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La France, partie au conflit : l’Ukraine confirme la réception des missiles SCALP

L’ambassadeur ukrainien en France, Vadim Omelchenko, a confirmé la réception de la première partie des missiles français de longue portée SCALP. Cette déclaration a conduit la Russie à reconnaître la France partie au conflit ukrainien. Quel est l’intérêt de la France et quelle est la légitimité des élites dirigeantes françaises à tenir une ligne politique à ce point suicidaire pour le pays, c’est une autre question à laquelle il leur faudra bien répondre ensuite. En attendant, nous pouvons nous féliciter d’être jusqu’au cou dans un conflit, dont on ne maîtrise ni les tenants, ni les aboutissants. Etre utilisé à l’aveugle pour défendre des intérêts étrangers est bien le sort habituellement réservé aux colonies …

Robert Kennedy Jr confirme le développement de laboratoires biologiques à visée militaire par les Etats-Unis en Ukraine

Lors de l’avancée de l’armée russe sur le territoire ukrainien, des laboratoires biologiques américains à visée militaire ont été mis à jour. Très rapidement, les Etats-Unis ont démenti, les réseaux sociaux ont bloqué toute publication sur le sujet. La Russie a publié un rapport d’enquête, qui n’a eu aucune conséquence, ni juridique, ni politique, pour ce qui constitue une violation par les Etats-Unis des Conventions de Genève. Aujourd’hui, c’est le candidat aux élections présifentielles américaines, Robert Kennedy Jr. qui l’affirme. Le silence, va-t-il encore durer ?

Conflit en Ukraine : ce drone de cirque politico-médiatique

Depuis fin juillet, l’armée atlantico-ukrainienne a intensifié les attaques de drones vers la Russie, ciblant principalement, pour des raisons symboliques évidentes, la Crimée et la capitale, Moscou. Si l’impact médiatique est incontestable, certains comme TF1 n’hésitant pas à aller jusqu’au fake, le bruit permet surtout de masquer la faible efficacité militaire à court terme de cette stratégie atlantiste low cost. Pour autant, l’impact politique n’est pas à négliger. L’OTAN gagne ainsi du temps pour habituer les parties à une confrontation directe, stratégie les menant lentement, mais sûrement, vers une guerre traditionnelle généralisée en Europe. Pour l’instant, les grenouilles restent confortablement dans l’eau chaude.

L’armée atlantico-ukrainienne a encore attaqué le Pont de Crimée

Cette nuit, l’armée atlantico-ukrainienne a encore une fois attaqué le Pont de Crimée. C’est manifestement une «grande victoire militaire» que d’avoir tué les parents d’un enfant, qui lui-même est dans un état grave à l’hôpital. Le Pont n’a pas été détruit, mais endommagé. Il y a peu d’informations et réactions officielles ce matin encore.

Dénazification de L’Ukraine : le NYT reconnaît la régularité des insignes nazis dans les rangs de l’armée ukrainienne

Ce matin, un article du NYT reconnaît ouvertement la présence régulière des insignes nazis dans l’armée ukrainienne. Pour autant, l’on n’y lit aucune condamnation sur le fond, simplement un regret que cette accointance soit assumée aussi ouvertement. Et le NYT comme l’Occident tentent de se cacher derrière Zelensky, juif étiqueté et patenté, dont la seule présence au pouvoir doit tout pardonner. Et justifier le renforcement du soutien apporté à cette Ukraine par les pays de l’OTAN. Le combat contre la Russie légitime tout, même le pacte avec ce monstre néonazi. Comme si la lèpre de l’amoralité pouvait s’arrêter à nos portes …

Le retour de Prigogine : les élites globalistes russes remportent une bataille de poids

Ne pouvant plus reculer, suite aux fuites dans la presse française, le Kremlin a confirmé la rencontre entre le Président Poutine et les commandants de Wagner, ainsi que Prigogine le 29 juin, à peine 5 jours après la mutinerie de ces mêmes hommes. Cette révélation a produit un sérieux malaise en Russie. Non pas un malaise communicationnel, mais politique. Car finalement, Prigogine n’est pas en Biélorussie, comme son immunité l’imposait. Et la faiblesse du pouvoir à tenir ses décisions politiques est de très mauvaise augure, surtout en temps de guerre.

Vers une Troisième Guerre mondiale : Rasmussen propose une entrée partielle de l’Ukraine dans l’OTAN

La question de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN est dans tous les esprits, sans faire l’unanimité entre les pays membres. Rasmussen, ancien Secrétaire général de l’OTAN, qui assure aujourd’hui la tutelle de l’Organisation sur le territoire ukrainien, continue à renforcer la pression en vue d’une radicalisation de la situation et de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN. Même partiellement. Certaines forces ont décidément besoin de donner un second souffle à cette guerre des tranchées, en noyant encore une fois dans le sang et la chaire le Continent européen.

