Les limites de l’inversion accusatoire : quand les Atlantistes accusent la Russie pour se protéger politiquement de leurs propres crimes
L’inversion accusatoire est certes un procédé classique, surtout en temps de guerre, il n’en reste pas moins à double tranchant : le voile du mensonge finit toujours pas se déchirer et emporte avec lui les illusions, autant que ceux qui les propagent. Devant l’ONU, le représentant français s’est fendu d’une nouvelle tirade accusant sans vergogne la Russie de nouveaux crimes, qui viserait volontairement les sites civils en Ukraine. Sans même parler de Donetsk, qui est bombardé à l’aveugle depuis 8 ans et dont les victimes des tirs ukrainiens sont civiles, la région frontalière de Belgorod est obligée d’évacuer ses habitants, pour qu’ils ne deviennent pas la cible de l’armée atlantico-ukrainenne. Mais de cela, le représentant de la France à l’ONU n’a cure.