Помечено: ukraine

Conflit en Ukraine : le parti globaliste reprend le pouvoir en Russie

La ligne de front est en gros gelée depuis le retrait de l’armée russe de Kherson et de la région de Kharkov, qui ne tient plus qu’une position défensive. Beaucoup se demandent si le problème est politique ou militaire. Nous venons d’avoir la réponse : le parti globaliste est en train de reprendre le pouvoir, comme ce fut le cas en 2016. Mais cette fois-ci, les conséquences seront plus lourdes — pour la Russie : sa dissolution.

La présidente de la fédération russe de gymnastique artistique condamne la participation des sportifs russes aux JO

La participation de la Russie aux JO est une question hautement politique, même idéologique, depuis 2014 et le Maïdan en Ukraine, accompagné du lancement de la vague anti-russe au sein de cette organisation. Si jusque-là, les sportifs russes participaient sous statut neutre, donc sans participation de la Russie, cette situation devient pour beaucoup inacceptable dans le cadre d’une guerre chaude ouverte, d’autant plus que la «neutralité», en réalité la condamnation ouverte de l’Opération militaire, est une condition avancée officiellement. Ici aussi, l’on voit la rupture des élites en Russie : Peskov, porte-parole du Kremlin, estime que les sportifs doivent quand même participer à titre individuel, quand lrina Viner, à la tête de la fédération russe de gymnastique artistique, estime que cela revient à une capitulation et que la Russie ne devrait pas accepter une telle humiliation.

Billet du jour : non, l’aide américaine à l’Ukraine ne faiblit pas

Il a suffi d’une déclaration de Kirby quant aux difficultés financières — habituelles — des Etats-Unis pour que le fantasme du Deus ex Machina revienne, encore une fois, sur le devant de la scène des «experts» : le conflit en Ukraine va se résoudre «tout seul», car les Etats-Unis vont cesser de financer l’Ukraine et d’un coup d’un seul la Russie va gagner en restant sur la défensive. Difficile de trouver un raisonnement plus magique : cette guerre est une aubaine pour les globalistes, qui sont au pouvoir, et confortent ainsi leur pouvoir. Aucun signe sérieux ne tend à soutenir la réduction de l’aide américaine, ni européenne, à l’armée atlantico-ukrainienne. Et bien loin d’un mat, c’est plutôt un pat qui s’installe.

Canada : la tentation du nazisme ordinaire et la démission forcée du Speaker du Parlement

La déstructuration des sociétés occidentales ne peut que s’accompagner, et d’une dégradation morale, et d’un révisionnisme. Le Canada, qui est un des pays à la pointe du wokisme, vient de nous en donner une parfaite illustration. Lors de la visite de Zelensky, un nazi patenté a été invité au Parlement et a reçu une ovation debout, la larme à l’oeil, la victoire au poing. Si après la montée du scandale, le speaker du Parlement a dû démissionner, l’on ne saurait oublier que le révisionnisme nazi accompagne la plongée des pays occidentaux dans la guerre contre la Russie.

Billet sénatorial : la parodie électorale confirme que rien ne changera

Les élections sénatoriales viennent de se tenir en France, dans une indifférence quasi-totale de la population — bien légitime. Il est vrai que ne se déroulant pas au suffrage universel direct, elles provoquent moins d’intérêts, d’autant plus que généralement, rien ne change profondément. Et cette fois-ci ne fait pas exception. Sans souveraineté, le processus électoral n’est que légitimation d’une illusion.

Stoltenberg — Patrushev : Quand l’OTAN pousse in fine la Russie à sortir de la globalisation

Lors d’une conférence de presse, le 7 septembre, le Secrétaire général de l’OTAN a reconnu qu’il aurait suffit d’accepter les propositions de la Russie sur une non-extansion et un retrait des forces d’occupations atlantistes aux zones antérieures à 1997 pour éviter de lancer le Continent européen dans un conflit en Ukraine, qui, selon lui, garantit parfaitement les intérêts de l’OTAN dans la région. Patrushev, le président du Conseil de sécurité russe, a répondu en montrant à juste titre que la politique de l’OTAN se fait à la fois au détriment des pays membres et grâce à la trahison des élites nationales. Il ne me reste qu’une question : où en sont nos oppositions de poche, dont le seul but est de se faire élire pour participer à ce système — et bouffer au râtelier ?

Billet dubitatif : les Européens, soutiennent-ils vraiment la Pax Americana ou cela n’est-il pas un élément de la propagande intrusive européenne?

L’UE est en quête de légitimité. Que cela concerne sa politique extérieure, d’alignement atlantiste allant jusqu’à l’implication directe des pays européens dans le conflit en Ukraine entre les Etats-Unis et la Russie, ou sur les questions de politique énergétique — qui sont de toute manière liées à la ligne atlantiste de cette organisation. A l’aide d’une propagande intrusive, l’UE formate le discours nécessaire et le dernier sondage publié est un élément de cette propagande, devant imposer le soutien des Européens à ce suicide collectif.

