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La Chine appelle à réglementer l’intelligence artificielle à l’échelle mondiale

Suite aux publications, que l’on peut trouver ici et là, visant à lancer une réglementation, donc l’institutionnalisation, de ce qu’il est convenu d’appeler «l’Intelligence artificielle», Jean-François Geneste revient pour Russie Politics sur l’abus de langage que constitue cette dénomination : il n’y a d’intelligence qu’humaine.

Le nerf de la guerre

La Russie est en guerre officielle avec l’OTAN, dixit Sergei Lavrov ! Parmi les différents épisodes, le dernier en date est l’interdiction décrétée par Vladimir Poutine d’exporter le diesel en direction des pays occidentaux pour, soi-disant, stabiliser son marché intérieur. L’Extension des BRICS vise, quant à elle, à agglomérer à la fois les États ayant des ressources naturelles et ceux qui sont producteurs, tant industriels qu’agricoles. Il se forme ainsi deux blocs sur la planète entre une partie du monde très attachée aux réalisations matérielles, tandis que l’autre est basée sur la finance et la spéculation. Jean-François Gesneste analyse la situation pour Russie Politics.

Nomadisme et migrations

Nomadisme et migrations ont accompagné l’évolution de l’humanité et l’on en trouve la trace dans la Bible. Pour autant, les textes ne peuvent être pris à la lettre et les phénomènes doivent s’interpréter en fonction de leur contexte, en l’occurrence, culturel, civilisationnel et géopolitique. Jean-François Geneste revient pour Russie Politics sur cette question, qui prend aujourd’hui les apparences d’une guerre civilisationnelle.

Toujours l’hégémonie mondiale en ligne de mire

Les États-Unis persistent, malgré leurs déconvenues en Ukraine, à vouloir régir militairement le monde. Plus de précisions sont données dans ce court article. Le programme porte le nom de JADC2, qui vise à unifier les réseaux des armées américaines. Bien que peu de détails soient fournis à ce stade, on peut à satiété penser que cela concerne la totalité de la boucle « voir, décider, agir » (OODA en anglais). L’objectif de ce programme est de couvrir l’ensemble de la planète pour pouvoir « aider » les soldats américains, où qu’ils soient. Cela passera par la mise en orbite de sans doute plusieurs constellations militaires de  centaines de satellites, sinon des milliers. Ces engins seront « sécurisés » et le non-appel à Starlink, par exemple, est justifié, a priori, par sa faiblesse en la matière. Pour Jean-François Geneste, il convient de rester dubitatif sur ce point, en se posant la question de ce qu’entend faire en réalité le Pentagone en ce domaine.

La dronisation du champ de bataille

Pour Jean-François Geneste, ce titre, qui est une évidence au vu du conflit en cours en Ukraine, n’a aucun intérêt en lui-même sinon ce qu’il implique comme évolution quant à la conception de la guerre pour renforcer l’efficacité d’un pays. Par ailleurs, cette tendance, aujourd’hui exploitée par l’Occident dans des conditions ambiguës, est porteuse de grands dangers de dégénérescence de l’affrontement.

Le dilemme de la fourniture du F16 pour l’Ukraine ou de tout autre avion de combat 

Pour Cyrille de Lattre, intégrer dans l’armée de l’air ukrainienne des avions modernes, que ce soit des F16, 15, 18, des Typhoon, des Mirage 2000 voire des Rafales en poussant à l’extrême, n’est pas chose facile. Cela pose de multiples questions, notamment où les baser, pour en faire quoi et dans quelles conditions, qu’il s’agisse de l’exploitation ou de la maintenance. Que dire du paiement de ces avions, sans oublier quelques considérations politiques et stratégiques. Analyse de toutes ces questions pour Russie Politics.

Démonstration nucléaire?

Jean-François Geneste analyse pour Russie Politics l’intensification de la rhétorique nucléaire et les risques du recours à l’arme nucléaire dans le conflit entre l’OTAN et la Russie, qui se joue en Ukraine.

Evaluation de l’Occident

Jean-François Geneste analyse pour Russie Politics l’évolution des instruments devant permettre l’évaluation des capacités de résistance et d’action des Etats et la manière dont cet «Occident collectif» modifie les critères en fonction des besoins politiques du moment. Et de ses propres déboires. De la chute du dollar au culte woke, l’on se demande ce que mesurent ces évaluations …

Robert Badinter: La consternation

Arnaud Develay présente pour Russie Politics, l’ouvrage engagé de Robert Badinter, qui semble avoir délaissé le combat des idées humanistes, pour s’enferrer dans la voie Ô combien plus rentable, mais peu glorieuse, de la plume servile de commande. Ainsi, son «J’Accuse» de Poutine, qui n’entrera, ni dans l’histoire littéraire, ni dans l’histoire politique.