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Ukraine — OTAN : La réhabilitation du bataillon néonazi Azov en marche

Les membres du bataillon Azov fait prisonniers par la Russie et gentiment rendus à leurs propriétaires reprennent, sans aucune surprise du service. Des bataillons entièrement équipés par l’OTAN se forment et ils entrent comme des brigades autonomes dans l’armée de terre ukrainienne. Les pays de l’axe atlantiste reviennent à leurs fondamentaux et légalise la propagande d’Azov dans les réseaux sociaux. A la guerre comme à la guerre, mais l’Occident est en train d’y perdre son âme.

Billet du jour : Lech Walesa, le prix de la Pax Otana

Tout a un prix, l’obtention d’un prix Nobel également. Et surtout celui de la «paix», délivré par les tenants de la Pax Otana pour ceux, qui la défendent. Lech Walesa, avec son passé ombragé d’indicateur blanchi, a une parfaite connaissance des tarifs. Aujourd’hui, il est à nouveau utile. Et à nouveau utile pour détruire. Comment l’Allemagne ose-t-elle hésiter à envoyer des chars ? Une honte qu’il dénonce dans un journal polonais, appelant l’Allemagne à saisir cette chance historique pour régler une fois pour toute la question russe. Rien de moins. L’histoire a pourtant montré comment cela se terminait à chaque fois …

Répression judiciaire à Kherson : 5 ans de réclusion pour avoir participé à l’organisation du référendum d’adhésion à la Russie

Le retrait de la Russie des territoires qu’elle avait commencé à administrer s’accompagne sans surprise d’une vague de répression, dont nous avons déjà souvent parlé sur ce blog. A Kherson, la situation est d’autant plus tendue, que la région a formellement voté pour la sortie de l’Ukraine et l’entrée dans la Fédération de Russie. Quand l’armée russe a laissé la ville principale de la région, la machine extrémiste à broyer les résistances s’est mise en route et le premier jugement pour collaboration à l’encontre d’une simple habitante de la région vient de tomber.

L’Ukraine stocke les armes occidentales dans les centrales nucléaires — sous le contrôle de l’AIEA ?

Deux informations viennent de tomber dans le champ médiatique, dont la concomitance est plus que surprenante. L’AIEA, avec la tournée de Grossi en Ukraine, annonce un renforcement de sa présence dans les centrales nucléaires ukrainiennes. Le Service du renseignement extérieur (SVR) russe vient d’annoncer avoir des informations solides, quant au stockage par l’Ukraine d’armes envoyées par les pays de l’Axe atlantiste … dans les centrales nucléaires. Le rôle des institutions dites internationales est véritablement à reconsidérer …

Conflit en Ukraine : les Etats-Unis reçoivent à domicile les pays de l’Axe à Ramstein

La coalition élargie de l’Axe atlantiste se réunit aujourd’hui sur la base militaire américaine de Ramstein en Allemagne, la plus grande base militaire américaine en Europe construite dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, qui il y a 10 ans de cela était censée être fermée et se porte toujours à merveille, avec plus de 50 000 Américains, civils et militaires. Et le Secrétaire américain à la Défense, en personne, va accueillir ses hôtes à domicile, en Allemagne, ces représentants de la cinquantaine de pays, qui contribuent à l’effort de guerre de l’Axe en Ukraine contre la Russie. Toujours plus de chars, toujours plus d’implication car, comme les officiels européens le déclarent de plus en plus souvent : seule la défaite militaire de la Russie est acceptable. Mais comme l’a rappelé Dmitri Medvedev, une puissance nucléaire ne perd pas une guerre, dont dépend son existence. Il semblerait que nous arrivions, à presque une année de conflit, à un nouveau tournant : va-t-on entrer dans une guerre totale, la Première Guerre globale ?

Le conflit autour des concessions russes du cimetière de Sainte-Geneviève-des-Bois et l’enjeu de l’immigration des Russes blancs

Le cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois est étrangement apparu à la Une des actualités, tant en France qu’en Russie : alors que 70% des tombes de l’immigration russe blanche et des grands hommes de la culture russe sont pris en charge par la Russie depuis 2005, désormais la Ville refuse le paiement des concessions par la Banque Centrale russe. Le problème, est-il réellement simplement technique ou bien au-delà de la russophobie d’Etat en France ne peut-on voir une tentative de reprise en main de l’immigration blanche, qui devient de plus en plus pro-russe ?

Démission du conseiller Arestovich : quand le régime ukrainien dévore ses enfants

Alexeï Arestovich, né dans la République soviétique de Géorgie, ancien militaire, devenu influenceur et conseiller du Chef du Bureau de la présidence ukrainienne, a été conduit à la démission pour avoir osé affirmer devant les caméras que les 44 morts et 77 blessés lors de l’écroulement de l’immeuble à Dniepropetrovsk ne seraient pas dus au missile tiré par la Russie, mais bien au système ukrainien de défense aérienne, qui a détourné ce missile. Tous les régimes fanatiques dévorent leurs enfants, Arestovich vient de tomber.