Billet ursulien : de l’urgence de briser la machine infernale de l’Union européenne

Ursula nous a gratifié hier d’un discours sur l’état de l’Union parfaitement ubuesque, rien que l’appellation revendique l’allégeance. Ubuesque pour toute personne, qui tente de rester rationnelle face à ces processus d’évidement des Etats, des hommes et des sociétés en Europe par l’UE. Pour le reste, ce discours est la formulation de la nouvelle religion globaliste imposée sur nos terres européennes et comme toute religion, elle ne se discute pas, elle se révère. Je me suis toujours demandée si ces gens croyaient vraiment à ce qu’ils disaient? Quoi qu’il en soit, il est urgent de démonter cette machine — tant que nous en avons encore la force.

La guerre en Ukraine accélère le processus de désintégration du Continent européen … au profit de l’UE

Alors que la situation socio-économique ne cesse de se dégrader dans les pays européens, notamment en France, Joseph Borrell veut lancer l’UE vers un élargissement, entre autres à l’Ukraine et aux Balkans. N’ayons aucun doute, que la situation sera telle à l’intérieur, que les gens n’auront même pas le temps de s’inquiéter des risques immédiats alors d’une confrontation directe avec la Russie. Si tel est le but, celui de la désintégration du Continent européen, comme puissance et civilisation, il risque d’être atteint grâce à la ligne atlantiste fanatique de l’UE.

La France, partie au conflit : l’Ukraine confirme la réception des missiles SCALP

L’ambassadeur ukrainien en France, Vadim Omelchenko, a confirmé la réception de la première partie des missiles français de longue portée SCALP. Cette déclaration a conduit la Russie à reconnaître la France partie au conflit ukrainien. Quel est l’intérêt de la France et quelle est la légitimité des élites dirigeantes françaises à tenir une ligne politique à ce point suicidaire pour le pays, c’est une autre question à laquelle il leur faudra bien répondre ensuite. En attendant, nous pouvons nous féliciter d’être jusqu’au cou dans un conflit, dont on ne maîtrise ni les tenants, ni les aboutissants. Etre utilisé à l’aveugle pour défendre des intérêts étrangers est bien le sort habituellement réservé aux colonies …

Robert Kennedy Jr confirme le développement de laboratoires biologiques à visée militaire par les Etats-Unis en Ukraine

Lors de l’avancée de l’armée russe sur le territoire ukrainien, des laboratoires biologiques américains à visée militaire ont été mis à jour. Très rapidement, les Etats-Unis ont démenti, les réseaux sociaux ont bloqué toute publication sur le sujet. La Russie a publié un rapport d’enquête, qui n’a eu aucune conséquence, ni juridique, ni politique, pour ce qui constitue une violation par les Etats-Unis des Conventions de Genève. Aujourd’hui, c’est le candidat aux élections présifentielles américaines, Robert Kennedy Jr. qui l’affirme. Le silence, va-t-il encore durer ?

Conflit en Ukraine : ce drone de cirque politico-médiatique

Depuis fin juillet, l’armée atlantico-ukrainienne a intensifié les attaques de drones vers la Russie, ciblant principalement, pour des raisons symboliques évidentes, la Crimée et la capitale, Moscou. Si l’impact médiatique est incontestable, certains comme TF1 n’hésitant pas à aller jusqu’au fake, le bruit permet surtout de masquer la faible efficacité militaire à court terme de cette stratégie atlantiste low cost. Pour autant, l’impact politique n’est pas à négliger. L’OTAN gagne ainsi du temps pour habituer les parties à une confrontation directe, stratégie les menant lentement, mais sûrement, vers une guerre traditionnelle généralisée en Europe. Pour l’instant, les grenouilles restent confortablement dans l’eau chaude.

L’armée atlantico-ukrainienne a encore attaqué le Pont de Crimée

Cette nuit, l’armée atlantico-ukrainienne a encore une fois attaqué le Pont de Crimée. C’est manifestement une «grande victoire militaire» que d’avoir tué les parents d’un enfant, qui lui-même est dans un état grave à l’hôpital. Le Pont n’a pas été détruit, mais endommagé. Il y a peu d’informations et réactions officielles ce matin encore.

Dénazification de L’Ukraine : le NYT reconnaît la régularité des insignes nazis dans les rangs de l’armée ukrainienne

Ce matin, un article du NYT reconnaît ouvertement la présence régulière des insignes nazis dans l’armée ukrainienne. Pour autant, l’on n’y lit aucune condamnation sur le fond, simplement un regret que cette accointance soit assumée aussi ouvertement. Et le NYT comme l’Occident tentent de se cacher derrière Zelensky, juif étiqueté et patenté, dont la seule présence au pouvoir doit tout pardonner. Et justifier le renforcement du soutien apporté à cette Ukraine par les pays de l’OTAN. Le combat contre la Russie légitime tout, même le pacte avec ce monstre néonazi. Comme si la lèpre de l’amoralité pouvait s’arrêter à nos portes …

Vers une Troisième Guerre mondiale : Rasmussen propose une entrée partielle de l’Ukraine dans l’OTAN

La question de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN est dans tous les esprits, sans faire l’unanimité entre les pays membres. Rasmussen, ancien Secrétaire général de l’OTAN, qui assure aujourd’hui la tutelle de l’Organisation sur le territoire ukrainien, continue à renforcer la pression en vue d’une radicalisation de la situation et de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN. Même partiellement. Certaines forces ont décidément besoin de donner un second souffle à cette guerre des tranchées, en noyant encore une fois dans le sang et la chaire le Continent européen.