Conflit en Ukraine : Biden sur le point de fournir officiellement des armes à sous-munitions, interdites par le droit international

Alors qu’en 2008, la Communauté internationale met en place une Convention contre l’utilisation des armes à sous-munitions, en raison de l’ampleur des dégâts humains que leur utilisation provoque, Biden semble pencher pour leur fourniture — officielle — par les Etats-Unis à l’armée atlantico-ukrainienne dans leur combat contre la Russie. C’est en tout cas ce qui est annoncé par le NYT ce matin. Même si théoriquement ces armes sont interdites par les pays européens, n’ayons aucun doute, qu’ici aussi, ils se coucheront.

Globalisation insidieuse : la fausse-bonne idée d’une monnaie unique pour les BRICS

L’idée de la préparation par les BRICS de la mise en circulation d’une monnaie unique est une fausse bonne idée, que l’Occident soutient en filigrane, arguant avec hypocrisie, que cela accélérerait la dédollarisation et renforcerait dangereusement ces pays face à la puissance des Etats-Unis. Alors que, comme les pays européens le savent parfaitement, la perte de la monnaie nationale conduit à un affaiblissement considérable de la souveraineté et de la puissance de ces pays. Le but est ainsi de conduire les pays des BRICS à se dissoudre dans une forme alternative de globalisation, dont les effets seront les mêmes : l’affaiblissement de chacun de ces pays. Mais les pays des BRICS sont-ils à ce point politiquement immatures, pour tomber dans un piège aussi gros ?

Kramatorsk : quand les médias occidentaux réécrivent docilement la réalité pour cacher la présence de mercenaires de l’OTAN en Ukraine

Ce 27 juin, l’armée russe a ciblé un centre militarisé à Kramatorsk, dans la région de Donetsk, tenu par les forces de l’armée atlantico-ukrainienne. L’on nous parle dans les médias alignés d’une pizzeria et d’un hôtel touché, avec soi-disant des victimes civiles innocentes. Ils oublient simplement de préciser que l’hôtel était fermé au public, que des instructeurs étrangers et des combattants ukrainiens avec des volontaires y résidaient et que le restaurant était rempli par ce public très pacifique. Une fois de plus, les médias occidentaux se mettent au service d’une propagande de guerre, niant même les images largement diffusées.

BRICS : Les Atlantistes ouvrent le front diplomatique contre la Russie

Alors que samedi une tentative de coup d’Etat se déroulait en Russie, un sommet très discret «pour la paix» a été organisé au Danemark par les Etats-Unis, formellement à la demande de l’Ukraine, qui en dehors des traditionnels soutiens à la politique américaine dans ce conflit, a convié les BRICS et attendait la Turquie. Et ceux-ci étaient la raison réelle de cette rencontre. Ainsi, les Atlantistes tentent de faire basculer les BRICS d’une «neutralité»  fragile vers un fragile engagement «pour l’Ukraine», afin d’affaiblir la position de la Russie.

Front intérieur : Poutine met les points sur les i pour les partisans de Prigogine

Alors que les élites et les milieux de la communication commençaient à relativiser la gravité du crime commis par Prigogine contre la Russie, en réalisant une mutinerie armée, en prenant une ville, en lançant les chars contre Moscou, le Président russe s’est adressé hier soir à la population — et surtout à ces groupes pour les prévenir : ceci est un crime, il ne sera ni oublié ni pardonné. Désormais à eux de choisir leur clan.

Billet du jour d’après : La Marche sur Moscou, va-t-elle réellement réveiller l’instinct de survie politique en Russie ?

A peine 24 heures après la mutinerie armée effectuée, mais non conçue, par Prigogine et Wagner contre le pouvoir régulier en Russie et la mort de 15 militaires russes, le président du Comité de la défense de la Douma trouve que non seulement il n’y a rien eu de grave, mais qu’il faut légiférer pour légitimer ces organisations militaires privées. Il va bien falloir régler la question de la dualité des élites en Russie, avant qu’une Marche n’arrive jusqu’au Kremlin.

Les trois drapeaux russes et le retour de l’unité nationale

Trois drapeaux pour symboliser l’histoire de la Russie, qui n’a pas commencé en 1991, et pour constituer la Nation au-delà des révolutions. Pour la première fois depuis la chute de l’Union soviétique, le drapeau rouge est levé lors d’une cérémonie devant le Chef de l’Etat. La cérémonie a eu lieu à Saint-Pétersbourg, sur les rives du Golfe de Finlande. C’est également une grande victoire de l’armée russe.

Troisième Guerre mondiale : la France soutient désormais l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN

La question de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN soulève un véritable débat parmi les membres de l’Alliance. Si l’Est, plus radical dans son atlantisme et faible dans sa dimension politique, tente d’entraîner le monde dans un conflit mondial en soutenant cette position, l’Ouest est plus timoré et rappelle la clause de l’art. 5, qu’il ne sera pas facile de faire digérer à ces populations post-modernes gavées à la «paix» à n’importe quel prix, surtout au prix des autres. La volte-face de la France est ici un très mauvais signal.