La Bataille d’Ukraine de l’OTAN et l’occupation de l’Europe

Quand Stoltenberg réfute toute possibilité de normalisation à venir des relations avec la Russie, même après la fin du conflit en Ukraine, il ouvre les cartes de la véritable dimension de cette guerre et des intentions de l’Axe atlantiste : détruire la Russie pour permettre l’avènement de la globalisation, dans sa version impériale totalitaire. Et l’occupation des pays européens, militaire et politique, se met en place et se justifie grâce à ce conflit en Ukraine, tant nécessaire aux forces globalistes. Et l’UE joue son rôle d’organe global de gouvernance locale, en achevant la dilution des Etats européens dans un marais apolitique et soumis. Les élites nationales ont trahi, il faut en tirer les conséquences.

Commandement russe : vers un changement de statut de «l’Opération militaire spéciale» ?

Hier, le ministère russe de la Défense a annoncé un remaniement de la composition du commandement de «l’Opération militaire spéciale». Après la nomination de Sourovikine à la tête des opérations, qui devait conduire un changement de stratégie, l’on voit désormais un changement de niveau du commandement. Va-t-on se diriger vers une reconsidération formelle, accompagnant la reconsidération de facto déjà opérée, des enjeux de cette «Opération» militaire très spéciale ?

Souveraineté vs. globalisation : Poutine demande la dénonciation de la Convention pénale sur la corruption du Conseil de l’Europe

Ce 9 janvier 2023, Poutine a déposé un projet de loi de dénonciation de la Convention pénale sur la corruption, en vigueur au sein du Conseil de l’Europe. N’ayons aucun doute, rapidement des voix vont s’élever pour affirmer que la Russie cesse de lutter contre la corruption. Comme s’il ne pouvait y avoir de salut en dehors des instances européennes, pourtant bien corrompues, comme l’expérience le montre chaque jour un peu plus. Et personne ne rappellera que c’est le Conseil de l’Europe lui-même, qui a exclue la Russie de GRECO en mettant en place un mécanisme discriminatoire, afin de ne pas perdre à l’égard de la Russie le levier de contrôle global de la «lutte contre la corruption». Alors revenons un peu sur les faits juridiques et l’instrumentalisation globaliste de la «lutte contre la corruption».

Crimes de guerre à Mariupol : ces 3000 civils victimes de l’armée atlantico-ukrainienne, qui méritent justice!

Les médias alignés ne vous parleront jamais de ces crimes de guerre. Car ils ont été commis par leurs hommes. Oui, leurs «hommes». Ce ne sont ni des animaux sauvages, ni des robots qui ont tué plus de 3 000 civils à Mariupol, ce sont des hommes de chair et de sang, mais des hommes qui ont perdu leur âme. Et ce sont eux, que les pays de l’Axe atlantiste continuent à financer et armer contre la Russie. La Russie, elle, ouvre une affaire pénale pour élucider ces atrocités et les autres commises par l’armée atlantico-ukrainienne. Mais pour que cela aboutisse, il va bien falloir avoir le courage de l’action juridique, les effets d’annonce devenant de plus en plus limités en raison de leur démultiplication.

L’Axe globaliste et l’impossible trêve unilatérale de Noël proposée par la Russie en Ukraine

Sur proposition du Patriarche, le Président russe a ordonné une trêve de Noël, aujourd’hui étant le jour du réveillon orthodoxe, afin de laisser les militaires des deux camps aller à la messe. Sans même parler du fait que les combattants de l’OTAN ne sont pas orthodoxes, la question qui a rapidement été posée en Russie est pleine de bon sens : comment une trêve peut-elle être unilatérale ? Puisque l’Ukraine l’a déjà rejetée, il y a peu de chance qu’elle puisse avoir lieu. D’autant plus que Dieu, et le Dieu orthodoxe en particulier, est également une cible de cette guerre atlantiste.

Billet : quand Druzhkovka ne sera pas une «réponse» à Makeevka, l’on se rapprochera de la victoire

En réponse à Makeevka, la Russie a tiré cette nuit sur l’Arène d’hiver de la localité de Druzhkovka (DNR), tenue par les forces atlantico-ukrainiennes, qui utilisait le bâtiment à proximité de la gare, pour le déchargement des armes livrées par l’OTAN. Une centaine de militaires ukrainiens sont morts, des HIMARS et les munitions qui vont avec ont été détruits. La question qui commence toutefois à se faire entendre est pleine de bon sens : pourquoi faut-il des «réponses», si toutes les informations étaient (manifestement) réunies, il n’était pas possible de détruire ce point stratégique avant ? L’on fait la guerre avec une stratégie, non pas avec des «réponses» — tactiques. Au pont de Crimée, à Donetsk, etc. C’est un choix, qui coûte cher — en hommes, autant qu’en capital politique.

Tirs atlantico-ukrainiens sur les mobilisés à Makeevka : des leçons à tirer

A Makeevka (DNR), dans la nuit du Nouvel An, l’armée atlantico-ukrainienne a tiré des roquettes HIMARS, armes de l’OTAN, sur un bâtiment abritant des mobilisés. Le nombre de morts est important, même si les chiffres de 300 ou 500 avancés par les médias ukrainiens sont largement excessifs. Ce n’est pas un crime de l’armée atlantico-ukrainienne, c’est la guerre. Et que cela soit possible après 10 mois justement de guerre, cela choque beaucoup en Russie. La fameuse «opération spéciale» fait souvent — et dangereusement — oublier qu’il s’agit d’une guerre traditionnelle. Les mots ont un sens, ils ont aussi des conséquences.