’ONU revient souvent à l’ordre du jour ces derniers temps. En effet, sans l’annoncer ouvertement, car ce serait un suicide politique, l’enjeu fondamental de ce discours est d’acter la fin de l’existence des Etats sur la scène internationale, puisque les conflits pourraient alors être réglés par un organe supérieur à ces Etats. Mais pour cela, il faut soit expulser la Russie de ce mécanisme, soit lui faire perdre son droit de veto. L’UE et l’Ukraine y travaillent, entraînant dans leur chute l’ONU. Finalement, ce ne serait pas une mauvaise chose de redéfinir l’arcane des relations internationales.

Billet équitable : L’UE prépare un Tribunal international contre la Russie, qui reste dans le tout-communicationnel

Alors que la Russie a totalement déserté le champ juridique du conflit en Ukraine pour être obnubilée par la communication, l’UE et l’ONU se préparent à instaurer un tribunal contre la Russie sur le fondement très faible et contesté par la communauté internationale du «crime d’agression». L’ex-Yougoslavie a déjà démontré à quel point la «justice internationale» peut accompagner un conflit en cours et forcer le discours de la communauté internationale. Etrangement, les milieux politico-médiatiques russes ne diffusent qu’une partie des déclarations de notre Chère Ursula — les 100 000 militaires morts Ukrainiens. Les déclarations concernant la mise en place d’un Tribunal devant juger la Russie pour «ces crimes» est totalement absente du discours politico-médiatique russe. 

Bataille d’Ukraine : Pourquoi les Etats-Unis et leurs satellites ont-ils besoin d’agiter la menace nucléaire contre la Russie ?

La facilité avec laquelle les médias français (à l’unisson), reprenant le discours atlantiste, envisagent une frappe nucléaire à Kherson est non seulement malsaine, mais inquiétante. Cette rhétorique, propagée sous couvert des propos de l’ambassadeur d’Ukraine en France, cache mal cette provocation nucléaire atlantiste, dont la Russie s’inquiète et qui pourrait avoir des conséquences significatives, non seulement pour la suite du conflit, mais en ce qui concerne les relations internationales pour une longue période à venir. Car si les relations entre les pays atlantistes et la Russie sont déjà au plus mal, nous atteindrions alors un point de non-retour. Pour les générations à venir.

Les limites de l’inversion accusatoire : quand les Atlantistes accusent la Russie pour se protéger politiquement de leurs propres crimes

L’inversion accusatoire est certes un procédé classique, surtout en temps de guerre, il n’en reste pas moins à double tranchant : le voile du mensonge finit toujours pas se déchirer et emporte avec lui les illusions, autant que ceux qui les propagent. Devant l’ONU, le représentant français s’est fendu d’une nouvelle tirade accusant sans vergogne la Russie de nouveaux crimes, qui viserait volontairement les sites civils en Ukraine. Sans même parler de Donetsk, qui est bombardé à l’aveugle depuis 8 ans et dont les victimes des tirs ukrainiens sont civiles, la région frontalière de Belgorod est obligée d’évacuer ses habitants, pour qu’ils ne deviennent pas la cible de l’armée atlantico-ukrainenne. Mais de cela, le représentant de la France à l’ONU n’a cure.

De Kadhafi à Poutine, l’ONU reprend l’arme médiatico-juridique du viagra

Il y a quelques jours de cela, la Représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU chargée des questions des violences sexuelles en conflit était de passage à Paris et a donné des interviews. Evidemment sur le conflit ukrainien et évidemment contre la Russie. Celle-ci utiliserait le viol comme technique de guerre et doperait ses soldats au viagra, pour en faire manifestement, dans la fantasmagorie malsaine néoféministe, des verges armées en mouvement. Plus sérieusement, cette technique avait été utilisée contre la Libye de Kadhafi et il semblerait que l’ONU, organe de gouvernance politique du monde global, précise encore une ligne d’attaque, bien rôdée, dans sa guerre contre la Russie, tout en participant à la constitution de la figure de l’ennemi.

L’Ukraine et l’OTAN n’ont pas besoin d’échanger les prisonniers, mais de faire taire des témoins gênants

Le Secrétaire général de l’ONU porte la bonne parole ukrainienne et demande l’échange de tous les prisonniers entre l’Ukraine et la Russie. Surtout du côté russe, cela doit concerner les mercenaires étrangers, les néonazis ukrainiens, etc. Les procès, qui se déroulent et ceux qui se préparent, manifestement, font peur : il est vrai que le troisième Américain vient d’être capturé et que le procès de Mariupole se prépare. Or, ces hommes peuvent parler, changer de conviction, c’est beaucoup trop dangereux. D’une manière ou d’une autre, il est tenté de les faire taire.

Famine : L’escroquerie céréalière ou comment l’Occident s’approprie les céréales ukrainiennes

L’accord céréalier du 22 juillet signé entre l’Ukraine, la Turquie, la Russie et l’ONU tourne à la farce. Non seulement, la quasi-totalité des navires est dirigée vers des pays occidentaux, mais la contre-partie prévoyant l’export de produits russes n’est pas remplie. La Russie pense de plus en plus sérieusement à ne pas le reconduire en novembre, puisqu’il n’a strictement aucun rapport avec «faim dans le monde» — à moins de ne considérer l’Occident comme étant ce monde.