Dernières publications

Le néonazisme ordinaire en Pologne et ces «élites» sportives russes

La joueuse de tennis russe Vitalia Diatchenko s’est vu refuser l’embarquement sur un vol de la compagnie polonaise LOT, car elle est de nationalité russe. Cette «grande patriote» s’indigne, car elle avait des lettres de soutien de l’ITF … et surtout son papa né en Ukraine est titulaire d’un passeport diplomatique à l’ONU. Bref, son sang et son âme sont quand même assez purs pour prendre l’avion avec ceux de la race supérieure atlantiste. Entre les législations ouvertement ségrégationnistes et le collaborationnisme primaire de certaines de ces «élites» russes apatrides, l’histoire a toutes les chances de se répéter …

Billet du lundi : Macron ou la gouvernance contre la France

L’on nous parle de plus en plus souvent de la post-modernité, du post-humain ou de la post-démocratie, pour pudiquement éviter de souligner une démarche profondément anti-civilisationnelle, dirigée contre l’homme dans son humanité et menée par un pouvoir, qui ne peut avoir de légitimité démocratique, car celle-ci est extérieure au peuple. Macron est en France l’incarnation parfaite de ce phénomène de globalisation de la gouvernance, dont nous voyons les effets délétères détruire notre pays. Mais ne le lui dites pas, sinon vous serez interpellés, comme ces Français libres d’Alsace il y a quelques jours de cela.

Billet indépendant : De la partialité volontaire de la CEDH, qui ne pourrait exister autrement

L’indépendance et l’impartialité sont les deux fondements de toute justice, si elle se veut légitime. Alors qu’ils sont largement instrumentalisés sur la scène internationale pour faire pression sur les justices nationales et les Etats, lorsque cela est nécessaire, les organes dits de justice internationale, comme la CEDH, semblent parfaitement s’en passer. C’est en tout cas ce qui ressort du deuxième rapport sur le sujet, préparé par l’European Centre for Law and Justice, intitulé «L’impartialité de la CEDH, problèmes et recommandations». Mais ne soyons pas naïfs, l’existence de la CEDH perdrait tout son intérêt si jamais elle se défaisait de ses chaînes idéologiques.

Déglobalisation : Le Parlement russe décide de protéger les citoyens russes des décisions internationales illégales

La Douma, chambre basse du Parlement russe, a adopté hier des amendements à la législation nationale, prévoyant une responsabilité pénale pour la collaboration et l’exécution de décisions, d’organes dont la Russie n’est pas membre et qui vont à l’encontre de la législation nationale. Si la Cour pénale internationale est visée, elle n’est pas la seule et de loin. En cette période de radicalisation idéologique des organismes internationaux, la Russie entend protéger sa souveraineté nationale, autant que ses ressortissants, pouvant être pris en otage de ces jeux para-judiciaires globaux. C’est aussi un signal fort lancé par les étatistes aux élites globalistes russes. Les temps changent …

Déplacement de Poutine dans les zones du front de Kherson et Lougansk : préparation d’une offensive russe ?

L’on vient d’appendre ce matin l’inspection par le Président russe Vladimir Poutine des zones de front dans les régions de Kherson et de Lougansk. C’est le première visite du Chef de l’Etat dans ces régions, depuis leur rattachement à la Russie en automne dernier. Cela, signifie-t-il que la Russie prépare elle aussi une offensive pour le printemps, afin de libérer ce qui est officiellement son territoire national ?

Géopolitique de la Russie : la Commission européenne s’attaque au Tadjikistan

Les pays de l’Asie centrale occupent une position stratégique dans la politique d’encerclement menée par l’Axe atlantiste contre la Russie. Cela fait de nombreuses années que les organismes internationaux y travaillent, non sans réussite, et l’intérêt à leur égard est réactivé dans le cadre du conflit armé en Ukraine. Le Tadjikistan et sa «démocratisation» — What else ? — retiennent à nouveau l’attention et le budget de l’UE. Sur le principe selon lequel tous ceux qui ne sont pas avec moi sont contre moi, les organes globalistes veulent radicaliser la situation politico-sociale des pays, qu’ils considèrent trop «neutres» ou trop «pro-russes».

Rosatom ou comment les Etats-Unis utilisent les sanctions «démocratiques» pour protéger leurs intérêts économiques

Les Etats-Unis viennent d’adopter une nouvelle vague de sanctions. Rien de nouveau ni d’exceptionnel, à un détail près. Ils se sont finalement décidé à sanctionner le domaine de l’énergie atomique russe, tout en affirmant que le but est d’exercer une pression sur les clients de la Russie à travers le monde. Il est vrai que la Russie est l’un des leaders du domaine : donc cela porte atteinte aux intérêts américains. Ce qui vaut bien quelques sanctions — démocratiques. Pour tenter de reprendre ainsi du poids sur le marché. Décidément, l’Ukraine a bon dos !

Billet funéraire : les banques suisses menacent les clients russes de fermeture de leur compte

Le contrôle bancaire en Suisse se renforce à l’égard des clients russes, suite à la pression exercée par les Etats-Unis et les pays du G7 au sujet de l’utilisation des actifs russes gelés. Pour l’instant, il s’agit plus d’intimidation, en dehors de tout cadre légal, et d’une intimidation sélective, que d’une véritable démarche juridique. Ce conflit en Ukraine fait décidément tomber tous les masques, même celui des banquiers suisses et de l’état de droit en Europe.

Le FSB accuse Kiev et ses curateurs atlantistes d’enrôler la jeunesse russe

Hier, s’est tenue la réunion du Comité national antiterroriste, présidée par le directeur du FSB Alexandre Bortnikov. Au-delà de l’intensification de l’activité terroriste à l’intérieur de la Russie depuis le début de l’Opération militaire, le FSB a souligné la tentative de recrutement des jeunes par les services ukrainiens et atlantistes en vue de commettre des actes violents sur le territoire national. La jeunesse est toujours plus manipulable, surtout quand elle a été dopée depuis la naissance aux réseaux sociaux, qu’elle ne vit que la tête dans un smartphone et voit le monde à travers Tik Tok. Le culte globaliste numérique en Russie porte ses fruits … en tout cas pour ses ennemis.

Le procès des «journalistes russophones» s’ouvre en Lettonie : la répression s’intensifie en Europe

Ce 11 avril, Riga enterre le journalisme en Europe. Il était une époque, où le métier de journaliste était respecté, certains étaient même craints. Ce temps est révolu, depuis que les journalistes, dans leur grande majorité, sont devenus des instruments, voire des larbins, du pouvoir. Peu importe d’ailleurs de quel pouvoir, ce n’est pas une question de conviction. En Lettonie, la chasse aux journalistes russophones franchit la ligne d’arrivée, avec l’ouverture aujourd’hui du procès contre rien moins que 14 journalistes, qui risquent 4 ans de prison pour avoir préparé des articles en russe pour le holding médiatique russe Russia Segodnia. Et aucune réaction, ni des organisations professionnelles, ni de leurs collègues en Occident, ni des grands défenseurs de la liberté et valeurs — quand elles sont globalistes. Une honte. Qui n’est ni la première, ni la dernière dans nos sociétés au totalitarisme rampant. Tout notre soutien à ces hommes, qui ont eu le courage de faire leur travail !

Conflit ukrainien : des procureurs américains débarquent à Kharkov pour construire l’accusation contre la Russie

La nouvelle est passée assez discrètement : des procureurs américains débarquent à Kharkov pour «aider» leurs collègues ukrainiens. Il est vrai que jusqu’à présent, au-delà des grandes déclarations politico-médiatiques, la base des éléments de preuve est pour le moins … assez faible. Si ce n’est envoyer des enfants en vacances, loin de la ligne de front. Ce qui vaut bien un procès international … quand on n’a rien d’autre. Le pouvoir d’occupation atlantiste prend les choses en main, puisque les collaborateurs locaux ne peuvent finaliser.

Conflit ukrainien : Pourquoi l’on ne pouvait attendre qu’un échec de Macron en Chine

La visite de Macron en Chine est un échec diplomatique. Mais l’on se doit bien de reconnaître, que tout a été fait, pour qu’il en soit ainsi. Sous tutelle de la guerrière Ursula von Leyen, il est difficile de parler de paix. En donnant des injonctions au Président chinois, il est impossible de le convaincre. La France globalisée, défendant un ordre du monde qui la fait disparaître, est parfaitement incarnée par Macron. Son travail de sape continue, inlassablement. Les manifestations ne changeront rien au cours pris par la politique française, car les décisions ne se prennent plus à Paris.

Billet français : pourquoi une telle haine envers nos enfants ?

Que reste-t-il de l’école aujourd’hui en France ? Entre séances drag-queen et formatage des esprits à la normalisation de l’homosexualité, c’est toute une génération qui se trouve déstructurée et donc affaiblie. Quels adultes deviendront-ils ? Une masse docile et manipulable, sans véritable identité, sans racine et sans véritable éducation. En fait, tel est le but. C’est le rêve de n’importe quel pouvoir : une masse contrôlable par une petite élite, elle, réellement formée de manière traditionnelle, afin de pouvoir gouverner et se reproduire. Pourquoi tant de haine envers nos enfants ? L’extrémisme n’est pas là, où on veut nous le faire croire.

Kazakhstan : le groupe Soros change de nom, pour que rien ne change

Le Fonds Soros n’a pas une mauvaise réputation, il a une réputation sulfureuse. Sous le slogan de l’exportation de la démocratie, l’on voit implanter les mécanismes de désétatisation, de soumission idéologique et si besoin de déstabilisation des systèmes politico-étatiques résistants. Toute institution nationale doit se fondre dans ce magma globaliste et révérer ses dieux. Pour faire oublier un passé de plus en plus reconnu et critiqué, le Fonds Soros opère un changement de marque dans la région stratégique d’Asie centrale, devient CAPS Unlock, pour que surtout rien ne change. Le Kazakhstan annonce la couleur.

L’assassinat de Vladlen Tatarsky : le silence coupable de l’Axe atlantiste

Manifestement, les hommes ne sont pas plus égaux dans la mort, qu’ils ne le sont dans la vie. Hier, Vladlen Tatarsky (Maxime Fomine), correspondant de guerre, est décédé dans un attentat à Saint-Pétersbourg. Pas un message de condoléances, pas une condamnation dans la classe politico-médiatique occidentale. Son tort : être mort en raison de ses convictions. Et elles sont inacceptables pour l’Axe atlantiste aujourd’hui : né en Ukraine, il soutient la Russie et le Donbass depuis 2014. Il ne peut exister.